07 janvier 2013
Par Romain le 07 janvier 2013, 09:53 - La page des métiers
Par Romain le 07 janvier 2013, 09:42 - La "naissance" dans la Cité
J'errais dans mon appartement à la recherche d'une occupation que je puisse faire pour me divertir lorsque je vis a travers la fenêtre une pub qui passait sur un bus annonçant l'arrivée d'un jeu révolutionnaire pour bientôt... Je décidai de tester ce formidable jeu que l'ont disait en quatre dimensions, à la fois graphiquement ultra performant mais aussi étrange et malheureusement limité en distance dans l'espace. Malgré tout, le lendemain matin je pris plaisir a attendre plus de 2 heure devant le magasin... Je trouvai beaucoup de gens a attendre qui aimais ce jeu qui permettait de se faire d'autres amis. Je m'installais donc à mon fauteuil en mettant mon bonnet et mes gants, puis j'allumais mon écran. D'abord noir, il devint blanc et une lumière blanche apparut, qui enveloppa tout à fait.
Je me suis réveillé dans un couloir, donnant sur plusieurs pièces. Elles donnaient toutes sur des salles de classe... mais il y en avait une qui a porté ma curiosité à son apogée c'était celle de musique, où il y avait une affiche avec écrit dessus le poème de Charles BAUDELAIRE "L'alchimie de la douleur" qui a pour moi une grande valeur sentimentale.
Poème:
L'un t'éclaire avec son ardeur,Charles Baudelaire, Alchimie de la douleur
Par Monsieur A. le 07 janvier 2013, 09:34 - "Bel-Ami" de Guy de Maupassant.
Travail en plusieurs étapes :
Lecture de l'œuvre dans l'édition Pocket
Relevé des informations et références des pages concernant le thème étudié dans l'œuvre. Pour rappel, les thèmes sont : ......''.'.'..'.......
Mise en forme dans un billet du blog des informations relevées avec les références des pages dans le Pocket et avec les liens vers l'édition numérisée sur Wikisource.
À partir des billets, constitution d'une "carte mentale" de l'univers de Bel-Ami.
Par Patricia le 07 janvier 2013, 09:24 - La page des métiers
Plus tard j'aimerais exercé :
Ce qui ma donné envie de faire ce métier, ce sont les gens que je connait dans mon entourage. Et aussi car j'aime communiquer avec les gens .
ou
Je souhaiterais faire ce métier car j'aime diriger ce qui m'entoure et travailler dans le commercial.
ou
-Travailler dans la commnication :
J'aime ce métier car travailler avec des personnes est mon métier d'avenir.
Par Monsieur A. le 07 janvier 2013, 09:23 - Séquence III : Le portrait dans le roman du XIXème siècle
Liste des thèmes d'exposés :
Par Laurane le 07 janvier 2013, 09:23 - La page des métiers
j'aimerais peut-être travailler dans la communication et le markéting
pour mieu comprendre les métiers que j'aimerais faire : cliquez-ici
Ce qui m'a donné envie de faire ces métiers c'est grâce à mes parents car ils travaillent tout les deux dedans mais ils font des choses totalement différentes et cela m'intéresse beaucoup.
Photo représentant la communication :
Photo représentant le marketing :
Par Brune le 07 janvier 2013, 09:16 - La page des métiers
Le métier que je veux faire plus tard : designer culinaire
la personne que j'aimerais rencontrer est Hélène Darroze
Mon pere cuisine enormement et très bien, mais ce que j'aime c'est dresser les plats. En sois faire la cuisine ne m'interresse pas c'est le dinign des plats qui m'attire.
pour voir des photos cliquer ici (Konkretemag)
pour comprendre ce métier cliquer ici (Eatdesign.fr) ou cliquer ici (Germain Bourré-Designer)
Par Elyes le 07 janvier 2013, 09:01 - La page des métiers
Par Léa le 07 janvier 2013, 08:54 - La page des métiers
05 janvier 2013
Par Thibault le 05 janvier 2013, 18:22 - La "naissance" dans la Cité
Le lieu: L'exposition Japon Paris Bretagne (Musée départemental breton à Quimper)
La poésie: Demain dès l'Aube
L’œuvre d'art: Sous la vague au large de Kanagawa d'Hokusai Katsushika
Ce Noël je tenais enfin entre mes mains le jeu tant attendu "La Cité".Sans perdre une seconde je l'installais sur mon ordinateur,casque sur les oreilles et gants enfilés. A peine l'écran allumé je fus ébloui par une intense lumière blanche et, sans notion du temps écoulé, je me réveillais dans La Cité.
