10 mars 2020

La pièce, 403

Je me suis retrouvée dans une pièce, seule. Je me réveillais un peu étourdie. La pièce me fut floue à cause de la lumière au plafond. Le temps que je m'habitue à l'éclairage, j'entendais un cri assez sonore, venant d'un homme, qui retentissait dans ma tête. J'avais le temps de me lever pour voir dans quel cauchemar je m'était mise. La pièce était remplie de photos de la petite amie de mon frère avec une inscription rouge sang qui coulait jusqu'au mur : "tu n'aurais pas dû".

La mort de mon frère me revint en memoire. Je me suis retournée pour voir de l'autre côté de la pièce. La phrase qui était écrite me toucha encore plus que la première. Cette phrase me remonta des mauvais souvenirs qui me laissa perplexe.

"Tout ça à cause de toi" recouvrait le mur entier. Prise de panique,je m'effondrai sur la porte en repensant à ma triste histoire.

 

C'était un samedi encore une fois, je tenais la chandelle entre mon frère et sa copine. Corinne était la plus jolie fille que je connaissais. J'étais très embêtée de leur relation et, très jalouse de la chance qu'avait mon frère. Depuis petite, je ressentais beaucoup de haine envers lui. Il était aimé de tous,il était populaire. Enfin en résumé il était un exemple pour ma famille et pour le monde entier. Ce jour-là, Jack devait partir pour son boulot et qu'il ne pouvait pas rester plus longtemps. Je proposai à Corinne de la ramener chez elle et, avec grand étonnement elle accepta. On a parlé,rigolé jusqu'à chez elle.Quand tout s'arrêta,elle me demanda de dire à mon frere que le rendez-vous du lendemain serait décalé d'une heure. Ma haine envers mon frère revint. Mes pensées revinrent quand le deuxieme cri retentit une deuxieme fois. Quand je rouvris mes yeux, toutes les écritures avaient disparu tout autant que les photo. Ma peur monta d'un cran et je sentais quelques gouttelettes de sueur couvrir mon front. J'essayais de me faire à l'idée que ce n'était qu'une mauvaise blague. Un troisieme cri retentit suivi de pleurs.

 

Je décidai enfin d'ouvrir la porte pour voir ce qui se cachait. Chanceusement elle était ouverte et je pus facilement l'enfoncer. Je découvris une grande salle de jugement abandonnée avec une lignée de chambres qui ressemblait toutes à la mienne. Au milieu de la salle, je remarquai 4 sillouettes dont une qui était par terre. Je m'approchai doucement mais plus je m'approchai et plus je retrouvais des silhouettes que je connaissais. Je reconnus enfin les individus qui étaient en face de moi. Ma famille ! Il y avait, mon père,ma mère et Corinne. La personne alongée était donc mon frère. Il avait l'air sans âme. Leur yeux etait vide et aucun mouvement venait à les echapper. Je ressentis des frissonements dans le corps quand j'aperçus une dague et une lettre à côté Je les pris doucement et, lus ce qu'il était écrit :

"Bonjour, tu as peut etre tué ton frère avec tes bêtises mais, tu ne mérites pas vraiment la mort. C'est pour ça que je te laisse te rattraper. Une des personnes ici présente était la cause de cet incident. A toi de trouver qui sait et de le tuer à son tour pour que ton frère revive".

Plus je lisais la lettre, plus mon étonnement augmenta. Ce ne pouvait pas être Corinne puisqu'elle était avec moi à la mort de mon frère. Je ne voulais tuer personne mais j'avais le pressentiment que mon père y était pour quelque chose. Je décidais, par peur de tuer mon père en me desant que ce n'etait qu'un mauvais rêve. Je transperçai mon père mais, dès que la dague fut enfoncée dans le corps de mon pere je me réveillai dans ma chambre.

 

J'étais essouflée, en sueur et, soulagée de ne pas avoir vécu vraiment ça. Mon réveil sonna à un bon moment. Je m'habillai et desendis les escaliers, heureuse mais,quand j'arrivai en bas une vision de cauchemar m'apparut. Mon frère était assis là, en train de prendre son petit déjeuner. Sur les photos de famille mon pere manquait.Nous sommes dimanche et je pense avoir tué mon père...

Last Night, 403

Je m'étais réveillé dans un commissariat, devant moi, il y avait un homme avec un calepin à la main.

Il avait une chemise violette, un air sérieux et il me dit :

« M. Jeremy Fitzgerald, vous avez été accusé d'avoir brûlé le restaurant Freddy's Fazbear pizza . Pouvez-vous nous raconter ce qui c'est passé ?

