Le blog du collège Louis-Pergaud est un espace d'expressions pour les professeurs les élèves et leurs projets pédagogiques

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04 février 2010

Projet d' écriture

 Synopsis réalisé par la classe de 3e3 avec le soutien de  Christian Roux, écrivain.

 

  1. Kate, 15 ans, élève de troisième, à l’allure rockeuse, issue d’un milieu modeste, est virée de cours suite à une altercation pendant un débat sur l’homosexualité, alors qu’un élève tient  des propos homophobes.

 

  1. Elle et son meilleur ami, Kays, 15 ans issu d’une classe plus aisée, se retrouvent plus tard. L’altercation était un peu ridicule et Kays ne comprend pas pourquoi Kate s’est énervée. Tout le monde sait que ses parents sont deux homosexuelles, et ce n’est pas la première fois que quelqu’un tient des propos homophobes, parfois rien que pour la provoquer. Elle devrait avoir l’habitude.

 

  1. Oui,  mais elle est un peu tendue. Elle vient d’apprendre une grande nouvelle : ses parents ont décidé d’adopter un petit garçon. Choquée dans un premier temps, elle a ensuite été fière que ses parents luttent pour le droit à l’adoption des homosexuels. Ce qui l’énerve, quand elle entend des propos homophobes comme celui de ce matin, c’est qu’elle s’imagine tout ce que son petit frère devra supporter.

 

  1. Kate rentre chez elle, accompagnée par Kays. Ses « mères » fêtent quelque chose : elles ont reçu dans la journée l’agrément pour adopter. C’est une grande victoire dans leur situation (faire référence à l’actualité). Elles racontent au jeune homme le stratagème dont elles ont dû user pour avoir Kate, 15 ans plus tôt : il leur a fallu, demander à un couple d’homosexuels (hommes) d’accepter d’avoir un enfant avec l’une d’elles et de le leur laisser.

 

  1. Quelques semaines plus tard, Kate est en ballade avec des amies. Elle reçoit un SMS (ou un coup de fil) de ses parents qui lui demandent de rentrer au plus tôt pour lui parler. Elle suppose qu’il s’agit de son futur petit frère (ses parents ont décidé d’avoir un garçon, cette fois-ci). Mais le soir même, alors qu’elle devait retrouver ses amies et Kays à une soirée, personne ne la voit. On essaye de l’appeler, elle ne répond plus. Elle n’est nulle part : elle a disparu

 

  1. On retrouve Kate bien cachée dans sa planque. Elle réfléchit à la situation. Ce qui l’a exaspérée, c’est que ses parents ont refusé l’enfant qu’on leur proposait parce qu’il ne correspondait pas à l’idéal qu’ils s’en faisaient. Comment peuvent-ils, eux qui sont si peu conformes aux normes sociales se fourvoyer dans de telles considérations ?

 

  1. Parallèlement, Kays part à sa recherche. Elle est dans un endroit particulier, que lui seul peut deviner. Lui aussi réfléchit. Quand il la trouve enfin, Kate est victime d’un accident , elle est transportée à l’hôpital.

 

  1. Elle conservera des séquelles irréversibles : ses parents, d’abord affolés puis heureux d’avoir retrouvé leur fille, comprennent que ce n’est pas l’aspect physique de Kate qui compte pour eux, mais ce qu’elle est au fond d’elle. ils renoncent donc à leur stupide idéal et décident finalement d’accepter l’enfant qu’on leur a proposé. 

 

  

 

 

01 février 2010

"Trois suspects,un seul coupable..." par Guillaume CAILLAULT

CHICAGO,5 MAI 2009,19h30 ...


Chapitre I – 5 Mai 2009
Le commissaire Stone était petit,
il avait 45 ans et aimait les belles chaussures. Il était très sérieux et avait
l’allure d’un détective : loupe, grand manteau à carreaux et béret. Son
assistant s’appelait Mr Brown et était toujours en patrouille.
 Le commissaire reçut un appel, il décrocha :
- Allô, dit le commissaire.
- Allô, commissaire Stone ?
- Oui, c’est bien moi.
- Mr Brown à l’appareil. On a une histoire de meurtre au
42 blowd street, au 16ème étage. D’après le médecin légiste, il est mort il y a
deux jours : le 5 mai dernier à 19h30. On n’a pas encore identifié la
victime.
- D’accord, j’arrive tout de suite.
 L’immeuble où le meurtre s’était
passé était entre une usine de pâté pour chien et une usine de hamburgers. Les
odeurs mélangées donnaient une odeur à vous dégoûter des hamburgers. Il y avait
plein de fumée et on n’y voyait presque rien.
Le commissaire arriva dans sa petite voiture bleu – blanc –rouge de la police. Il n’avait pas mis son
gyrophare.
 