J'étais tombé dans une petite pièce inconnue. J'étais seul. En face de moi, dans une cage de verre, se dressait une immense armure de samouraï. Accrochés au mur des masques grimaçants me fixaient. A ma gauche se trouvaient des katanas et des petites sculptures de bois et de bronze.Tournant mon regard vers la droite je compris le sens de tout ceci: une impressionnante affiche annonçait l'exposition Japon Paris Bretagne, la gravure sur bois en couleurs.
Il y avait une odeur de vieilli, je pouvais respirer normalement et je me levais sans peine.Je décidais d'aller dans la pièce voisine. Tout autour de moi je pus contempler d'étonnants tableaux: des estampes japonaises, des paysages bretons, tous évoquaient la mer. Je fus attiré par un petit tableau que je reconnu avec plaisir. C'était une gravure sur bois que j'aimais tout particulièrement : Sous la vague au large de Kanagawa.
Mon fichier audio:thibault_la_cite.wav
24 décembre 2012
Par Benjamin le 24 décembre 2012, 11:28 - La "naissance" dans la Cité
poème: Les fleurs du mal de Charles Baudelaire
lieu:ma maison
tableaux:Les Nymphéas de Monet
Tout a commencé il y a trois mois , j' étais sur le net et c'est la que j'ai découvert une pub qui a changer ma vie . C'etait une pub pour un nouveau jeu vidéo appelé "La Cité" avec ce message "Dans La Cité tout peut arriver ." . Alors j'ai commencé à faire des recherches sur internet , le jeu m'a plus et donc je l'ai commandé .
Aujourd'hui c'est le grand jour , j'ai enfilé mes gants , mon bonnet et j'ai allumé l'ordinateur et lancé le jeu . Une lumière blanche est apparu , et le jeu a commencé . Les images ont commencé à apparaître , c'etait incroyable à quel point chaque petit détail est travaillé et nous fais penser à la réalité ; un peu trop d'ailleur . Je suis apparu dans un couloir avec cinq portes trois étaient ouverte , elle menait à la salle de bain un placard et aux toilettes . J'avais l'impression de connaitre cette endroit . Une drole d'odeur flotait dans l'air . Ca voudrait dire que les autres sens marchent eux aussi ! Je me suis mis à cogner une table , j' eux mal . Je ris . Après avoir longtemps ris je décidais de sortir d'ici , mais comment ? Réléchissons. Deux portes étaient encore fermées . Je sais , il me faut des clées . J'ai chercher dans toute les piece , rien . C'est là que j'aperçu une séries de tableaux : "Les Nymphéas" de Monet . Mes tableaux préféré. C'était signé Nacet . Nacet ! C'est mon nom de famille ! Comment pouvait-t-il connaitre mon nom de famille ? c'est surement une coinscidence . . .
Plus tard , je rencontrerais Rebby . Nous avons un pouvoir en commun tout les deux . En récitant ce poème :
Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers.
Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir, coeurs légers, semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi, disent toujours : Allons !
Amer savoir, celui qu’on tire du voyage !
Le monde, monotone et petit, aujourd’hui,
Hier, demain, toujours, nous fait voir notre image :
Une oasis d’horreur dans un désert d’ennui !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal
nous pouvons lire dans les penséees des autres .
18 décembre 2012
Par Leticia le 18 décembre 2012, 08:50 - La "naissance" dans la Cité
Lieu familier: les bois de Meudon
Œuvre d'art: o Pensador de Chokwe
Poésie: Le cancre
Introduction: Il y a deux ans de cela, pour mon anniversaire ,ma tante m'avait offert "la cité" un jeu pour ordinateur livré avec des lunettes et un casque. Comme il n'avait pas l'air intéressant je l'ai rangé au fond de mon placard. Mais pendant ces vacances d'été je m'ennuyais terriblement et comme j'avais terminé tous mes jeux ,je décidais alors d’essayer "la cité". J’installais le matériel et je mis les lunettes et le casque. Soudain l'écran est devenu blanc puis je suis arrivée dans cet endroit ,qui ressemblait à un bois car il y avait une multitude d’arbres plantés. Je ne comprenais pas comment cela pouvait être possible ,les arbres étaient bien réels ,leurs écorces étaient dur et elles s’effritaient après le passage de ma main. Le lieu était désert ,je senti la solitude m’envahir et après un moment de réflexion ,je remarquais que je ne portais plus ni casque ni lunettes .Plein de branches étaient tombée un peu partout à cause du vent ,mais une d'elles avait attiré ma concentration, elle ressemblait beaucoup à une sculpture :"o pensador de chokwe" .Soudain les feuilles des arbres s'écartèrent et laissèrent passer la lumière du soleil qui attira mon attention sur un arbre où était clouée une feuille avec un texte .Le titre était :"Le cancre" et je lus ce texte ,qui semblait être une poésie :Le cancre
Il dit non avec la tête
Mais il dit oui avec le coeur
Il dit oui à ce qu'il aime
Il dit non au professeur
Il est debout
On le questionne
Et tous les problèmes sont posés
Soudain le fou rire le prend
Et il efface tout
Les chiffres et les mots
Les dates et les noms
Les phrases et les pièges
Et malgré les menaces du maître
Sous les huées des enfants prodiges
Avec des craies de toutes les couleurs
Sur le tableau noir du malheur
Il dessine le visage du bonheur.
