Sans cesse rejetées par les théories du complot, les missions lunaires Américaines ont longtemps été remises en question. La future mission de Google " Lunar X-Prize" va permettre à des ingénieurs Allemands de photographier ce qui reste de la mission Apollo 17 (1972).
En 2017, le challenge international de Google va permettre à seize équipes de s'affronter pour remporter un premier prix de 20 millions de dollars (deux autres de 5 millions seront proposés) Le défi est d'envoyer un robot sur la Lune en 2017, de parcourir la distance de 500 mètres afin d'adresser sur Terre, des photos et des vidéos.
En 2016, un chercheur d'Oxford avait démontré que plus il y avait de personnes impliquées dans un complot, et moins il pouvait rester secret... Au vu de l'organisation gigantesque de la NASA, la supercherie n'aurait tenu moins de 4 années...
A ce constat de théorie douteuse, vient s'ajouter une étude récente publiée par Stanford sur les ados. En effet, ils ont un réel problème pour différencier les articles de publicité, les faux articles et les vrais articles...
Le gouvernement conscient de cette dérive grandissante, a mis en ligne un site internet qui permet de mieux comprendre les effets d'une campagne de désinformation ou d'un complot.
L'équipage s'est élancé de Baïkonour (Kazakhstan)en direction de la station orbitale. Ce site sera prochainement remplacé par le nouveau site de lancement de Vostochny (Russie).
L'actualité spatiale est très riche cette semaine, puisque le spationaute Thomas
Pesquet va prendre la direction de l'ISS ce soir. Mais une autre actualité capitale précède ce départ, Ariane 5 a lancé 4 satellites (15, 16, 17 et 18) de la constellation Galiléo.
Initialement lancés via Soyouz, cette fois-ci le lanceur Européen a été choisi pour conserver le calendrier du programme Galileo. Il faut rappeler qu'un mauvais lancement ayant mis deux satellites sur la mauvaise orbite a retardé la mise en place du réseau.
Dès le mois de décembre, le public aura accès aux données, seulement si leur "GPS" est équipé d'une puce compatible. Sécurité, une validation du signal permettra de rendre plus sûr la géolocalisation.
Par la suite, des services commerciaux permettront de bénéficier d'une précision inégalée de quelques centimètres...
Les citoyens Américains ont élu leur président pour les 4 années à venir. Celui-ci sera en charge notamment de la politique spatiale de son pays en poursuivant ou non les projets actuels.
Le site "space.com" recense les différents projets lancés durant les précédents mandats.
Débuté il y a plus de 20 ans, le projet James WebbSpace Telescope arrive à son terme. Les 18 segments qui forment le miroir principal ont été assemblés.
La distance de JWST sera également nettement plus éloignée de la Terre que celle de Hubble, 1.5 million de km contre 570 km, soit une orbite autour du Soleil, et non autour de la planète bleue...
En 1993, les astronautes de la NASA avaient pu réparer Hubble mais à cette distance d'évolution, il faut espérer que les différents modules de JWST soient rapidement opérationnels...
Avant le lancement prévu pour octobre 2018, la NASA va réaliser de nombreux tests pour finaliser le programme terrestre. Il faut préciser que le lanceur Ariane 5 a été retenu pour cette opération.
Ensuite, de nombreux tests spatiaux seront réalisés pour rendre exploitables les données de ce nouveau satellite d'observation.
Les Européens tentent pour la deuxième fois de faire atterrir un module vers la planète rouge. Cet exploit leur permet de rejoindre les autres nations ayant lancé des projets similaires.
Après avoir passé une année entière dans un cadre d'étude, six volontaires dont un Français, Cyprien Verseux, ont vécu dans un contexte d'isolement et de confinement proche d'un séjour sur Mars.
Les résultats devraient permettre de mesurer la résistance psychologique de l'être l'humain évoluant dans un environnement dangereux.
Un récent interview d'Elon Musk indiquait la possibilité de perte humaine lors des premiers séjours...
Après l'abandon du programme Tiangong 1 et la destruction récente du module dans l'atmosphère, les Chinois se sont lancés dans un nouveau programme de station orbitale. En septembre dernier, le module Tiangong 2 a été lancé dans l'espace pour accueillir de nouveaux scientifiques. Deux taïkonautes s'envolent aujourd'hui pour une période de 30 jours.