Je lui dis :

D'accord. »

Nous sommes en 1993, je venais d'avoir vingt-ans, je cherchais du travail pour payer mon loyer. Je marchais sur le trottoir pour si ils y avaient des petites annonces pour du travail. Il y avait un homme au loin qui courrait vers moi, il avait une chemise violette, comme vous, il fonçait vers moi à une vitesse, on aurait dit qu'il était pressé. Il m'a bousculé en faisant tombé un bout de papier par terre a coté de moi. Le type m'a même pas calculé, il a juste continué à courir, j'ai pris le bout de papier qui était à coté de moi et j'ai lu :

« Freddy's Fazbear pizza embauche un gardien de nuit pour toute la semaine, vous serez payé cent-vingt dollars de l'heure, vous commencez à minuit et terminez à six heures du matin, si vous êtes intéressé appelez au 06 66 63 13 99, si vous êtes intéressé venez au soixante-six rue de la liberté à gauche du centre commercial Paladium, attention, tout incident ou mort en atroces conditions ne seront pas liées à l'entreprise Afton co. »

 

Quand j’ai vu cette offre, j’ai couru à la première cabine téléphonique pour appeler le restaurant. Ils m'ont donné rendez-vous au restaurant à quatorze heures de l'après-midi, j'étais super content de moi et j'ai attendu au-moins une heure avant de partir au restaurant. Une fois là-bas j’ai vu un homme avec une chemise violette en train d'attendre quelqu'un dans le parking, je me dirigeais vers lui pour lui demander si c’était lui le directeur du restaurant. Il me répondit que oui et me demanda qui j'étais. Je lui répondis que j'étais celui qui les avait appelé pour le poste, il me dit qu'il n'avait jamais reçu d’appel pour ce poste, je me suis dit que je m'étais peut-être trompé de numéro, pas grave, tant qu'ils embauchaient, c'est ce qui comptait. Il me demanda si je cherchais du boulot. Je lui répondis que oui, il répondit juste :

« T'es embauché ».

Il n'avait rien dit d'autre et il continua de fumer sa cigarette.

Le directeur me fit visiter la pizzeria, ses salles, mon bureau, le part & service, la salle de la boite

qui me faisait peur à cause de la marionnette, elle m'observait avec ses grands yeux noirs elle pleurait des larmes violettes et elle avait un grand sourire, ses larmes touchait son sourire, en résumé il me faisait visiter l'établissement, j'étais gêné par les animatroniques, je n'aimais pas leur présence, ils faisaient comme la marionnette, ils m'observaient, je les trouvaient trop lisses

on aurait dit des jouets méchants, j’ai quitté l'établissement car je ne me sentais pas bien, j'avais

mal au ventre à chaque fois que j'en voyais un.

 

Il était vingt-trois heures trente, quand je suis arrivé devant le restaurant, le directeur m'avait donné la clé du restaurant pour que je rentre à l'intérieur, j'étais armé de ma lampe torche face à l'obscurité du restaurant, je me baladais un peu en attendant minuit, j’ai vu qu'il y avait des caméras un peu partout dans le restaurant, du coup il y avait un monitor pour voir ce que voyaient les caméras, avec toutes les caméras dans le restaurant j'étais un peu rassuré en me disant que je pouvais les voir mais je me sentais aussi observé. Je suis arrivé devant mon bureau et je me suis assis, j’ai pris le moniteur en main pour voir les caméras, regardé s’il n’y avait aucun voleurs, j’ai regardé les caméras pendant une heure au-moins, tout à coup j’ai eu un petite faim, je suis parti à la cuisine pour me réchauffer une part de pizza et me prendre une boisson sucrée. La pizza était en train de chauffer, le micro-ondes faisait un bruit incroyable, c’était tellement bruyant qu’on entendaient même ce qui est autour de moi, ça a duré une minute ensuite plus rien, le silence total, ça m’inquiétait, c’était trop silencieux à mon goût, ensuite je suis retourné à mon bureau sur la route j’ai renversé ma boisson sur moi car j’ai trébuché sur quelque chose, j’en avais plein sur ma chemise, j’ai regardé par terre ce qui m’avait fait tomber, c’était juste un bout de métal, mais qu’est que fait un bout de métal par terre ? Je l’ai pris dans ma main pour voir d’où ça venait, j’ai regardé au plafond pour savoir si ça venait des tuyaux au-dessus de moi mais non. Quand je suis arrivé devant mon bureau j’ai vu une cassette vidéo, je l’ai rentrée dans une des télés qui était devant moi et j’ai vu des choses horribles comme des animatroniques qui arrachaient la mâchoire de l’ancien gardien de nuit et ils cachèrent le corps dans un des déguisements de leurs mascottes, d’un coup la cassette passa à une autre vidéo.

 

C’était une vidéo qui montrait la marionnette qui dansait avec des enfants mais le son était horrible, c’était un mélange de cris et de pleurs d’enfants, la couleur de la vidéo était jaunâtre la vidéo s’arrêta brusquement mais il restait le son et j’ai entendu :

« Je SuIs La JereMy, VieNs JouEr AveC NouuuuuuuuS ».

