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20 novembre 2011

Yves Saint Laurent vu par Naomi ...

Naomi a fait un exposé sur le tailleur Yves Saint Laurent ...

 

De nos jours il n'est pas rare de croiser dans nos rues, des femmes vêtues d'un tailleur pantalon noir sortant des bureaux. Mais ce que l'on sait moins c'est que ces tenues, devenues banales, ce sont inspiré du smoking pour femme d'Yves Saint Laurent. Il impose rapidement son style. Il préfère oublier les postures maniérées de la Mode pour se concentrer sur les bouleversements de son époque. Crée en 1966 pour la collection rive gauche d'Yves saint Laurent, ce vêtement  scandalise la presse autant qu'il l'a fascine, comme  Gabriel Chanel en son époque.

Chanel avait libéré les femmes avec la petite robe noire, Yves Saint Laurent leur a donné le pouvoir, avec le smoking . Il est le premier couturier à emprunter les vêtements des hommes pour habiller les femmes, à une époque ou le pantalon était interdit dans les entreprises.

   

D' abord ce qui frappe dans cette création  c'est sa sobriété, en effet, est composé d'une veste ample noire d'une chemise blanche, un collant et d'un pantalon noir, une toile tailleur entoilée sur le plastron, un col thermocollé ou piqué de points tailleurs pour le maintien, un revers de satin, un passepoil sur la poche, des boutons habillés de passementerie ou de jais. La fluidité du pantalon permet de donner le mouvement aux femmes, qui ne pouvait le porter dans l'entreprise. De plus, ce tailleur pantalon se porte avec des talons ce qui donne une dimension de pouvoir " Détourner ce qui est à l'homme pour le donner aux femmes ". C'est la vision qui s'est construite autour de cette création.

 

Comme Gabriel Chanel avec sa robe noire, Yves Saint Laurent s'inscrit dans la lignée de l'avant garde. Ces vêtements sont le signe d'une forte contestation  sociale à cette époque.

Aujourd'hui, ce vêtement si controversé est devenu un basique.  On le trouve partout, dans les magasines féminins   dans la rubrique la tendance de l'hiver la "It boys" ou bien imité dans les grandes enseignes comme H&M , Zara et TOP shop  ou dans les collections de prêt-à-porter .

Le style Ysl n'a jamais été aussi classique.

 

Cette photographie montre qu'avec 5 marques très différentes on peut réaliser parfaitement un smoking YSl

Et certains créateurs le revisitent comme Lanvin

 

14 novembre 2011

Le conducteur du journal télévisé

Sarah propose une synthèse de l'enquête menée par la 2de 8 sur le Journal Télévisé, et plus précisément sur le conducteur (c'est le nom qu'on donne aux titres au début du journal) : 

Mesdames et Messieurs bonjour,  il est temps de vous présenter : le journal télévisé

 JT, rendez vous quotidien depuis presque trois quarts de siècle, vous informe sur toute l’actualité… ou presque… La classe de 2°8 a enquêté sur le conducteur (c'est-à-dire les titres ndlr) de chaque JT du 11 octobre pour démontrer un fait : le journaliste remplit-t-il son rôle de nous informer sur toute l’actualité ?