Chapitre II   - la scène du crime
Au 16ème étage, on ne voyait presque rien. Même à l’intérieur il y avait un peu de fumée. Dans
l’appartement, tout était propre et rangé, les meubles bien installés, le
robinet ne coulait même pas. Près de la porte, le mort était là, entouré à la
craie et recouvert d’un plastique.
 Le commissaire parla à son assistant :
- A-t-on identifié la victime ?
- Oui, il s’appelait Max Rogers et avait 23 ans.
- De quoi est-il mort ?
- Il n’a pas été poignardé, empoisonné. On ne lui a pas
tiré dessus. Le médecin légiste n’a rien trouvé, il pense qu’il est mort de
peur….
- Qui sont les suspects ?
- Eric Jones, le laveur de carreaux, John Bob, le
concierge et Sam Rogers : la femme de Max. Aucun  n’a d’alibi.
- Quel casier judiciaire a Max Rodgers ?
- Il a été soupçonné d’avoir tué Victoria Jones, la femme
d’Eric Jones, mais il a été déclaré non-coupable. Il ne payait pas son loyer et
trompait sa femme avec toutes les femmes du quartier.
 Le commissaire alla interroger les
gens de l’immeuble et apprit trois choses :  que le concierge avait les clefs des appartements de toutes
les personnes habitant l’immeuble ; que Max Rogers laissait sa fenêtre
ouverte toute la journée et qu’Eric Jones nettoyait les carreaux,  ce jour-là, entre 19 et 20 h. Le
commissaire joua les détectives. 
 
Chapitre III – L’enquête
 Le commissaire réfléchissait depuis
déjà trois jours, quand il se demanda comment quelqu’un pouvait mourir de
peur : brandir un pistolet sur lui, lui envoyer plein de lettres de
menace…. et soudain, il se rappela…..
 C’était une enquête pas comme les autres…. le coupable, en pleine nuit, avait décidé de
prendre un corps à la morgue et l’installer dans la maison de la victime avec
des bougies éclairant son visage. La victime, croyant voir un zombie ou un
revenant mourut d’une crise cardiaque, de peur. On retrouva le coupable grâce
aux empreintes. 
- Mais comment serait-ce possible ?,
se dit le commissaire. On a tout vérifié, du moindre petit poil à la moindre
empreinte. Mais on n’a pas vérifié le couloir… les empreintes dans le couloir, et
d’éventuelles traces sur les murs. 
On trouva sur les murs et sur le
sol les empreintes des chaussures du concierge. Le commissaire interrogea le
concierge…
 Celui-ci ne lui donna aucun élément
pour être inculpé dans cette affaire de meurtre.
 Alors le commissaire alla examiner
l’élévateur du laveur de carreaux et trouva une trace de sang qu’il fit
analyser. Les résultats de l’analyse de sang montrèrent que le sang appartenait
à la femme décédée d’Eric Jones.
 Le commissaire se rendit à la
morgue, où le corps de la femme d’Eric Jones reposait. Le docteur ouvrit le
casier 233, la femme d’Eric Jones était là…
 Une seule question restait : comment Eric Jones avait il tué Max Rogers ?
 
Chapitre IV – Résolution
 Le commissaire apprit que la femme
d’Eric Jones avait une sœur jumelle, très ressemblante, avec le même sang. Le
sang pouvait venir aussi de la sœur jumelle. Le commissaire l’appela sur son
petit téléphone sans écran et lui donna rendez-vous au commissariat de la
ville.
Il la plaça en garde à vue et
pendant 48 heures, cela donna le même résultat :
- Madame Ledsie, avez-vous tué Max Rogers ?
- Non !
- Si vous avouez, le juge baissera votre peine de 5
ans.
- Non !
- Faute avouée à moitié pardonnée…
- NON…
 Donc le commissaire la remit en garde-à-vue une semaine et elle avoua :
- Vous êtes sûre que vous n’avez pas tué Max Rogers ?
- Oui, c’est vrai, je l’ai tué mais c’est Eric Jones qui
m’a manipulée. Il m’a dit de venir dans un appartement pour une fête. De 19h25
à 19h30, on est resté dans le noir jusqu’à ce que quelqu’un arrive. En allumant
la lumière de la pièce, l’homme a vu mon visage et est mort directement. Je ne
sais pas pourquoi. Je n’avais rien dit jusque là car j’avais peur d’être
accusée du meurtre. Puis j’ai réfléchi et je me suis dis que si j’avouais, il
serait accusé avec moi. ! J’ai trouvé bizarre qu’il nous emmène à la fête
avec un élévateur pour laver les carreaux et que l’on soit passé par la
fenêtre…  c’était comme si….
- Continuez…
- Comme s’il craignait qu’on nous voie. Mais après, j’ai
compris : pour pas qu’on nous soupçonne du meurtre, mais ça n’a pas
marché.
- Et le sang sur l’élévateur ?
- En passant par la fenêtre, il y avait un bout de verre
et je me suis coupée. Ensuite j’ai mis ma main sur l’élévateur….
 Le commissaire arrêta Eric Jones, grâce au témoignage de la meurtrière.
Ils furent, tous les deux enfermés
en prison et Eric Jones fut condamné à 15 ans de prison et la sœur de Victoria
Jones à 10 ans. 
Le commissaire put enfin rentrer chez lui, s’assit sur son fauteuil préféré, alluma une pipe et murmura :
- Encore une affaire de résolue….
 FIN