Du sang commença à sortir de la télé, je me suis reculé, je ne me sentais pas bien, le souffle court et rapide, mal de crâne, sueur froide, battement du cœur rapide, et surtout, j’avais du mal à marcher. Quand je suis tombé par terre, je me rendis compte que c’était des hallucinations, il n’y avait jamais eu de bout de métal, ni de cassette, je m’étais juste évanoui à cause de la pizza qui était périmée, j’étais à la fois rassuré mais aussi inquiet que ça m’arrive encore. J’ai décidé de partir à cause de mon état, j’ai regardé ma montre pour savoir quelle heure il était, il était trois-heures du matins, j’ai marché jusqu’à la sortie. Arrivé devant la sortie je me suis rendu compte que je n’avais plus les clés du restaurant, j’ai cherché pendant une heure jusqu’à je trouve les clés dans la mâchoire d’un de ces trucs, j’ai pleuré parce que je me suis que j’étais foutu alors que non, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ouvris la bouche de l’animatronique, je me suis imaginé plein de trucs, qu’il allait fermer la bouche comme pour l’incident de quatre-vingt, j’ai mis ma main dans sa bouche, j’ai beaucoup stressé à ce moment-là, j’ai pris les clés et j’ai refermé la bouche de l’animatronique et j’ai couru jusqu’à la sortie, j’ai mis les clés à l’intérieur de la serrure mais c’était rouillé. Il fallait que j’aille à la salle part & service pour récupérer de l’huile puis huilé la serrure, j’ai couru jusqu’à la salle part & service, j’ai ouvert la porte et quand les premiers rayon de lumières arrivèrent dans la salle, ils y avaient des animatroniques de l’ancienne génération ( celle de 80 ) quand je suis rentré dans la salle, j’étais un peu terrifié car avec le manque de lumière, je voyais rien de tout, je savais pas où je marchais, j’ai sorti ma lampe torche pour y voir mieux mais c’était pire car je voyais leur tête affreuse. Je me suis dépêché pour trouver l’huile car je n’aimais vraiment pas cette salle. Quand j’ai vue l’huile, je l’ai pris et je suis sorti aussi vite que je suis rentré, j’ai couru dans tout le restaurant aussi vite que je pouvais.

 

J’étais arrivé devant la porte mais je me suis vite caché car un des animatroniques me cherchait, il est resté au-moins trois bonne minutes à regarder vers la porte, une fois qu’il était parti, j’en ai profité pour ouvrir la porte, j’ai mis l’huile sur la serrure, j’ai vidé tout le pot, j’y ai mis mes clés mais le problème c’est que ça faisait trop de bruit et l’animatronique qui était parti est revenu, il marchait rapidement vers moi, j’étais trop stressé pour me concentrer sur les clés, il restait quelques mètres entre nous deux et heureusement j’ai réussi à ouvrir la porte, à cause de l’huile qui était par terre j’ ai glissé et ma lampe torche s’est cassée en tombant mais ce n’était pas ça qui avait allumé le feu c’était un homme il était au milieu de la salle une hache à la main, il m’observait avec assistance et la seule chose dont je me souviens c’était sa chemise violette car ensuite je me suis évanoui »

 

L’inspecteur me regardait, il n’a rien dit comme s’il me croyait sur parole, je lui ai demandé

ce qu’il avait écrit sur son calepin, il ne me répondit pas, j’étais un peu gêné par la situation.

 

L’inspecteur me dit :

« M. Fitzgerald, il y a au moins cinquante pour cent de ce que vous avez raconté qui est vrai, mais on pense avec mes collègues que vous avez continué à halluciner, nous avons plusieurs preuves qui sont contre vous comme :

- les caméras qui vous ont filmé

- le rapport des pompiers

- votre passé psychiatrique

 

Quand vous êtes arrivé devant le restaurant, il était vingt heures et vous avez forcé la porte de secours pour entrer à l’intérieur car on a vu des traces de forçage quand on est arrivé après l’incendie, et surtout ça faisait trois ans que ce restaurant était fermé à cause des crimes que vous avez commis, vous avez tué cinq enfants et vous avez caché les cadavres dans ce restaurant car sinon pourquoi revenir dans ce restaurant ? dites-moi ? »

 

Je n’y croyais pas, je pensais que je n’avais jamais tué des enfants mais tous ces arguments contre moi était imparables, il m’a même montré mon dossier psychiatrique sur la table, il m’a dit qu’ils m’avaient relâché car j’avais pris conscience de la bêtise que j’avais faite et que là j’avais recommencé, dans ma tête c’était le bordel. Toutes mes émotions se mélangèrent et j’ai commencé à rire, mais je pleurais à l’intérieur de moi mais à l’extérieur je riais. L’inspecteur appela l’hôpital psychiatrique pour qu’il m’emmène ; j’avais beaucoup de chance d’aller sur la chaise électrique, j’avais peur de la mort mais pourquoi j’ai tué ces enfants jeunes qui avaient peur de la mort comme moi, pourquoi ? Au-bout de trente minutes, ils sont arrivés et ils m’ont pris pour me mettre dans leur camionnette, je ne me défendais pas car ça ne servait à rien. Une fois dehors, j’ai vu le restaurant ouvert, je pensais l’avoir brûlé mais apparemment non ? Quand j’ai regardé derrière moi, j’ai vu l’inspecteur me faire un sourire narquois, mais du coup qu’est qui c’est vraiment passé ?