Pour le savoir nous avons mené notre petite enquête, tout d’abord nous avons examiné les conducteurs de sept journaux télévisés de 13 heures et de 2 0heures sur plusieurs chaînes : TF1, France 2, France 3, ARTE, M6 et LCI. Oui, cela fait beaucoup mais nous nous devons de faire un travail précis et réfléchi pour vous chers lecteurs. Enfin, continuons, après quelques recherches, nous avons remarqué que les titres concernent essentiellement l’échelle nationale : seulement six titres sur trente-quatre touchent l’échelle internationale. De plus, presque la moitié des sujets sont des faits divers appartenant à la rubrique du magazine. La question que vous devez surement vous poser est : « Pourquoi ? ». En réalité, plus de 3000 dépêches parviennent chaque jour aux journalistes et oui c’est énorme vous vous doutez bien qu’ils doivent donc les trier. Il doit décider s’il fait plutôt de l’info internationale ou du magazine vie quotidienne. Qu’est qu’ils travaillent dur nos journalistes …  En sachant qu’il faut éviter que les téléspectateurs zappent, ce qui ferait chuter l’audimat. Comment le journaliste peut-il capter notre attention pour éviter cela ? Il va faire appel à nos émotions ! En utilisant des faits divers, une info sur un homme qui s’est fait poignarder près de chez nous va nous intéresser beaucoup plus que de la guerre à l’autre bout du monde par exemple... . C'est là qu'est le problème, il faut choisir entre faire un vrai journal au risque de perdre de l'audimat ou bien faire un journal nous informant moins mais qui nous captive. Vous avez maintenant une petite idée sur le rôle du journaliste et sur l’information d’un bon journal télévisé. Nous  espérons avoir répondu à vos questions ! A bientôt chers lecteurs…

 

La colonisation vue par la culture populaire ...

En classe, nous avons vu comment la culture populaire mettait en scène la colonisation :

- à travers des chansons :

(cf http://blog.crdp-versailles.fr/histargeo/index.php/post/14/11/2011/Les-chansons-coloniales-écoutées-en-classe-...)

- à travers la littérature enfantine : ex Babar de Jean de Brunhoff, paru en 1931 au moment de l'exposition coloniale (comme la chanson Nénuphar) : Babar est un petit éléphant qui se civilise au contact de la vieille dame et de la ville ... il revient dans la jungle habillé et civilisé, il est alors élu roi des éléphants

"Babar est sorti de la grande forêt et arrive près d'une ville ..."

... c'est la vieille dame qui fait l'école : 

- à travers la Bande Dessinée : Tintin au Congo, qui parait lui aussi en 1931 ... après avoir été au pays des soviets en 1930, le reporter part au Congo, l'unique colonie belge. Sa représentation de l'Afrique est caractéristique de la représentation que se font alors les Européens des colonies et des populations colonisés. Les noirs ont des visages stéréotypés, et ils parlent "petit nègre". Ils voient Tintin comme un Dieu ... se trouve ainsi justifiée la prétendue mission civilisatrice ...Hergé déclarera ainsi à propos de l'album : « Pour le Congo tout comme pour Tintin au pays des Soviets, il se fait que j’étais nourri des préjugés du milieu dans lequel je vivais… C’était en 1930. Je ne connaissais de ce pays que ce que les gens en racontaient à l’époque : "Les nègres sont de grands enfants, heureusement que nous sommes là !", etc. Et je les ai dessinés, ces Africains, d’après ces critères-là, dans le pur esprit paternaliste qui était celui de l’époque en Belgique". 

Tintin fait l'école ... comme la vieille dame dans Babar ... la mission civilisatrice ... sauf que le cours d'histoire dans la version 1931 se transforme en cours d'arithmétique dans la version 1946 ...

http://mondomix.com/blogs/samarra.php/2009/11/28/tintin-au-congo-ou-la-mission-civilisatr

- à travers la publicité comme celle de Banania et son slogan "Y'a bon banania" : on retrouve ici la représentation d'un noir aux traits stéréotypés, qui parle "petit nègre". Il est en uniforme de tirailleur sénégalais car la pub date de 1915. La marque participe à l'exposition coloniale de 1931. Le slogan n'est remplacé qu'en 1977.

Fichier:Banania.jpg

- enfin, nous avons évoqué le « fardeau de l’homme blanc », qui est un poème écrit par le britannique R.Kipling en 1899, et dans lequel il évoque le poids que représente pour l’homme blanc la nécessité de civiliser les peuples dits primitifs. Ce poème est autant un soutien à la colonisation des Philippines par les E-Unis, qu’un avertissement du coup que cette colonisation pourrait représenter. Il a également écrit le livre de la jungle, en 1894.

