FanTasTiques NouVelles

Le mystérieux secret de Mrs Winston

12 mai 1864, Amérique

Chère mère, C'est bien moi ton fils, Johann. J'ai maintenant 16 ans et je poursuis aujourd'hui mes études en Amérique. Sa fait déjà quatre ans que j'y habite, dans une vaste maison contenant une belle terrasse sur laquelle est disposées beaucoup de fleurs. Je vie dans de belle condition mais, comprend-tu que c’est compliqué de vivre sans vous, ma chère famille ? Contrairement à mon ancienne vie en Afrique, ce si jolie pays dont je me rappelle si bien, de ces majestueux paysages que j’apercevais lorsque j'allais chercher l'eau de la rivière. Assez parlé de mon passé. Je t'écrirai plusieurs lettres car mon histoire fut assez longue, si bien sur cela te conviens. Voici la première partie ou j'ai été enlevé de vous, ma chère et admirable famille. Tout a commencé lorsque je rentrais à la maison, la porte était grande ouverte et Yoann avait disparu, mon petit frère aurait été enlevé. C'est là que tout à basculer... Il n'y avait aucun bruit lorsque j'entendis un coup de feu et aperçu par ma fenêtre un oiseau qui tomba brusquement contre le sol. Cinq hommes grands et forts tenant entre leurs mains chacun une arme pénétra ma maison. Deux de ses hommes m’attrapa et m'emmenèrent dans un très grand bateau qui contenait d'autres africains. Arrivé dans le bateau, le capitaine nous annonça qu'il nous amènerons en Amérique pour échapper à la guerre et nous placer en famille d'accueil, mais seul les mineurs y en avaient le droit. Je t'embrasse fort Ton cher fils.

3 juin 1864, Amérique Chère mère, A vrai dire, je suis assez inquiet de ne pas avoir reçu de nouvelle de ta part. Aujourd'hui le 3juin 1864 était une longue journée pluvieuse en Amérique. Revenons à mon voyage incroyable. Au soir de notre première nuit, je fus installer dans une chambre étroite avec 3 autres africains, une jeune fille et un garçon de mon âge, aucuns d'eux ne parlaient. Un sifflet, oui, le bruit d'un assourdissant sifflet nous réveilla d'un bond en plein milieu de la nuit, étions-nous arrivés en Amérique? Aussi tôt? Non impossible il y avait autre chose. Un homme frappa à notre porte en nous ordonnant de sortir, pas le temps de s'habiller, ni de prendre nos affaires que nous montions sur le toit de ce bateau. Au bout de dix minutes toujours rien, sauf une chaleur qui provenait des profondeurs. Le capitaine se mit à hurler des mots dans tout les sens, incompréhensible, mais un seul mot m'interpella « FEU » je compris que le bateau prenait feu. Dans la nuit noire ont ne savaient pas si il y avait de terres proche, ou si nous étions en pleine mer. Lorsque la lumière éblouissante d'un phare prit place dans nos yeux. Une terre était toute proche, quelques minutes plus tard nous accostons dessus. Arriver sur une petite île, le feu avait littéralement disparu mais 18 africains au rez-de-chaussée étaient brûlés vif. Les questions que tout le monde se posaient sont : D'où provenait ce feu? Et Comment c'était t-il arrêter? Aucuns dégât dans le bateau ni en dehors, pas de trace de cendre mais juste 18 morts. Ce bateau était certainement magique, quoi penser? On jeta les morts à l'eau et, chacun partaient se recoucher Je te raconte la suite très bientôt, au revoir Ton cher fils.

17 août 1864, Amérique Ma chère mère, Toujours pas de nouvel de ta part, j’espère que tu vas bien. J’imagine que tu veux connaître la suite de mon histoire. Et bien, la voit-si… Le soleil se lève et nous fûmes réveillés par ses raillons mais surtout par les cris de l’équipage qui annonça que nous étions arrivés en Amérique. Nous atteignons le port et nous fûmes tous répartis en famille d’accueil. Certains ont eu la chance d’être répartis à deux ou à trois, et d’autres seuls, dont moi. Je fus réparti dans une famille de bourge, un couple marié, les Winston. Ils me paressèrent très gentilles et attentionnés mais, ils n’avaient point d’enfants. Je tiens à le préciser car, sur certaine de leurs photo apparaissaient deux jeunes enfants, une fille et un garçon, le garçon semblait plus âgé que la fille. Je n’osais pas leurs demander qui sont ces enfants car ce n’était que le début et puis, je ne voulais pas faire mauvaise impression. Ils me montrèrent ma chambre et m’accueillirent convenablement. Au bout d’un moment j’ai remarqué des choses étranges dans cette maison… Je t’en dirai un peux plus prochainement. Ton cher fils, Johann