Le meurtre d'un certain général, 403

Dans le début des années 1900,en Arabie Saoudite, se trouvait un général de Guerre qui se nommait "général Pierre de Lafoi". Cet homme n'était pas très aimé par mes camarades et moi-même. Il était très violent mais surtout extrênement vulgaire. En bref cet homme n'était pas très net. Mais un jour il reçut une balle dans l'épaule... On le conduisit à l'hôpital militaire. Malheureusement quelques jours plus tard il mourut ! C'est ainsi que l'histoire commença.

 

A l'heure précise où il mourut il y eut une éclipse et un petit tremblement de Terre. Quelques jours plus tard, il se fit enterrer pas très loin de Bourges. Peu après son enterrement, les lits de l'hôpital commencèrent à bouger tout seul, les lumières s'éteignaient toutes seules, sans aucune raison... J'ai tout de suite pensé que c'était l'âme de M.de Lafoi. Ce fut de plus en plus inquiétant.

 

Sur le chemin de la bataille tous nos hommes commencèrent à faiblir. Un par un, ils mouraient de fatigue,faiblesse... A cause de ça nous perdîmes la Guerre. Tout sa était de la faute de la mort de Pierre j'en étais certain. Mais personne ne pensait la même chose que moi. Du coup je dûs rentrer au camp. Mais quand je suis arrivé il n'y avait plus personne, les fenêtres étaient toutes brisées. Au loin je crus voir Pierre ... Je devenais fou. Je ne savais plus quoi faire, quoi penser. Donc je me mis à crier un bon coup. Je commençai à marcher vers la fôret quand tout à coup j'entendis des pas qui me suivaient. Mais quand je me retournai il n'y avait personne et les pas continuaient à se faire entendre. Ce bruit de pas me hanta. Au loin je crus revoir le visage de l'ancien général en feu, comme s'il voulait me dire quelque chose ou me prévenir d'un fait qui allait avoir lieu dans mon futur proche. Je me mis à courir comme jamais je n'avais couru de ma vie. Les pas continuaient à se faire entendre quand soudain j'apperçus des flammes au loin.

 

Ce que je pensais était donc vrai ? Pierre voulait m'avertir ou bien déclencha le feu pour essayer de me parler ? Je pris mes jambes à mon cou et essayai de sortir de la fôret. Soudain le feu s'arrêta net. Ce fut de plus en plus bizarre, je ne trouvais plus aucune explication possible,tout était confus dans ma tête. Je ne savais plus quoi penser. Donc je rentrai chez moi, fermai ma porte à clé et m'assis sur mon fauteil. J'essayai tant bien que mal de trouver des explications mais aucune n'était valable. Les portes de chez moi claquèrent toutes les unes après les autres.

 

Ceci continua pendant plusieurs années et s'arrêta net un jour sans aucune explication et toutes ces questions continuèrent de me tourmenter jusqu'à ma mort.

 

L'esprit du château, 403

On était arrivé devant le château, il était vieux délabré sur une des tours la charpente manquait à l’appel. Mes parents passionnés de vieux châteaux m’avait traîné jusqu’ici, j’étais au téléphone avec mes amies du lycée lorsqu’ils lui avaient annoncé que nous sortions.

 

 

 

Nous allions partir quand on nous apprit que le pont en bois par lequel nous devions passer pour rentrer était endommagé, le majordome nous proposa donc de rester pour la nuit. Je logeais donc dans l’aile ouest rénovée depuis peu, ma chambre était décorée de vert avec un tableau.

 

 

Vers vingt heures nous allions manger dans une grande salle décorée de tapisseries et qui d’après le guide de la visite auraient été tissées spécialement pour cette salle, lorsque les lumières se mirent d’abord à clignoter puis les portes commencèrent à claquer, la peur s’empara de moi, je tremblai, j’avais la chair de poule, et d’un coup tout s’arrêta plus rien, le majordome décida d’aller vérifier le compteur électrique, nous restâmes seuls avec la conservatrice, un lourd silence s’était installé, quand de lourds pas se firent entendre à l’étage, puis dans les escaliers, d’un coup la porte s’ouvrit et…...rien ! Un cri strident se fit entendre nous nous précipitâmes vers la source du cri , lorsque , près du compteur électrique nous découvrîmes le majordome étendu sur le sol, étendu dans une mare de sang. J’étais cloué sur place, je ne pouvais plus détacher mon regard du visage du majordome pale comme la neige. Mais je dus vite me reprendre car la conservatrice s’était évanouie juste à coté de moi à la vue du majordome. Nous appelâmes donc la police pour le majordome je ne pus pas rester car on m’estima trop jeune pour être interrogé. Je m’endormis donc avec comme berceuse le bruit des sirènes de police .

 

Le lendemain nous pouvions enfin partir car la police estima qu’elle pouvait se passer de nous pour leurs enquête, je me demanderai toujours pourquoi ils nous avaient laissé partir, mais bon c’était leur choix ils avaient du estimer qu’ils avaient assez d’éléments pour mener à bien leur enquête .

Lorsque nous franchîmes le pont qui nous séparait du monde, trop de questions était en suspens, comment les lumières avaient-elles put clignoter alors que nous étions tous dans la salle à ce moment-là ? Etait-ce le compteur , ou alors cela tenait-il….du surnaturel? Et les portes et les pas, dans l’escalier et la porte, et le majordome ? Trop de questions étaient en suspens, et j’avais le sentiment que je n’en connaîtrais jamais la réponse …..