Guillaume Caillault

"Je l'aimais tellement" par Mélanie RAMON

JE L'AIMAIS TELLEMENT
 
Chapitre 1: Ma petite vie de collègienne
 
A l'époque, j'étais une collègienne de 12 ans et je
me prénommais Laura. Je vivais dans une ville
de banlieue parisienne depuis ma naissance, et
l'installation de mes parents dans cette maison
confortable et lumineuse. D'un tempérament très
calme et timide, je me consacrais avec plaisir aux
études. Ma mère, Corinne, était styliste et mon père,
Serge, travaillait très dur pour garder sa place de
cuisinier, je l'admirais beaucoup. Mon petit frère,
Thomas, lui, avait sept ans.
Je passais la plupart de mon temps libre a discuter
avec ma meilleure amie Anaïs. De longues
 conversations sur mes moments passés avec
ma famille et mon petit ami Corentin animaient nos
temps libres. En effet, j'étais follement amoureuse.
Ma vie se déroulait donc paisiblement j'étais loin
de me douter du drame qui allait se produire....
 
Chapitre 2: Le meurtre
 
Comme tous les jours, vers 15 heures, je sortais
de chez moi pur aller chercher Corentin. Mais
 aujourd'hui sa porte entrouverte me faisait douter
de sa présence car il ne recevait jamais de visite,
à part de moi et de son meilleur ami Charles.
Alors que j'entrais prudemment, un cri effroyable
sortit de ma bouche: il était là, sous mes yeux ,
un poignard planté dans le ventre. Je me mis à
genoux tout contre lui et la main que je mis sur
son coeur ne sentit plus de battement. En larmes,
je répétais:
"_Non! Pourquoi toi ? Tout cela est de ma faute!
Si seulement j'étais arrivée plus tôt!
_Mais, que s'est-il passé? demanda David le voisin,
alerté par mes cris. Ne bouge pas je vais appeler
les secours....
 
Chapitre 3: L'enquête
 
Soudain, les sirènes de la police et de l'ambulance
retentirent, alertant tout le quartier. Les portes des
maisons voisines s'ouvrirent, laissant s'échapper
une nuée de gens affolés se précipitant vers la
maison de Corentin.
Les policiers entrèrent dans la pièce où mon pauvre
compagnon gisait. Le médecin ne put que constater
son décès. Selon lui, il nous avait quitté vers 14h30.
Les policiers entamèrent leur enquête en m'interrogeant
afin de comprendre ce qui avait pu se passer.
Je leur expliquai que lorsque je l'avais découvert à
mon arrivée, il était déjà mort. Mais je voyais bien
que l'inspecteur POUTEAU, qui avait été choisi pour
élucider cette affaire, ne croyait pas un mot de ce
que je disais ....
Il décida donc ma mise en garde à vue:
"_Mon Dieu, dans quel pétrin me suis-je mis!" pensais
-je en suivant les policiers qui m'emmenaient jusque
dans cette pièce sombre. J'entrais dans celle-ci,
quand soudain j'entendis une voix que je reconnus:
"_Ma chérie, je vais te sortir de là..."s'écriait ma mère
en larmes. Mais tout à coup un policier la saisit en lui
maintenant les bras.
"_Que faites-vous ici? l'interrogea-t-il, cet endroit est
interdit au public!,reprit-il"
Mais, Monsieur POUTEAU ordonna à l'agent de lâcher
ma mère. Il obéit, puis m'accorda quelques minutes pour
lui expliquer ce qui s'était passé.
Un peu plus tard, les parents de Corentin arrivèrent et
aussitôt l'agent les interrogea:
"_Pensez-vous que Laura aurait pu tuer votre fils?
_Non, bien sûr que non, elle n'aurait jamais pu faire
cela! répondit sa mère en pleurant.
_Elle l'aimait trop et puis elle n'a jamais été violente!!
ajouta son père. Je vous en prie monsieur l'inspecteur!!
Dites-moi que vous trouverez le coupable!! rajouta son
père complètement effondré.
_Je vous le garantis monsieur, mais en attendant vous
devriez vous reposez! conseilla-t-il.
Il s'assit au-près de sa femme. Pendant  que moi je
réfléchissais. Soudain, je me souvins que le voisin de
Corentin était  étrange cet après-midi. Aussitôt, je décidais
que le lendemain je devrais m'entretenir avec monsieur
POUTEAU à ce sujet. J'en profiterais pour savoir si son
jugement sur moi avait changé...
 
