"L'enfant perdue" 405

Une mère prête à tout faire!

Une fille perdue.

-15 mars 1976: Sans doute le plus beau jour de ma vie. Qui pouvais  imaginer une fillette bourgeoise de 18 ans qui venait de se faire larguer par son petit-ami. Je étais seule à l’hôpital venant  d'accoucher il y à 1 heure et 42 minutes d’une petite fille nommée Carole. Bienvenue dans ma vie, à oui je m’appelais m

Marie-Claude!

 

-12 mars 1977: Dans trois jours Carole aura un an, je lui préparait une grande fête à la maison le quinze au soir, de dix-huit heures à cinq heures du matin.

En faisant sa promenade toute a l’heure  nous avions collées des affiches pour le quinze  dans la ville, une invitation de toute la ville et ses habitants pour l’anniversaire de ma fille.

 

-15 mars 1977: C’est le grand jour, je n’avais aucunes idées de combien de personnes seraient  présentes ce soir. Il était dix-huit heures nous étions environ cinquante dans mon jardin la piscine était remplie de mes invités. La plupart d'entre-eux ne me connaissent pas cela me permettait de faire la connaissance des habitants de cette ville.

Il était dix-neuf heures nous étions maintenant plus de cent cinquante, des habitants d’autres villes étaient aussi présents mais cela n’avait pas d’importance. La nuit tombait, la musique était lancée, le barbecue était enfin prêt et les boissons étaient sorties tout le monde était là, la soirée pouvait enfin commencer. Il était vingt-deux heures et je

venais de couchée ma fille dans son lit invités était

rester jusqu’à trois heures du matin.

 

-16 mars 1977:Il est dix heures du matin et Carole dormais encore, je décidais alors d’aller la réveiller lorsque j’entrais dans sa chambre elle avait disparue!

Ma fille qui avait disparue, disparue, non impossible, quelqu’un l’avait-elle enlevée? Mais quand ça? Hier où aujourd’hui?

Je n’avais aucunes réponse à mes questions, je décidais alors d'appeler la police pour déclarer sa disparition.

 

-17 mars 1977: aucunes traces de ma fille, les policiers était a sa recherche depuis maintenant dix-huit heures. Chaque heure je les appelaient en espérant rien qu’un petit indice où une piste, mais chaque réponse étaient  les mêmes , je n’avait plus aucuns espoirs de la retrouver.

 

-17 avril 1977: Un mois que Carole avait disparue, j’allais maintenant à la salle de sport, c’est que j’avais rencontrer Alexandre un garçon de mon âge nous avions sympathiser, tout ça allais un peu vite mais il vivait maintenant chez moi.

C’ était le seul qui ne me prenait plus pour une folle dans cette ville, je décidais donc de partir à deux kilomètres d’ici.

 

-23 septembre 1977: Nous étions enfin installés dans une petite ville mystérieuse, une ville qui faisait peur au gens.

Maintenant deux mois que j’y était installés avec Alexandre. Notre voisin de gauche Mr Mycornic à marcher dans notre rue avec une hache à la main de vingt-trois heures à l’aube. Il sortait de trois ans d’hôpital psychiatrique, il nous racontaient que c’était pour protéger nos maisons des bandits. Notre voisine de droite Mme Cilla elle était passionnée par les produits ménagers chaque jours je la voyait en ramenés chez elle, elle passait  son temps à demander à Mr Bouquerin un homme d’une saleté incroyable voulait qu’elle nettoie sa maison, sa voiture, mais aussi ces habilles, une vraie dingue du ménage.Quand à notre voisine d’en face Mme Pacota  une femme plutôt discrète elle m’interrogeait elle avait une petite fille du même âge que la mienne un an et six mois quelle coïncidence, elle ressemblait d'ailleurs à Carole mais elle s'appelait pourtant Barbara.