Cogitatium, 403

Alex va se coucher après une soirée bien arrosée en 2014 pour le premier janvier.

 

Le lendemain il se retrouve dans une cellule accompagné d'un homme sous l'emprise de la drogue, attaché à une chaise. Mais Alex était aussi enchainé. Alex était ébloui par la lumière, il était paniqué et stressé il ne savait pas quoi faire. Il avait la chair de poule, dans cette salle il faisait froid. Il vit une silhouette devant lui. C'était une silhouette humaine. Avec le stress, Alex cria de toutes ses forces et en pleurant « aidez moi, s'il vous plait ». Il était éffrayé, il était tétanisé à cause de cette piéce et de cette personne. La silhouette lui répondit

-Vous êtes dans une prison hautement sécurisée, je suppose que vous savez ce que vous avez fait.

La silhouette se rapprocha et lui mit un coup de poing. Ce coup de poing était si puissant que son cerveaux toucha sa boîte craniène et il s'évanouit.

 

Alex s'est endormi et à revécu la scène de la veille. Il fêtait le nouvel an avec ses amis. Il se réveilla. La silhouette était toujours là. Je sais, je sais ce qui s'est passé ! J'étais en train de faire la fête avec mes amis pendant le nouvel an, il y avait beaucoup d'alcool. J'avais bu quelques verres puis je ne me souviens plus de ce qui s'est passé. Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? La silhouette le refrappa plus fort que la dernière fois et il s'évanouit à nouveau. Alex revécut une scéne où il coupa un gâteau pour le nouvel an dans la cuisine, et il le rapportait dans le salon là où il y avait ses amis. Ils mangèrent le gâteau et ils partirent chez eux. Alex était tout seul. Il rangea la maison et en entrant dans la cuisine il vit une ombre bizarre elle ne bougeait pas, elle se mit à avancer. Alex apeuré saisit son balai comme une arme pour se protéger. L'ombre courut et entra en lui. L'ombre prit possession de son corps ? Alex voyait tout mais il ne pouvait rien faire. Il se vit prendre le balai, le casser pour formé un côté pointu. Il se dirigea vers son chien et le planta sans hésiter le chien se vida de son sang et mourut. Alex sous l'emprise de l'ombre descendit de son appartement avec un couteau pour faire de nouvelles victimes. Il vit un groupe de personnes qui fumait. Il se dirigea vers eux en cachant son couteau derrière lui. Ils étaient trois dans ce groupe, il alla vers eux, prit une personne et leur trancha la gorge. Il lécha le couteau recouvert de sang et il continua sa route.

 

Alex se réveilla et il raconta ce qu'il s'était passé mais la silhouette ne le crut pas pour l'ombre. La silhouette lui répondit qu'il était sous le contrôle de la drogue .

Death Note, 403

 

ATTENTION! Toute personne écrivant un nom verra cette personne nommée mourir. Après que le nom soit écrit il y a un délai de 40 secondes avant que la personne ne meure.

 

 

Dans la région de Kanto en 2003, il y avait un lycéen du nom de Raito.

Il était en cours d'anglais, il se tourna et vit le Death note dans la pelouse. Après les cours, il alla voir

dans la cour si le cahier était toujours là, le cahier était toujours,heureusement.

Il rentra chez lui, alla dans sa chambre et ouvrit le cahier, lit la prévention,et se demanda si cela était vrai. Raito ouvrit le Death note, alluma la télévision sur la chaine informative et vit un braquage filmé par un hélicoptère :les journalistes affichaient les noms,âges ,et toutes les autres informations sur le braqueur. Raito écrivit le nom du braqueur. Après quarante seconde, le braqueur MOURUT d'une crise cardiaque.Raito n'en croyait pas ses yeux.Il se dit qu'il pourrait juger les criminels s'il le gardait.

Disparitions, 403

C'est à Lizant que j'habite, dans un petit quartier un peu écarté de la ville. Je suis le propriétaire d'un immeuble entier de deux étages. Il y a un total de six locataires dont un appartement pas encore habité, dans cet immeuble, tout le monde se cotoie et s'entend bien. Et la particularité c'est qu'il y a beaucoup de chat errants, que c'est moi qui les nourrit, alors, en quelque sorte ils habitent ici. En face de ma portes habite mon vieil ami Paul, on se connait depuis une dizaine d'années et on se fait entièrement confiance.

 

Un jour je recois un appel, en décrochant je suis surpris que l'appartement du dessous, qui était vide, va être pris par un nouveau locataire. (peu clair)

Le nouveau sera là demain, ce qui me laisse le temps de prévenir tous les résidents. La journée passe et le lendemain, il arrive à l'heure du rendez-vous. Il est grand rouste et peu parlant, mais je commencais à bien l'aimer. L'appartement que je viens de lui faire visiter semble lui plaire. Alors il doit venir emmenager demain pour la remise des clés. Tout l'immeuble semble enthousiaste à l'idée de son arrivée, sauf Paul.