Chapitre 4: La résolution
 
La nuit fut très longue car je n'avais pas beaucoup
dormi. Monsieur l'inspecteur avait appris que je
voulais lui parler. Il vint me trouver:
"_Bonjour Mademoiselle, vous voulez me parler ?
  _Oui, je voulais vous parler d'un détail à propos du
voisin de Corentin: l'avez-vous interrogé ?
  _Non, pas encore. Il fait juste partie des témoins.
Avez-vous quelque chose à m'apprendre à son
sujet ?
  _Oui, j'ai eu souvent l'occasion de le croiser et il
me paraissait bizarre et ne s'entendait pas avec
Corentin. C'est un fumeur et le mégot trouvé près
du corps ne pouvait que lui appartenir car ni Corentin,
ni ses parents ne fumaient.
Songeur, l'inspecteur quitta la pièce.
Quelques minutes s'écoulèrent, quand soudain il
revient et m'annonça qu'il avait convoquer David, le
fameux voisin, et prélevé son ADN qui s'avera
correspondre à 100% avec celui trouvé sur la cigarette.
Il s'excusa et appela mes parents qui, eux, n'avaient
jamais douté de moi. Je pus retrouver ma famille et
a maison.
Quelques jours plus tard, M.POUTEAU me rendit
visite pour m'annoncer cette étonnante nouvelle:
David avait avoué à l'inspecteur le meurtre qu'il
avait commis et il avoua même qu'il avait tué par
jalousie. Cette nouvelle m'avait vraiment bouleversée.
 
Depuis, je profite de chaque instant mais je n'oublirai
jamais Corentin.
 
                               FIN
Mélanie Ramon

"Un coeur brisé et une femme assassinée" par Marine LADENBURGER

CHAPITRE : 1 PRESENTATION DES PERSONNAGES
 Bonjour je m’appelle Eva. J’ai 29 ans, 10 ans de plus que ma sœur, et je pèse 59 kg. J’adore manger, mais je suis belle, j’adore les animaux c’est pour ca que chez moi j’ai : 3 chevaux, 5 lapins, 2 cochons, 1 poule, 10 chats et 7 chiens,j’habite dans une toute petite maison avec un grand jardin. J’habite au Portugal à Lisbonne dans les années 3091. 
J’ai aussi une sœur qui s’appelle Marta, elle a 19 ans, elle fait 1 m 90et elle pèse 55 kg. Marta s’est mariée 9 fois puis elle a divorcé. Elle s’habillait comme les fées. Marta avait 3 enfants dont 2 filles et 1 garçon. Elle était grande et musclée, elle avait les cheveux blonds et les yeux bleus. Marta avait toujours son porte bonheur sur elle. Marta était actrice. Elle prenait soin d’elle, son restaurant préféré était le Mc Do. Elle faisait aussi une collection de vases mais quand elle était énervée elle en prenait un et elle le cassait.
J’ai eu aussi un Mari qui s’appellait Annoue Stich, son surnom était nounou, il s’habillait comme les personnes du moyen âge. Annoue était ridicule, il marchait en faisant des vagues avec ses pieds. Son tic était de se craquer le coup quand il était énervé et de se tapoter la joue quand il était content. Annoue avait 20 ans il était petit et pesait 10 kg. Ces cheveux étaient roux, ses yeux étaient noirs et son nez rond. Annoue était très mince,  sale et laid. Il était pauvre mais  courageux. Annoue était boulanger et aimait beaucoup de jardinage.
        