 

Les chansons coloniales écoutées en classe ...

Voici les chansons coloniales que nous avons écouté en classe, avec les dates et les paroles … vous pouvez les réécouter sur ce site : http://www.ac-nancy-metz.fr/cinemav/escla/ei25.htm

 

Moi tout faire pour te plaire (1934)

Refrain

" Moi tout faire pour te plaire ...toujours
La cuisine, la vaisselle ...l'amour "


Moi savoir repasser plein de mouchoirs
Et chasser et pousser les idées noires.
Moi faire bons petits plats
Retourner matelas...

Moi savoir taper tapis
Moi savoir bien cracher sur chaussures
Moi bien faire la tambouille
Les chatteries, les chatouilles
Les parquets, les bafouilles

Moi avoir petits mollets pas laids
Et beaux ptits macarons tout ronds
Moi chanter la chansonnette
Souffler dans clarinette
Et claquer castagnettes "

Refrain

 

Le grand voyage du pauvre nègre (texte d’E.Piaf, 1939)

Soleil de feu sur la Mer Rouge
Aucune vague rien ne bouge
Dessus la mer un vieux cargo
Et dans la soute pleure un nègre
Un pauvre nègre maigre, maigre
Un nègre maigre dont les os
Semblent trouer la peau

Ohio ! Ohio !

Monsieur Bon Dieu, vous n'êtes pas gentil
Moi pas vouloir quitter pays

Moi vouloir voir le grand bateau
Qui crache du feu et marche sur l'eau
Et sur le pont, moi j'ai dormi.
Alors bateau il est parti
Et capitaine a dit comme ça
Nègre au charbon il travaillera


Monsieur Bon Dieu, vous n'êtes pas gentil
Moi pas vouloir quitter pays
Ohio ! Ohio !

Toujours plus loin au bout du monde.
Le vieux cargo poursuit sa ronde
Le monde est grand encore des ports
Toujours plus loin, encore des ports.

Ohio ! Ohio !
Monsieur Bon Dieu, vous n'êtes pas gentil
Y en a maintenant perdu  pays

Pays à moi très loin sur l'eau
Et moi travailler au fond bateau
Toujours ici comme dans l'enfer
Jamais voir danser la mer
Jamais voir grand ciel tout bleu
Et pauvre nègre malheureux


Monsieur Bon Dieu, vous n'êtes pas gentil
Y en a maintenant perdu  pays
Ohio ! Ohio !

Au bout du ciel sur la mer calme
Sur la nuit claire il voit des palmes
Alors il crie c'est mon pays
Et dans la mer il a bondi
Et dans la vague chante un nègre
Un pauvre nègre maigre, maigre
Un nègre maigre dont les os
Semblent trouer la peau

Ohio ! Ohio !

Monsieur Bon Dieu, toi bien gentil
Ramenez moi dans mon  pays

Et viens Bon Dieu, vine au secours
Moi pas pouvoir nager toujours
Pays trop loin pour arriver
Et pauvre nègre tout fatigué
Ca y est, fini, Monsieur Bon Dieu,
Adieu pays, tout le monde adieu

Monsieur Bon Dieu !
Monsieur Bon Dieu !
Oh !
Oh !
Oh !

 

Souffler dans clarinette
Et claquer castagnettes "

Refrain

 

Nénuphar : marche officielle de l’exposition coloniale 1931

Quittant son pays
Un p'tit négro
Vint jusqu'à Paris
Voir l'exposition coloniale

C'était Nénufar
Un joyeux lascar
Pour être élégant
C'est aux pieds qu'il mettait ses gants

Nénufar
T'as du r'tard
Mais t'es un p'tit rigolard
T'es nu comme un ver
Tu as le nez en l'air
Et les ch'veux en paille de fer
Nénufar
T'as du r'tard
T'as fait la conquête des Parisiennes
T'es leur fétiche
Et tu leur portes veine !