 

-5 novembre 1977: Je supposais que Mme Pacota avait enlevée ma fille sa tête oui sa tête je l’avait déjà vue quelques part certainement qu’elle c’était invitée à la fête de ses un an.

 

-7 janvier 1978: j’avait entendus Barbara hier pousser des hurlement, je dis bien des hurlements pour que Mme Pacota ne la rentrait pas dans la maison, elle devait la tapée ou la torturée, et son crie, perçant je l’avait reconnue, c’était  elle mais je n’avait  aucunes preuves je le sait c’était  tout comme une mère reconnaissait son enfant.

 

-3 avril 1978: J’avais reçue un appel de la police ce matin, ils arrêtaient l’enquête, j’était folle alors si personne ne la faisait j’allait la faire moi cette enquête. Je m’introduisais dans la gendarmerie pour regarder les documents sur l’enquête de ma fille, je n’y trouvais rien donc je repartais.

 

-19 avril 1978: Ce matin lorsque Mme Pacota partais travaillée et emmenée Barbara à L’école. Je forçais la porte, j’avais finis par rentrée et quelque chose m’intriguais. Barbara n’avait pas de chambre et je ne retrouvais pas les habilles de moins d’un an certainement car c’était avec moi qu’elle était.

Il était l’heure de passer à l’acte.

 

-22 avril 1978: Il y avait une petite heure que j’avais appelée l’assistante sociale pour la prévenir que Mme Pacota s’occupait mal de sa fille Barbara, elle ne lui avait pas fait de chambre, et lui parlait mal, je prétendais que j’étais quelqu’un de proche ce qui expliquais  que je n’avais pas vue de chambre pour la petite, après cet appel j’espérais qu’on lui enlève sa fille et qu’elle serait placée dans un foyer où famille d’accueil.

 

-5 juin 1978: L’assistante sociale avait arrêtée Mme Pacota pour problème psychiatrique, elle ne pouvais donc pas garder Barbara. Ça faisait maintenant deux semaines que Mme Pacota était partie en hôpital psychiatrique, quand à Barbara que j’appelais Carole dorénavant ce prénom lui allait mieux, donc je n’avais plus aucunes traces de Carole.

 

Trois ans plus tard…

 

-18 août 1981: Je vous écrivais aussi tard car je n’avait pas retrouver la trace de ma fille (Barbara) Carole. J’étais moi aussi aller en hôpital psychiatrique le vingt-neuf août 1978 en étant enceinte de trois mois, je ressortais le trente août 1979 avec mon fils Jean. Il allait avoir trois ans le 9 février. Avec Alexandre nous avions un plan, refaire la même soirée que pour les un an de Carole tout nos voisins étaient invites dont Mme Pacota qui était sortie de l hôpital il y avait un mois. Elle pouvait comme ça essayer d’enlever Jean et nous la coincerons pour la faire arrêter.

 

-10 février 1982: La soirée d’hier était compliquer.Les invités était arriver à dix-neuf heures, Jean était coucher à vingt-une heures. A deux heures du matin Mme Pacota partait avec sa fille et un gros sac noir, Alexandre lui demandait si elle voulait qu’il l’aide à porter ce sac, elle acceptait sans problème. Une fois qu’il arrivait devant sa maison, il lui demandait ce qu’il y avait dedans elle renonçait de lui dire, mais il l’a menaçait d’appeler la police si elle n’ouvrait pas le sac. La police finissait par arriver, ils retrouvaient Jean endormis au somnifère dans le sac.

 

-21 juin 1982: On faisait des testes pour savoir si Barbara était bien ma fille et oui c’était Carole. Mme Pacota était partie en prison pour avoir enlevée mes deux enfants. Carole reviendra vivre avec moi Alexandre et Jean dans un an.

Ajouter un commentaire

Les commentaires peuvent être formatés en utilisant une syntaxe wiki simplifiée. Les liens ne sont pas autorisés.

Fil des commentaires de ce billet