CHAPITRE 2
 Un jour je me réveillai, un matin comme tous les autres matins.
Je descendis de mon lit et  regardai la pendule, il était 10h30.je suis partie dans la cuisine pour déjeuner sauf qu’il n’y avait plus rien. Je suis partie dans ma chambre pour m’habiller, je me suis habillée en style reggae, j’ai enfilé mon blouson en cuir et je sui partie au supermarché  pour m’acheter à manger.
Je me suis  achetée  du pain de mie, des yaourts, du Nutella, des haricots verts et du mais. Ensuite j’ai sorti ma superbe carte bleue ou il ne restait plus que 100 Euros dessus et je suis rentrée à la maison. J’ai rangé mes courses et j’ai mangé une tartine de pain de mie au Nutella. Je suis partie me brosser les dents lorsque tout à coup j’ai entendu ma sonnerie de portable.Je suis vite descendue  parce que je savais qui c’était ma sœur, elle m’appelle tous les matins depuis que la grippe A est arrivée au Portugal pour savoir si je vais bien alors j’ai appuyé sur la touche verte du téléphone, puis Marta m’annonça une nouvelle :
- « Salut ma sœur adorée, ca va, parce que moi j’ai une bonne nouvelle a t’annoncer. » Cria Marta au téléphone.
- « Oui ca va bien, moi je n’ai toujours pas la grippe A !et alors c’est quoi  la bonne nouvelle que tu veux m’annonçer. » Ai-je dis.
- « Je suis enceinte. »Parla Marta.
Il eu un long moment de silence.
- «  c’est une bonne nouvelle mais de qui ? » En commencent à avoir la tête qui tourne.
- «  Avec mon nouveau mari qui s’appelle Patrick, ca te dirais de venir  chez moi mercredi. » Parla Marta.
 - «  Oui mais à quelle heure ? »Ai –je dis en me prenant un médicament contre le mal de  tête.
- « Vers 15h00, ca te va ? »
- «  Oui, moi ca me va, donc on se dit a Mercredi. »
 - « Au revoir je t’appelle demain, vers 10h00 pour avoir de tes nouvelles. »Parla Marta.
Quand ma sœur m’a dit qu’elle était enceinte et qu’elle avait eu un nouveau mari, j’ai eu un choc, elle ne m’avait meme pas invité a son mariage ! Marta a eu 10 maris en comptant Patrick.
 Avant Patrick il y a eu :
-    Jean-Pierre      - Robert           - Jean-Paul         - Christophe
-    Diego         - Roger            - Théo           - Jonathan   puis    
- Francis.
Je prenais mon gouter quand tout à coup une  femme cria dans la rue :
- « Au secours, venez m’aidez. »
Je suis vite sortie de chez moi lorsque j’ai vu un homme agresser une femme, alors j’ai crié :
- « Lâche cette femme sinon j’appelle la police ! »
J’ai aperçue quelqu’un derrière moi, alors je me suis vite retournée,
Mais c’étais trop tard le monsieur qui était derrière moi m’avais enfermé dans un sac. Je me suis même endormie  car le monsieur avait mis du somnifère. Le lendemain matin j’étais enfermée dans une cage en forme de rectangle. Je me suis demandée quelle jour on était. On était le mardi, à ce moment là je pensais à ma sœur, je devais venir chez elle le mercredi à 15h00 et elle m’appelait aujourd’hui a 10h00.
Tout d’un seul coup j’ai vu les clefs de l’agresseur  qui me guettait.
- « Arrête de me regarder ! »Cria-t-il.
Et moi je répondis :
- «  Pour qui vous vous prenez a me parlez sur ce ton ! »
C’était sorti de ma bouche tout seul.
- «  Ferme la, ici c’est moi qui commande, puisque c’est comme ca
Tu resteras ici jusque la fin de tes jours sans manger, je te donnerais de l’eau et un médicament que tu seras obligée de boire ! »
Le lendemain matin on était Mercredi.
J’avais monté un plan pour  m’évader : Je faisais semblant de prendre le médicament qui endormait, je ne buvais pas toute mon eau et mon médicament et je le donnerais a l’agresseur.
L’agresseur me parla :
- « Bois ! »
J'ai pris mon verre et j’ai tout mis dans ma bouche sans l’avaler et 5minutes après, il baillait. Je lui ai alors craché le médicament dans sa bouche et il s’endormit. Je lui ai  pris les clés qui étaient accrochées a sa ceinture puis je sortis de sa maison. J’ai appelé un taxi pour que l’on m’emmène chez ma sœur ;arrivé chez elle j’ai sonné. Elle m’ouvra puis Marta me parla :
- « Eva comment tu vas ? »
- « Bien, alors tu me présentes ton nouveau mari. »
En faisant semblant d’aller bien après ce que j’avais vécu .
- «  Oui, entre il est assit sur une chaise. »
Je suis entrée et son mari me regarda d’un air méchant.
Je discutais avec lui et sincèrement il n’était pas normal. Je repris alors un taxi pour rentrer chez moi. Ma sœur me rappela pour une mauvaise nouvelle  :
- « Eva depuis que tu est arrivée à la maison  Patrick fait n’importe quoi !! (Patrick = son mari). »
- « Je ne lui ai  rien fait à ton mari ! Ai-je crié au téléphone
 Et puis tout  d’un seul coup elle me disa :
- «  Je vais le quitter. »
Marta allait avoir 10 maris et elle n’est pas restée plus d’ 1 semaine avec un de ses maris après le mariage.
