Critique sur Le Rapport de Brodeck

LE RAPPORT DE BRODECK de Philippe Claudel

 

Paru à Paris dans l'année 2000, Le rapport de Brodeck connaît un incroyable succès et gagne le prix Goncourt des lycéens. Fin de la seconde guerre mondiale, dans un village, un étranger est assassiné. Brodeck rédige des notices sur la nature pour son administration. Sollicité par les villageois, il accepte d'écrire un rapport sur les faits qui ont conduit à ce drame. Il y décrit la violence, la haine, le comportement inhumain et sauvage de la guerre, les flash-back de son emprisonnement dans les camps apparaissent souvent dans cette œuvre, comment il a été traité comme littéralement comme un chien. Il a obéi et c'est comme cela, dit-il, qu'il a survécu, en se prenant au jeu et à assouvir les envies saugrenues des gardes SS. La guerre lui a pris sa femme, son village natal et c'est pour cela qu'il cherche à y retourner. A sa libération, un gentil-homme propose généreusement d'aider cet homme a moitié nu, maigre comme un clou, des dents cassés et jaunis voir même noircit, il le nourrit, comme un roi (cite Brodeck), et petit à petit il retrouve la forme et pars pour retourner à son village. Il parle tout au long du récit de l'Anderer, l'autre en allemand. On ne connaîtra pas son identité, il restera une énigme pour tout le monde, un personnage sombre avec un regard perçant.

En ce qui es pour mon avis personnel, cet œuvre m'a beaucoup plu par son écriture simple et les faits marquant de ce personnage mettent des émotions dans la lecture qui reste agréable. L'auteur appui beaucoup sur les détails.

                                                                                                                                                                             

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