Il m'a confié avoir un mauvais pressentiment, mais au fond je pense surtout qu'il est juste jaloux, même si ce n'est pas dans son tempérament. J'ai oublié ça et fait connaissance avec Mathieu, c'est le nom du nouveau, il m'a même invité chez lui pour le remercier.

Son appartement est presque vide mais sur les quelques étagères qu'il y a, je vois des cadres. Je m'approche des cadres et crois reconnaitre certains de mes chats... Enfin des chats qui vivent ici. Je lui demande à qui sont ces chats et me répond :

" -Ce ne sont PAS vos chats ! "

Je réfléchis un instant mais il se dirige vers moi assez rapidement. Pendant un instant un frisson traverse mon corps. Finalement, il prend juste ses cadres et va les déposer dans une autre salle de l'appartement. Il revient quelques secondes après et me semble différent... Je dirais même avec un air simplet. Cette attitude est très étrange mais je passe au-dessus et nous commençons à discuter. A chaque fois que je lui pose des questions trop personnelles il change de sujet, comme s'il ne voulait pas reparler ou repenser à son passé. Un moment je crois que j'ai été trop loin dans mes questions en lui reparlant de ces fameux chats dans les cadres de tout à l'heure. Il a trouvé une excuse pour que je retourne chez moi en me disant qu'il doit se reposer car il est fatigué... Je n'y crois pas une seconde et je me demande; qu'est-ce que Mathieu peu bien vouloir cacher ? Quel passé doit rester sous silence ?

 

 

Une semaine plus tard et je ne l'ai toujours pas vu sortir de chez lui et Paul non plus d'ailleurs. Mais une chose m'intrigue, j'ai l'impression que certains des chats de l'mmeuble ont disparu, ou du moins je ne les vois plus. Je décide donc d'en avertir tous les résidents de l'immeuble si eux les auraient vus. Sans surprise eux non plus ne les ont pas vu. Mais ou peuvent-ils bien être ? Je décide donc d'aller sonner à la porte de Paul et Mathieu mais aucun des deux ne répond. Heureusement, comme je suis le propriétaire j'ai un double des clés de tous les appartements. J'entre chez Paul, il n'y a personne, pusi je fais de même chez Mathieu... Je suis stupéfait de voir que tous les chats disparu sont là ! Mais ce qui est étrange c'est qu'ils sont marqués au feutre. Ce détail ne me troubla pas tant que ça. Tout l'immeuble est prévenu et tout le monde attend la venue de Mathieu sauf Paul ( je ne sais toujours pas ou est- ce qu'il est passé ).

Soudain il rentra et je fus le premier à le voir et lui parler de toute l'histoire, je lui avoue qu'il devra partir si ses actes continuent ainsi. Il acquiesce et me dit qu'il n'a rien fait et que pendant son absence il était parti loin. Alors je lui demande où, et me fait comprendre que ce ne sont pas mes affaires. Cette part de mystère chez lui me fait douter de sa franchise. Alors nous remontons tous les deux à mon apartement pour parler. Durant la discussion il m'avoue certaines choses, comme le fait qu'il a un faible trouble de la personnalité (ce qui explique son comportement l'autre soir ) et qu'il n'est pas coupable de la disparition des chats. Après ça je restai perplexe; qui cela pouvait être si ce n'était pas lui, en sachant que Paul n'est pas encore rentré ? Il rentra chez lui.

Dix minutes plus tard qui revient chez moi d'un air outré; il me dit qu'il y a eu une sorte de rituel ou un chat est au centre éventré ! Il y avait écrit au marqueur le nombre un sur le chat. Je descends en vitesse chez lui et vois Paul, ses yeux fermés. J'entend la porte de derrière de refermé. Soudain Paul arrive vers moi avec une sorte de couteau. Un frisson me traversa le corps avec un dose de peur. Je compris à ce moment que.......

L'enfant et la gemme, 403

Un beau jour la jeune Esmeralda fille de paysan âgée de 28 ans mit au monde un petit garçon qui a été nommé Dylan.

 

Une fois sortie de l'hopîtal la jeune femme retrouva son mari et celui-ci était fou de joie d'avoir un garçon mais quelque chose n'était pas commun chez cet enfant, à seulement un mois le petit garçon marchait déja et avait même couru. La mère choquée s'écria :

« -Comment est-ce possible ? Mon enfant serait-il malade ? »

Et puis tout s'est calmé pendant quelques temps, de beau matin (pendant que son mari travaillait) Esmeralda reçoit la visite du roi en personne qui lui avait été prévenu de la naissance d'un nouveau né. Sachant que le roi ne veut pas d'enfant de paysan dans son royaume.

Le roi lui dit :

« - Y aurait-il un bébé dans cette maison !? 

La jeune mère commença à paniquer et à trembler, puis d'une voix fébrile, lui répondit :

-Non il n'y a pas d'enfant ici...

Le roi ordonna à ses gardes de fouiller la maison où l'enfant était. Esmeralda les empêcha au mieux d'arriver jusqu'à son lit où est situé l'enfant. Une fois arrivés dans la chambre, pas de bébé, pas de bruit, rien.