Faut pas croire toujours
Tout c'que Nénufar raconte
Ainsi l'autre jour
Il m'a dit
Quand je fais mes comptes
A la craie j'écris
Sur l'dos d'ma chérie
Et d'un coup d'torchon
Après j'efface les additions

Nénufar
T'as du r'tard
Mais t'es un p'tit rigolard
Yu as le nez en l'air
T'es nu comme un ver
Et les ch'veux en paille de fer
Nénufar
T'as du r'tard
Mais t'es quand même débrouillard
T'as fait la conquête des Parisiennes
T'es leur fétiche
Et tu leur portes veine !

 

Un jour Nénufar
Entra dans une grande parfumerie
Il voulait des fards
Pour sa p'tite amie
Donnez-moi qu'il dit
Du rouge en étui
J'en veux trente kilos
Car c'est une négresse à plateaux

Nénufar
T'as du r'tard
Mais t'es un p'tit rigolard
T'es nu comme un ver
Tu as le nez en l'air
Et les ch'veux en paille de fer
Nénufar
T'as du r'tard
Mais t'es quand même débrouillard
T'as fait la conquête des Parisiennes
T'es leur fétiche
Et tu leur portes veine !
....
T'as fait la conquête des Parisiennes
T'es leur fétiche 

10 novembre 2011

Le concours photo 2011 : les résultats !

Deux photos sont arrivées ex aequo : celle de Léna en 1ère ES2 (la "photo 3") et celle de Maxime et Sarra en 1ère ES3 ("la photo 4") ! Bravo aux vainqueurs … et merci aux 12 membres du jury.

Voici les photos, les commentaires des élèves et quelques morceaux choisis des commentaires faits par les membres du jury (composé du proviseur, de la proviseur adjointe, des CPE, de l’intendance, des documentalistes, et des professeurs d’histoire géographie.)

 
Le projet a été publié sur le site académique : http://www.hda.ac-versailles.fr/spip.php?article110

Photo 3 (photo de Léna 1ère ES2)

 

Légende : cette photo a été prise depuis le quai  Georges Gorse à Boulogne Billancourt. Elle représente le pont Daydé, pont routier construit en 1928 par Henri Daydé et qui relie l’Ile Seguin à la rive droite de la Seine. On aperçoit la porte des anciennes usines Renault par lesquels tous les ouvriers de l’usine Renault passaient chaque matin pour aller travailler. Même si l'île Seguin est en totale réhabilitation, la mémoire du lieu et l'association de Billancourt et Renault a été préservée avec le classement en monument historique de cette porte d'entrée de l'ancienne usine. 

Les commentaires des membres du jury 

“Petit coup de cœur pour la photo 3. C'est la nostalgie qui parle! En effet, la porte d'entrée principale reste le seul "vestige" de l'activité de l'ile qui a été préservé. »

"J'aime beaucoup la 3 : une image, un vestige de ce qui nous reste aujourd'hui d'une époque de la ville. Cette photo  nous montre un endroit et  un passé pour l'instant encore non reconstruit , non réaménagé, que personne ne s'est encore approprié . Dans tous les quartiers en réaménagement on voit ces endroits qui sont "dans l'attente " de .... ;  un "entre deux"  ; un temps suspendu entre passé et avenir qui laisse libre cours à l'imagination de ce que ce lieu  était et de ce qu'il redeviendra."

 

“Mon côté passéiste … la 3 !”

    

Photo 4 (photo de Maxime et Sarra 1ère ES3)

Légende : notre photographie a été prise sur L'Île Seguin au milieu du "Jardin de l'Île Seguin" et est prise par vue d'ensemble séparée en deux plans : un premier, l'Île Seguin et un travailleur des usines Renault des années 1960  et un second, le Trapèze et le quartier du Pont de Sèvres. Nous avons trouvé judicieux de faire apparaître un contraste entre le travailleur des années 1960 qui est retouché par un effet de noir et blanc qui exprime une idée du passé et le nouveau paysage "Ile Seguin, Trapèze, Quartier du Pont de Sèvres" qui exprime une modernité. L'histoire que raconte cette photographie est qu'un travailleur des années 1960 se retrouve en plein milieu de l'île Seguin où il n'y a plus d'usines ni d'employé et se sent donc perdu et satisfait. 