5 septembre 1864, Amérique Ma tendre mère, Je suis maintenant très inquiet, cela fait déjà plusieurs mois que je n’ai plus de nouvelle venant de toi. J’espère qu’il ne t’est rien arrivé, et, que tu reçois bien mes lettres. Qui sait ? Pour ma part je vais plutôt bien. Comme je te le disais, dans la lettre précédente j’ai remarqué des choses étrange dans cette maison… L’autre jour, j’ai découvert Mme Winston pleurer dans les bras de son marie, murmurant que les enfants lui manquaient terriblement et en tenant entre ses mains l’une de leurs photos. Les questions que je me pose, et toi aussi sans doute, sont : qui sont ces enfants ? Et qu’est ce qui leurs est arrivés ? Je réfléchis pendant plusieurs jours, et de plus en plus de question s’emparèrent de ma tête. Je me faisais toute sorte d’hypothèse, sans avoir de réponse claire. Peut-être, me dirai-je, que l’explication la plus rationnelle, serait que ces enfants appartiendraient aux Winston et sans doute portés disparu. Mais comment ? Et pourquoi ? Voici la preuve qu’à partir d’une simple hypothèse beaucoup d’autres subviennes et me hante de questions, dont je n’ai point de réponses. A très bientôt. Johann.

10 octobre 1864, Amérique Chère mère, Je reste sur plusieurs hypothèses te concertante. Peut-être ne reçois-tu donc pas mes lettres ? Serais-tu en danger ? Non, j’en doute fort. J’étais dans un de ces moments où les idées que j’ai dans mon esprit, sont troubles. Un jour, les Winston sont sorties. Pendant leurs absence, je suis entré dans leur chambre, pour obtenir des réponses. Je découvris un ancien journal, datant de 1824 montrant une photo de Mrs Winston vêtu d’une blouse blanche, d’une paire de gant et d’une paire de lunette. Mrs Winston était donc un scientifique ! Pourquoi ne l’est-il plus maintenant ? Sur l’un des articles il est écrit que Mrs Winston à tenté une expérience douteuse, à partir d’une théorie que nous ne connaissions point. Il à crée un phénomène assez étrange, non explicable scientifiquement. Selon cet article, il s’agissait d’un portail temporaire qui nous emmènera dans un monde parallèle au notre… Depuis mon arriver chez les Winston, j’entends des bruits étrange venant du sous sol. Mais le plus étrange dans cette histoire est qu’ils n’apparaissaient seulement une fois par semaine, plus précisément le samedi. Après toutes ces hypothèses qui me troublent l’esprit, j’ai décidé d’y descendre pour y trouver des réponses. Le samedi d’après, j’entendis des bruits puis je descendis au sous sol pour voir d’où ils provenaient. Arriver là-bas, j’aperçus le phénomène étrange dont l’article parlait. C’était donc l’invention de Mrs Winston, mais par peur de l’avoir aperçu, je me suis enfui le plus rapidement possible, et décida d’y retourner le samedi prochain. Au moment où je fini d’écrire cette lettre nous sommes donc le samedi d’après. Les Winston sont sorties de chez eux, donc j’en profite pour descendre au sous-sol et d’essayer d’entrer dans le portail. Je te dis à très bientôt, je t’aime fort. Johann.

6 novembre 1864, Amérique Madame, Bonjour, Je me présente, je suis Mrs Winston et je vous écris pour m’excuser, de n’avoir rien dis à votre cher fils, de ne l’avoir guerre prévenu du danger qui pouvait lui être causé, et, de ne pas avoir envoyé ses lettres précédentes. J’ai commis cet acte pour sa sécurité. A l’heure où il vous à écrit la fin de sa dernière lettre, j’étais donc absent et je n’étais pas au courant de se qu’il contait faire. Jusqu’à ce que je trouve sa dernière lettre et me précipita au sous-sol, mais le portail c’était déjà refermé. Comme vous pouvez le constater, ce dernier c’est rendu dans le portail. A cette heure si, il court sûrement un grave danger. Pour tout vous dire, se garçon est très intelligent, mais, il a très peut de chance d’y ressortir, tout comme mes enfants, qui se sont eux aussi aventurés dans ce portail. Ils se rencontreront peut-être ? Qui sait ? Tout cela pour vous dire que je suis vraiment confus de ce grave accident. Me le pardonnerez-vous un jour ? J’en doute fort, mais, sachez que je ferais tout pour le sortir d’ici. Mrs Winston.