Et puis je lui parla :
- « Tu vas lui dire quand que tu ne l’aimes plus ? »
- «  Demain ! »
Et puis elle me raccrocha au nez. J’asseyais  de m’endormir mais je ne réussi pas.
Le lendemain je décidai d’aller voir ma sœur.
 Je suis arrivée là bas vers 11h30. Je vis plein de policiers autour de la maison et je voyais ma sœur qui était morte, j’étais en larme, mon cœur étais brisé. On faisait tout ensemble, on ne se quittait jamais et ce Patrick a du intervenir dans sa vie !Dès le début j’ai cru que c’était ce Patrick qui avait tué ma sœur parce qu’elle lui avait dis qu’elle ne l’aimait plus, mais non je l’ai regardé et je  vis des larmes tomber de ses yeux , puis je lui ai posé des questions :
- «  Je lui ai demandé comment il savait que ma sœur était morte puis il m’a répondu :
- « Quand on la tué j’étais avec elle, elle allait me dire quelque chose d’important sauf  qu’elle na  pas eu le temps de me le dire. »
- « Je lui ai demandé s’ il avait vu l’arme qui avais tué ma sœur. »
Il ma répondu que c’était un couteau.
Ensuite je suis partie voir les policiers et je leur ai posé une question :
- «  Est –ce-que vous avez assez d’indices  pour trouver l’arme du crime ? »
Un policier me répond que oui, il me dit  que l’arme du crime était un pistolet.
Ce n’était pas la même réponse que Patrick.
Cela voulait donc dire que Patrick m’avait menti car les policiers sont des professionnels des armes .Je posa aux  policiers une autre question :
- « Est –ce – que vous pouvez me dire qui vous a prévenu qu’il y avait eu un meurtre. »
- « Personne nous a prévenu qu’il y avait eu un meurtre, on est passé devant la maison parce qu’ on avait entendu des cris, au début on a cru que c’était son mari mais il nous a dit qu’il était parti faire des courses. » Parla un des policiers.
Je suis parti voir Patrick et je lui ai posé la  même question, sauf que lui il m’a répondu que c’était lui qui avait prévenu la police. Il m’avait encore menti, je rentrai chez moi car il était déjà 22h00 , décidé à mener ma propre enquête. Le lendemain j’allais retourner voir la police. Puis je regardai mon mari qui était dans le lit et je lui parlai :
- « Est-ce-que c’est toi qui a tué ma sœur puisque tu ne l’aimes pas ?
- Non, ce n’est pas parce que je ne l’aime pas que je vais la tuer ! »a-t-il dit.
- « Ok, c’était pour me rassurer. »
Je suis partie rejoindre mon mari dans son lit puis je m’endormis. Le lendemain je me réveillais et je filais au commissariat. Je demandais aux policiers s’ ils avaient trouvé des suspects ; il m’ont  répondu que oui alors je leurs posa une question :
- « Vous avez trouvé qui comme suspect ? »
- « les suspects sont : vous, Patrick et votre mari Annoue. »
- « Comment connaissez-vous le prénom de mon mari ?ai-je demandé.
- « C’est Patrick qui nous l'a dit. »
- « Et pourquoi vous nous suspectez ? »
- « On croit que c’est vous parce que vous nous posez des questions bizarres et votre mari parce que il n’aime pas votre sœur. »
- « Et pour Patrick vous pensez quoi ? »
- « Patrick, car quand il pleurait hier ce n’était pas des larmes c’était de l’eau. »
- « Moi j’ai d’autre indice sur Patrick, je lui ai posé des  questions bizarres pour voir s’il répondait pareil que vous. Mais lui il ne répondait pas pareil que vous, quand je vous ai posez la question : quelle arme a tué ma sœur, lui  m’a répondu que c’était un couteau et vous un pistolet. Et quand je vous ai posé  la question : qui vous a prévenu qu’il y avait eu un meurtre, vous vous m’avez dit que vous aviez entendu ma sœur crié et Patrick m’a dit que c’était lui qui vous avez prévenu. »
- «  Vous ne trouvez pas qu’il y a assez de preuves ? »
- « Si, mais on doit être sur que ca soit lui. »
Je retournai chez moi et je repensai au coup de téléphone de ma sœur, peut être que Patrick avait entendu notre discussion comme quoi ma sœur voulez le quitter !
Je retournai vite voir les policiers puis je leurs parla :
- «  Je crois savoir  pourquoi Patrick a tué ma sœur ! » Ai-je dis au policier.
- « Pourquoi il aurait tué votre sœur ? »
- « Patrick a tué ma sœur parce que juste avant j’avais eu une discussion au téléphone avec elle et elle me disait qu’elle voulait le quitter car il était devenu bizarre une semaine après leur mariage.»
Un des policiers me parlait :
- «  Cela explique tout ! »
Puis ils partirent avec moi chercher Patrick pour le mettre en prison sauf qu’il était déjà partit. Il avait écrit un mot comme quoi il était  dans sa chambre et qu’il allait se tuer car il ne voulait pas allé en prison jusqu'à la fin de ses jours.
                                         FIN                                       
Marine LADENBURGER, 5ème5.
 