Jacques Prevert
En voulant prendre la feuille ,un pouvoir surnaturel apparut en moi ,j'avais le don de pouvoir de passer à travers les murs .Je m'amusais alors à passer à travers les arbres. Mais en traversant ce gros chêne ,je réapparut devant mon écran d'ordinateur devenu tout blanc ,mes gants et mon casque avaient réapparut et mon pouvoir disparut. Je me dépêcha alors d'appeler ma meilleure amie pour venir faire une partie avec moi et vivre cette extraordinaire aventure .
Par Luc le 18 décembre 2012, 08:36 - Les analyses d'oeuvres picturales fantastiques
17 décembre 2012
Par Emma le 17 décembre 2012, 17:53 - La "naissance" dans la Cité
Mon lieu familier : La salle de bains, ce sont les coquillages, sables fins, et embruns de la mer qui me sont doux, familiers.
L’œuvre d'art : C'est un Van Gogh:"barques sur la plage de saintes Marie de la mer". Cela évoque pour moi le calme et la sérénité, par les bateaux immobiles sur le sable qui ont cessés de tanguer sur la mer et la marée basse avec ses eaux stagnantes.
Ma naissance dans la cité: Lors d'un séjour chez une amie dans sa ferme de Normandie; il m'arriva quelque chose de plus ou moins étrange...
Alors que je m’exerçais attraper les grenouilles d'un petit étang; (car j’attendais impatiemment mon amie; affin d'aller nous aventurer dans les champs voisins), je posais par mégarde, mon pied nu sur une chose dure et massive. En fouillant dans l'eau trouble, je trouvais une boite, grande, couleur d'ébène, et fini avec un loquet en acier poli. De la mousse aquatique avait grimper sur le bois de la petite caisse; ce qui prouvait le temps qu'elle avait passer au milieux des algues et des amphibiens environnent.Je me décidas, et l'emmena dans la maison. Je l'ouvris après hésitations; ce que je trouvais à l’intérieur était inattendu: une sorte de bonnet, et des gens. Je les enfila tout bêtement; et alluma l'ordinateur...
Lorsque je reviens à moi, une odeur d'embruns marine vient me chatouiller les narines (ce qui n'était pas désagréable!).Lentement, j’ouvris les yeux; une lumière blanche -presque aveuglante- emplis mon esprit. Quant celle-ci se dissipa, je pus enfin admirer la salle dans laquelle j'étais: une salle de bain. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, j’étais dans une belle salle bain, dans laquelle était disposer de nombreux vases; de toutes formes et de toute tailles. Chacun d'eux était remplis de sables de couleurs plus ou moins variés. Des étoiles de mer étaient en équilibre sur le rebord du lavabo de pierre grise. Je me levais, et constatais aussi que mes pieds, nus, marchaient sur un sol de galets polis et doux comme de la soie. Je me tournais, retournais, pour scruter cette salle paisible et calme qui m'entourais. Quand soudain, mes yeux se posais sur quelque chose. Quelque chose qui m'était familier, mais aussi très lointain: un tableau. C'était le "barques sur la plage de saintes Marie de la mer", un Van Gogh; plus ou moins connus... Je traversa cette salle qui paraissait sans fins; c’était complétement irréelle! Sans le vouloirs, je buta contre un vieux radiateur (un peu rétro d’ailleurs), sa chaleur été tellement intense, que le la paroi de cet objet me brula.
Le poème:
L’Homme et la mer
Homme libre, toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir, tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.
Tu te plais a plonger au sein de ton image;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets;
Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;
O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets!
Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remords,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs éternels, O frères implacables!
Charles Baudelaire
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