 

Le roi, d'un air hautain et sournois quitta la maison et retourna à son royaume.

La jeune femme en pleurs chercha son fils partout et puis une fois dans la salle de bain son fils apparut comme une sorte d'invisibilité téléportative. La mère une fois rassurée mais surprise de son fils retourna devant chez elle et vit les dégâts horribles que le rois a laissés (terre retournée, fleurs déterrées et de l'herbe arrachée) puis elle pleura. Elle avait mis des années à faire ce magnifique et grand jardin, l'enfant vit sa mère pleurer et rentra ses mains dans le sol et tout redevint comme avant même ! Plus jolie qu'auparavant, les pouvoirs de l'enfants sont incroyables et surnaturels .

Quinze années plus tard le jeune garçon est maintenant ado. Bien que ses parents aient été assassinés à l'âge de ses huit ans, le jeune Dylan n'arrête pas de découvrir de nouveaux pouvoirs en allant chez une amie qu'il s'est fait à l'école après avoir été adopté. Il vit une blibiothèque. Intrigué le jeune ado s’y rendit, il aimait beaucoup lire ça l'aidait à se canaliser.

Un beau jour, il tomba sur un livre appelé "paranormal effect". Il se mit à le lire puis se rendit compte qu’il avait des points communs avec le héros de l'histoire.

Il pense qu’il devrait faire comme dans le livre pour contrôler ses pouvoirs et venger ses parents du Roi De Tragar.

 

 

Alors il se met a la conquête du "gemme de puissance" caché dans les grottes sous marines mais son amie Emia voulait absolument l'accompagnez alors il fini par dire oui.

« - Nous partirons demain matin à l'aube, dit-il à son amie

- D'accord je serais prête à l'aube.

Dès l'aube le jeune garçon se fit rejoindre pas son amie ils devront parcourir le désert la montagne et passée par l'océan.

- le chemin va être long dit-elle a Dylan.

-Ne t'inquiète pas accroche toi tu es prête.

-Euh je crois je te fais confiance.

Et d'un seul coup le jeune homme porta Emia et courut à une vitesse incroyable ils arrivèrent à la montagne. En à peine une minute normalement cela prit quatre jours il continua aussi vite qu'il put et une fois arrivés devant les grottes sous marines il s'arrêta essoufler.

Emia lui dit :

 

« -Je ne pourrais pas t'accompagner à l'eau je ne sais pas nager »

 

Le jeune homme sauta dans l'eau sans dire un mot et chercha la gemme il la chercha de partout mais il ne la trouva pas et puis Emia tomba à l'eau et essaya de se rattraper sur le rocher mais en touchant le rocher une trappe s'est ouverte.

Dylan s'empressa d'aller sauver Emia et replongea de ce pas pour entrer dans la grotte : il entra et vit la gemme protégée de partout il désactiva les pièges un à un avec prudence mais une lame lui a coupé sa joue, ce qui lui fit une cicatrice énorme.

Il prit de pleine main la gemme de puissance et commença à avoir une puissance incroyable en lui il ressortit de la grotte avec la gemme en lui il avait une puissance incroyable et presque divine !

Il retourna vers chez lui avec son amie cette fois en marchant quelques jours. Lorsqu’ils arrivèrent, rentra dans le royaume pour voir le Roi De Tragar qui avait tué ses parents et devant le Roi il s'écria « -Monstre tu paieras pour avoir tué mes parents.

Le roi se mit à rire excessivement.

-Qui a t-il de si drôle enflure ?

Le roi lui répondit :

-Tu n’as aucune chance face à moi petit insolent, j'ai le pouvoir de la gemme de la mort en moi alors viens je t'en prie"

L'enfant déchainé se fit frapper par une force noire et puissante et la gemme de puissance tomba à terre, il se réveilla et l'attaqua de pleine puissance il était surpris de voir une telle force d'un jeune homme . Un combat épique et incroyable le combat est serré mais Dylan se prit un mauvais coup et resta au sol quelques instants jusqu'à que la divinité entre en lui et il devint rouge comme la pierre puissante comme un dieu et frappa le Roi de pleine puissance le Roi perdit connaissance Dylan décida de ne pas l'achever mais lui retirer la gemme et l'enfermer dans une cellule jusqu'à sa mort.

Dylan cria fièrement "Je suis votre nouveau ROI"!

 

Après quelques temps le nouveau roi épousa la douce et ravissante Emia. Dylan a sauvé l'honneur de ses parents et a sauvé le peuple de ce monstre de Tragar. Des années plus tard ils eurent des enfants et la gemme fut recachée où Dylan l'avait trouvée.

 

Five Night At Freddy, 403

C'est dans l'Amérique du Sud, au Mexique, dans un restaurant qui a ouvert en 1983. Ils ont eu un succès avec leurs animatronics (Bonnie, Chica et la grande star Freddy !).

 

En 1984, des enfants ont commencé à disparaître dans la nuit. La première personne disparue était une petite fille Alice Afton (huit ans), le deuxième Mike Millan (dix ans) et le dernier Andy Adler (onze ans). Le restaurant, depuis ce jour, a embauché un gardien de nuit pour surveiller le restaurant. Ce dernier, commença à noter dans carnet ce qu'il fait à chaque heure.