29 janvier 2010

"Sur une piste glissante" par Louis STEINEUR

 

Sur les hauts massifs montagneux des Alpes, quelques petits trafics peuvent aller et venir, mais un meurtre ne passe jamais entre les mailles du filet.
Il faut toujours se méfier des hommes en smoking noir, certains peuvent être de gentils jeunes hommes inoffensifs, d’autres de méchants contrebandiers ou encore trafiquants, qui sait ??
On sait que la police arrive toujours à attraper les brigands en cavale, même si celle-ci ne dure que quelques heures…
 
Un nouveau thriller à la Steineur… 

L’histoire se passe dans les Alpes, la fraîcheur se ressent jusqu’aux os, une odeur de pâtes italiennes flotte dans l’air …

« - Ici Nelson  MONTFORT, je vous informe que Steve MALEAU, a gagné la course de Innsbruck hier. Il débute et déjà beaucoup de succès, on peut dire que ce petit est fait pour la glisse !! Il a un brillant avenir devant lui … Attendez !! On m’informe à l’instant que notre cher Steve vient de décéder dans un accident de voiture, je ne pense pas que ce soit en rapport avec la course, à moins que ce ne soit une fête beaucoup trop arrosée. »
 A la fin de son émission Nelson révolté partit chez lui, énervé il claqua les portes de sa maison, il savait que ce n’était pas un accident et jura de retrouver le coupable. Le lendemain, n’ayant pas dormi de la nuit, il alla sur les lieux du crime. Il trouva Tom VERNIER, un tricheur par excellence, son casier judicaire était déjà bien rempli pour violence. Nelson le prit par le col et lui dit : 
« Viens avec moi, si c’est toi qui as tué ce garçon tu vas le payer très cher. »
Il l’emmena dans le bureau de l’organisateur de la course, le jeta sur la chaise, pointa la lampe dans ses yeux, Tom clamait son innocence, mais Nelson reprit :
« Où étais-tu hier ? »
« Je fêtais ma deuxième place chez mes parents. », répondit Tom en pleurnichant. 
« Qu’est ce qui me prouve cela ? », relança Nelson.
« C’est vrai que tu sens l’alcool. », rajouta-t-il.
Nelson lui souffla à l’oreille quelques mots, quelques secondes plus tard Tom repartit en hochant la tête du bas vers le haut.
Plus tard, Nelson découvrit un détonateur près de la voiture, mais il demanda aussi au policier chargé de l’enquête si des preuves avaient été retrouvées, un petit indice, même minuscule, un chapeau noir qui avait dû s’envoler car un homme tranquille, d’environ 48 ans, smoking noir, était  venu le chercher. Les policiers avaient également constaté que la médaille avait disparu.
Le lendemain, le bijoutier qui fabrique les médailles des courses se donna la mort. Une coïncidence ? Non, sur une certaine lettre anonyme déposée sur la table, il y avait écrit :
« La prochaine marchandise devra être sur la prochaine médaille. La vie de ta famille en dépend. Je leur ferai manger une bonne assiette de pâte comme dans mon pays. 
Signé: Mr X » 
Nelson, informé de cette perte, chercha en vain des indices qui menaient sur la trace de Tom, criant sur tous les toits que celui qui aurait au moins un petit indice se fasse connaître. A 18h00 Nelson revint sur les lieux de crime, l’odeur de pâte italienne revint chatouiller les narines de notre pauvre commentateur de métier. Il  se posa quelques questions sur cette odeur en se souvenant  de cette lettre, puis me regarda moi, petit garçon des rues, dont l’oncle se démenait pour trouver un sens à cette énigme. Il rentra chez lui perplexe et pensif.
Le lendemain, je retournai sur les lieux de l’accident ou plutôt du crime, il n’y avait plus rien, plus aucun policier, ni même un inspecteur. Un vieux monsieur me regardait par la fenêtre, il constata que je fixais cette marque sur le sol qui me faisait froid dans le dos. Il était dans un vieux bâtiment gris, je montai les vieilles marches en bois pourri pour lui demander des renseignements, s’il n’avait pas vu quelque chose.
Une odeur de pâte italienne me chatouillait le nez et je me souvenais que sur le lieu du crime il y avait cette odeur, comme par exemple hier soir ou encore avant le crime.
 L’odeur devenait de plus en plus forte, elle me mena à l’appartement 6. Je trouvai sous la porte des petites lettres découpées dans le journal.
Je me souvins de la lettre qu’avait reçue le bijoutier. Je notai les coordonnées qu’il y avait à l’entrée et l’adresse et je les apportai à Nelson. Lui qui était de si mauvaise humeur ce matin, fit un bond, son visage s’épanouit et il me serra bien fort dans ses bras et me dit :
« Merci, mille fois »
Il partit et constata que l’odeur de pâte était beaucoup plus forte au numéro 6. Apres avoir forcé la porte il découvrit qu’il y avait non seulement personne mais aussi qu’il y avait plusieurs rendez-vous sur de petits post-it et sur un bout de papier était écrit :
« Vous arrivez trop tard mes amis, je vous ai pisté depuis le début, plusieurs micros sont disposés un peu partout dans la station, chaque geste ou prise de parole que vous avez faits, je les connais.
 Signé : Mr X »
Nelson descendit tranquillement les escaliers qui craquaient sous chaque pas. Tom l’attendait au rez de chausée et dit à Nelson :
« J’ai fait comme tu l’as dit, j’ai suivi ton neveu et ensuite cet homme qui est sorti juste avant que vous ne rentriez, il s’exclamait dans la cabine téléphonique, il parlait à son complice ou plutôt à sa mère qui lui confectionnait de bons petits plats de pâtes. Il parlait de vacances à Tokyo et en Amérique … avec les diamants …
Nelson l’arrêta et lui dit : Comment sais-tu tout ça ?
Tom reprit : J’avais envie d’action, quand cet homme sortit du bâtiment, je me suis dit que un homme louche, allure de gangster…était le coupable idéal …Soudain, une voiture noire s’arrêta devant nous en crissant des pneus, trois  mafieux en sortirent, ils embarquèrent notre fameux « Mr X », il rigola d’un rire sadique. La police arriva et les arrêta net.
 Puis Tom ajouta : « Je me suis peut être trompé de complice, mais vu qu’on était à pied je me suis dit, encore une fois, que ce serait plus sérieux d’appeler la police, pour une escorte. »
Nelson était bouche bée, il ajouta en bégayant : « d’une…d’une pierre deux…deux coups ! »
Le commandant de police les rejoignit en courant et leur dit : « Merci, grâce à vous plus d’un kilo de diamant a été retrouvé, plusieurs grammes étaient fixés sur chacune des médailles. Les premiers vols n’avaient fait aucune victime jusqu'à alors. »
Le lendemain Nelson assista à l’enterrement de Steve, ce fut une triste cérémonie... chacun des amis de Steve le regretterait longtemps.
 