Les commentaires des membres du jury :

« Ma préférence va à la 4 avec la personne de dos en premier plan qui voit la même chose que nous. Elle me parait très riche. »

« Photo 4 : un humain, seul, devant un irrémédiable désert de fer et de verre ; ciel gris bien sûr... »

« Je choisis la photo 4 car on y trouve à mes yeux de l’émotion et de la subtilité. Subtile par l'infinie des interprétations qu'elle offre à notre regard. N'assiste-t-on pas ici à la célébration de l'architecture, capable d'arracher l'homme à sa condition naturelle? En effet, celui-ci est représentée prisonnier d'une végétation sauvage, comme un symbole de l'être originel. La voie du progrès se trouve alors toute tracée : de l'état primitif où se trouve l'homme jusqu' à l'architecture, les bâtiments situés à l'horizon. On peut tracer d’ailleurs une ligne partant de la tête de l'homme et qui monte jusqu'au toit de l'immeuble de droite. Néanmoins, cette interprétation est peut-être tirée par les cheveux (à l'observer de près, c'est ce que semble me souffler l'homme sur la photo!): cette photographie peut au contraire s'envisager comme un formidable avertissement adressé à l'architecture. Témoin de son temps, la photographie offre une place à la mémoire, ici la mémoire ouvrière. L'architecture semble au contraire évoluer dans une attitude nombriliste, où l'humain est complètement mis de côté, délaissé, dépassé. »


et pour les autres photos (que vous pouvez revoir ici http://blog.crdp-versailles.fr/histargeo/index.php/post/04/10/2011/Concours-de-photo-1%C3%A8re-ES-/-l-am%C3%A8nagement-des-anciens-terrains-Renault), voici une compilation des commentaires qui ont été faits : 

« J'ai vu les photos et elles sont toutes très intéressantes. Ma préférence va à la 4 avec la personne de dos en premier plan qui voit la même chose que nous. Elle me parait très riche. J'aime bcp la 1 et bien sur celle (la 3) de l'entrée des usines (c'est un coté nostalgie perso). La sixième me parait décontextualisée.”

« Je vote pour la photo 1, la photo est réussie et a le mérite de faire cohabiter 3 générations de bâtiments! »

« Le choix est difficile. Elles sont toutes les 6 attirantes.  J'aime beaucoup la 3 : une image, un vestige de ce qui nous reste aujourd'hui d'une époque de la ville. Cette photo  nous montre un endroit et un passé pour l'instant encore non reconstruit , non réaménagé, que personne ne s'est encore approprié . Dans tous les quartiers en réaménagement on voit ces endroits qui sont "dans l'attente " de .... ;  un "entre deux"  ; un temps suspendu entre passé et avenir qui laisse libre cours à l'imagination de ce que ce lieu était et de ce qu'il redeviendra. La photo 4 fait coexister ce passé porté par le personnage et cet avenir , pas toujours lisible dirait -on..... J'aime la photo 2 qui met en image les grandes  perspectives , très caractéristiques du réaménagement de ce quartier.  La 5 est superbe esthétiquement , j'aime bien le jeu de couleurs entre les éléments naturels et urbains.

La 6 est très symbolique de ce que peut être l'habitat urbain mais est moins révélatrice du quartier. Le choix est vraiment difficile … banco pour la 3 !! »

« je vote pour la une, pour la présence humaine en premier plan, la perspective fermée accentuée par le choix du noir et blanc qui, je trouve, met bien en relief l'aspect géométrique des immeubles et la répétition des formes. La photo est beaucoup plus évocatrice que ne le dit la légende. Ca fait très photos et films de banlieues des années 1990, ça doit me rappeler quand j'étais jeune :) »

 

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