 

 

« 00h00

Je suis cloué sur ma chaise regarde les écrans des caméras de sécurité.

 

02h00

Je commençai à remarquer un des animatronics qui se déplaçait vers moi, tout seul.

 

03h00

Je me suis fait attaquer par un animatronics, mais au dernier moment j'ai réussi à m'enfermer dans mon bureau.

 

05h00

Je commençai à paniquer. Je me remis en confiance et je continuai cette nuit de surveillance.

 

06h00

Je finis mon service et je quittai le restaurant. RAS. "

 

Durant les journées, des plaintes commençaient à surgir : un couple a porté plainte contre le restaurant car, apparemment, du sang et une odeur infecte sortaient des animatronics.

Le gardien de nuit appela le technicien pour faire un contrôle sur ces robots animés. Les techniciens ont affirmé que c'était un bug technique, que c'était pour ça que le gardien avait été attaqué la nuit passée. Le gardien de nuit, Mike Smitch, ne pensait pas que c'était un bug et penchait pour une possession avec les informations et les plaintes étranges liées à ces choses.

 

Pendant le service de nuit suivant, Mike nota à nouveau des informations dans son carnet :

 

01h30

Je vérifiai le comportement des animatronics, ils ne bougeaient pas.

En zoomant sur l'un d'eux, je remarquai le comportement similaire : du sang coulait de ces robots. Lorsque je m'approchai d'eux, je sentais l'odeur et je voyais le sang continuer de couler. Je démontai la tête du robot pour voir ce qui clochait : un cadavre, celui de la première enfant disparue : Alice Hafton ! Je remarquai les éléments communs sur les deux autres robots et je fis la même chose. Je découvris alors les deux autres cadavres cachés à l'intérieur des animatronics !

Je ne me sentais pas bien.

 

02h10

Durant la nuit, j'entendis des bruits de pas suspects et une voix d'homme qui passait de la cuisine jusqu'à la salle technique. Peur de me faire attaquer par ces choses, j'attendais le lendemain pour sortir de ma salle et vérifier si l'homme mystérieux avait disparu. "

 

Pendant la journée, une personne portait un déguisement ressemblant à un des animatronics : Golden Freddy. Huit heures plus tard, à la nuit tombée, le gardien reprit son service :

 

02h25:

Un robot avait été détruit mais un quatrième apparut. Il me semblait bizarre en le regardant, je ne l'avais jamais vu. Je remarquai que c'était un costume mais pas un animatronic.

Je remarquais que ce costume était vide il se déplacait tout seul en flottant . Le costume toucha les robots et juste aprés un esprit sortit des ces tas de féraille.

 

5h00

Le restaurant commencait à prendre feu tout seul mais le temps que les pompiers arrivent…

 

7h00

Des débris du retaurant et des costumes d’animatronics… »

La lettre, 403

Un matin, dans la maison de campagne que je venais d'acheter dans les Landes, je faisais du vide et je jetais les meubles laissés par l'ancien propriétaire.

 

Je pris un petit secrétaire avec de nombreux tiroirs, et, au moment de le mettre dans la benne, un morceau de papier tomba d'un tiroir. Je mis le secrétaire dans la benne, puis je pris le papier qui était une lettre qui semblait assez ancienne. Sur la lettre, il y avait quelques écritures et tout en bas, une sorte de formule ainsi qu'un numéro de téléphone.

 

Je me posais beaucoup de questions, puis je pris un moment pour lire la sorte de formule. Mes mains commencèrent à trembler, car en fait c'est la lettre elle-même qui frémissait. Je crus apercevoir un visage, puis tout à coup, la lettre se mit à voler dans la pièce. J'avais très peur, J'étais terrifié. Je ressentais une telle frayeur que je sursautai jusqu'à l'autre bout de la pièce derrière un vieux fauteuil. Après quelques minutes je décidai de lever un peu ma tête pour regarder où était la lettre... A ma grande surprise elle s'était posée sur le fauteuil et elle était là posée comme une personne inanimée. Je me relevai et sortis de ma cachette avec beaucoup de prudence. Je repris la lettre, et m'installai dans le fauteuil un instant pour reprendre mes esprits. Tout tournait en boucle dans ma tête... Je refis toute le scène et me souvins d'avoir aperçu un visage. Mais comme cela avait été très vite je n'avais pas pu reconnaître ce visage. Peut-être que cette lettre était possédée... Non, cela devait certainement être un rêve.

 

Pourquoi cette lettre volait-elle ? Etait-elle possédée ? En répétant la formule, la lettre se remettra surement à voler ! Y avait-il vraiment un visage ? Je devais tenir la lettre pour le savoir. Je pourrais enfin savoir à qui il appartient. Je répétai donc la formule mais malheuresement rien ne se passa. Je réessayai à plusieurs reprises mais toujours rien ! J'avais du rêver, je ne voyais que cela comme seule explication... cela avait-il fonctionné une fois ? Le rêve était la seule hypothèse...

Je ne saurais jamais qui était ce visage et pourquoi m'était-il apparu ?

 

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