STEINEUR Louis
 
 

"Le soir maudit pour la générale manager" par Maxence HURTRET

              
Un soir, nous étions à un show de catch ; mais voilà qu’il se passa un terrible assassinat à Smack Down. Dans le couloir, on entendit des bruits sourds venant du bureau de Vickie Guerrero. Une femme de ménage entra et la vit morte. Elle appela le détective Sherlock Holmes et son assistant Watson pour qu’ils enquêtent sur ce meurtre…
 
Sherlock Holmes et moi, Watson, partîmes pour New York pour aller dans une enceinte de catch. Cette enceinte était si grande, que l’on restait stupéfaits de la grandeur. Nous nous dirigeâmes vers le bureau de la victime ; dans les couloirs, nous croisâmes plusieurs catcheurs. Il y en avait des bizarres, des loufoques, des géants, des gentils… Enfin nous arrivâmes sur les lieux du crime. Nous entrâmes et nous vîmes la monstrueuse destruction de la victime. Nous examinâmes vite fait les lieux et trouvâmes deux cartes de membres, appartenant à Triple H et Shawn Michael. Le second jour, nous retournâmes dans l'enceinte, pour mieux examiner les lieux du crime. Mon ami Holmes prit la parole :
 
- Bon, on va se séparer ; toi tu vas interroger les catcheurs qui sont présents dans l’enceinte et moi je vais examiner de plus près la scène de crime, dit-il sûr de lui. Alors que Holmes cherchait des indices, moi je commençais à interroger un homme vêtu de noir, avec des tatouages. Il m’ expliqua ce qu’il avait vu. J’informai le détective qui, immédiatement accourut pour rattraper l’homme. Son nom était the Undertaker. 
Undertaker prit la parole :
 -Voilà ce que j’ai vu ; je me préparais pour mon match, mais tout à coup j’entendis des cris et je me suis caché derrière un meuble. Quelques secondes après, je vis un homme blond sortir avec Vickie Guerrero dans son fauteuil roulant. Sur le coup, je n’ai pas regardé pour ne pas me faire prendre par l’assassin. Pendant que Holmes terminait sa discussion, moi Watson, je trouvai un deuxième indice. Cet indice était un bout de tissu noir, à l’intérieur de l’ongle de la victime. C’est à ce moment que les indices se trouvaient les uns à la suite des autres.
Une semaine plus tard, moi et Sherlock Holmes, nous interrogeâmes les deux suspects Triple H et Shawn Michael.
 - Lors du meurtre nous étions dehors en train de boire un verre., dirent- ils. Personne ne pourra vous dire que c’est vrai car nous étions seuls ; pas un chat. Nous en avions fini avec eux. Tout de suite après, une femme de ménage de l’enceinte de catch vint et nous avoua qu’elle avait vu Triple H et Shawn Michael dehors en train de boire un verre, comme l’avaient dit les deux hommes. 
Sherlock Holmes et moi retournâmes dans l’enceinte et nous vîmes un catcheur qui tremblait sur le banc des vestiaires. Nous trouvâmes cela si bizarre, que nous allâmes l’interroger :
 - Bien, je suis Edge l’ex mari de Vickie ; je suis bouleversé de ce qui lui est arrivé. Je l’aimais toujours, jusqu’au jour où elle fut assassinée., s’exclama-t-il. 
Que s’était-il passé pour ne plus être ensemble ?
- J’ai couché avec une collaboratrice de Vickie ; cela l’a mise dans tous ses états et elle m’a quitté alors qu’elle m’aimait toujours. Je l’ai dégouttée ! Voilà pourquoi je suis comme ça aujourd’hui.
Nous partîmes ; Holmes et moi nous nous demandâmes si cela était la vérité. En repartant, nous vîmes Edge en train de paniquer et nous nous rapprochâmes pour mieux entendre ce qu’il disait.
Il a dit à son interlocuteur qu’il ne pouvait plus supporter de mentir et de dire qu’il était sous le choc de la mort de Vickie Guerrero. Nous décidâmes d’enregistrer leur conversation privée. 
Le lendemain, nous souhaitâmes suivre Edge. Il partit à bord de sa voiture, et il alla jusqu’à Mexico dans un endroit plutôt lugubre. Il sortit de sa voiture, et alla dans la forêt. Nous partions du principe de ne pas bouger, mais nous le suivîmes quand même. On arriva devant une cabane avec de la lumière dedans ; nous appelâmes la police tout de suite. Les forces de l’ordre enfoncèrent la porte et les deux hommes dont Edge se firent interpeller et emmener au commissariat de police. Après plusieurs minutes à attendre, le procureur a déclaré les deux hommes coupables de l’assassinat de Vickie Guerrero.                                                                          
  
Maxence Hurtret 5°2
 
 
 
                                      

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