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02 octobre 2014

Le colonel Chabert par Louis Loreleï

Ce livre est très intéressant car il y a beaucoup de moral, de leçon de vie et de belles citations (2 fautes).

Ce battre pour ses convictions est la moral de ce livre (2 fautes), comme nous le prouve le Colonel Chabert en voulant à tout prix récupérer sa femme et avec le prétexte de vouloir récupérer son argent. Ensuite, la leçon de vie que nous inculque le personnage principal est d'avoir des sentiments nobles, sincère et réel,dans la pauvreté comme dans la richesse, plutôt que d'avoir du luxe et de la noblesse dans et sûr ses vêtements avec ces citations (2 fautes) : "Il vaut mieux avoir du luxe dans ses sentiments que sur ses habits" (p.14 l.4,5) ; "Le malheur est une espèce de talissement dont la vertu consiste à corroborer notre constitution primitive: il augmente la défiance et la méchanceté, comme il accroît la bonté de ceux qui ont un cœur excellent." (p.32 l.20, 24). Ces citations sont intéressantes car il nous apprend qu'une personne qui a des vrais valeurs noble peut les garder au fil du temps (2 fautes), alors que qu'une personne ne comptant que sur son argent n'est pas sur de finir avec la même somme (2 fautes).

L'histoire du Colonel Chabert est très intéressante, car suite à sa mort, il n'a plus d'identité,et il veut la récupérée (1 faute) :"Allons! encore notre vieux carrick."(l.1).Cette citation nous montre à quelle point le Colonel Chabert n'a plus d'identité, car il est nommé pas un vieux vêtement (1 faute).Après avoir lutter pour la récupérer , et que personne ne l'est cru, le Colonel Chabert fini sans identité dans un asil à lui-même ne plus savoir qui il est 2 fautes ; structure de la phrase, à être perdu, comme un objet que l'on pourrait égarer :" Bonjour,colonel Chabert, lui dit Derville. -Pas Chabert!Pas Chabert! Je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164, septième salle, ajouta-t-il en regardant Derville avec une anxiété peureuse, avec une crainte de vieillard et d'enfant." (p.95 l.20,24). Le Colonel Chabert finit l'histoire comme un Orphelin sans identité, d'après le personnage de Monsieur Derville, il se retrouve comme il était quand il était petit, seul, perdu, mais a la fin de ses jour et non au début de ses jours (2 fautes ; répétition) ; malgré tout se qu'il a fait dans sa vie (1 faute), Chabert se retrouve au même point de départ : "Quelle destinée! s'écria Derville. Sorti de l'hospice des enfants trouvés, il revint mourir à l'hospice de la viellesse (1 faute), après avoir, dans l'intervalle aidé Napoléon à conquérir L'Egypte et L'Europe (ponctuation)." (P.96 l.18,21)

Conclusion ?

le colonel chabert

je vais vous donnez mon avis sur le livre d' Honoré de Balzac, "Le Colonel Chabert", il faut d'abord savoir que c'est une oeuvre  datant du xixe siècle qui s'inscrit dans le registre réaliste, qui nous raconte l'histoire d'un soldat prétendu mort, qui revient a la vie, tel un fantôme (ponctuation ; 2 fautes ; 1 terme inapproprié).

 sans pour autant dire que je l'ai adorer, j'ai trouver se livre interressant surtout par l'analyse que l'on peut en faire plus que par l'histoire en elle même (5 fautes), et dans  la manière dont on décrit le  comportement de madame la comtesse de Ferraud (préposition), ex-femme  de monsieur Chabert, comme vous trouverez ci-dessous:

"  la morale de ceci est qu'une jolie femme ne voudras jamais reconaitre son mari ni même son amant dans un homme en carrick, en perruque de chiendent et en bottes percées (3 fautes)." ou encore " les femmes croient les gens quand ils farcissent leur phrases du mot amour alors elles trottent, elles vont, elles se mettent en quatre, elles intriguent, elles affirment les faits, elles font le diable pour celui qui leur plait (2 fautes ; ponctuation)."ces répliques, montrent a quel point madame de Ferraud tenait, plus a l'argent et aux titres qu'a son "défun" mari, en se remariant rapidement et en mettant toutes les chances de son coté pour faire fortune (ponctuation ; 4 fautes).

un des autres passage qui m'aura marque se trouve page 48, au début du livre donc, avec l'expression (2 fautes) : " va te faire Lanlaire..." lancer par un des copiste, qui me rappel, en un sens les piques que moi même je lance par fois a mes amis lorsque qu'ils m'ennuient (5 fautes ; ponctuation), donc je pourrais comparé les copiste a des élèves, ou encore des enfants (3 fautes ; structure de la phrase). et en regardant les notes de l'éditeur en bas de page je n'ai pas été surprise d'y trouver ce mot définit comme vulgaire, même si a la base il fait référence a certain refrains de comptines pour enfants (4 fautes).

 

le second, et dernier passage que j'ai retenue, se trouve p 43 (1 faute):

"rendu en..." à "tout les clercs partirent d'un grand éclat de rire (1 faute)." ce passage m'a fait sourire car, le clerc qui corrige les fautes de son voisin, me rapelle encore une fois les cours ou l'on doit prendre des notes, et ou l'on interroge son voisin pour l'orthographe d'un mot quelquonque (ponctuation ; 4 fautes).

Pour conclure je dirais encore une fois que ce qui m'a le plus plus dans se livre ce sont les quelques expresions citées plus haut, et l'analyse que l'on peut faire de ce roman (ponctuation ; 2 fautes).

Le Colonel Chabert

Le roman que j'ai lu s'intitule le "Colonel Charbert", il à été écrit par Balzac et est paru en 1844 de façon définitive.

C'est un livre réaliste qui m'a dans son ensemble plu. Je n'ai pas aimé le début du livre, car le langage est très soutenu et il est assez complexe à comprendre. Mais certains passages sont assez marquants puisque ils sont décrits de manière très réaliste (élision). Comme le montre ce passage (verbe principal) : le Colonel Chabert explique à Derville qui est son futur avocat, comment il a eu sa blessure au crâne. (ponctuation). Il dénonce les dégâts puis la violence de la bataille d'Eylau (structure de la phrase). Il nous apprend aussi comment le colonel Chabert a été proclamé mort et sa souffrance causée par ses multiples blessures. Ce passage évoque chez nous lecteur, un sentiment de pitié, de compassion et de frayeur, dû aux détails violents sur les méfaits de la guerre.

Le Colonel Chabert a suscité chez moi beaucoup de réflexions, car il y a énormément de citations qui m'ont interpellé (accord), notamment celle-ci : "La morale de ceci est qu'une jolie femme ne voudra jamais reconnaître son mari, ni même son amant dans un homme en vieux carrick, en perruque de chiendent et en bottes percées". Cette citation est aussi une bien belle morale. Elle nous montre par une énumération que la tenue vestimentaire ainsi que le rang auquel on appartient sont très importantsencore plus importante à cette époque Napoléonienne vis-à-vis de la société et même de sa compagne (structure de la phrase ; 1 faute). Le colonel Chabert étant habillé de manière vétuste il n'est même plus reconnu dans la société dans laquelle il vit. Il est donc renié par sa femme.

Ce que j'ai aimé aussi, c'est que Balzac met en avant les inégalités de la justice et le fait que le colonel soit rejeté par la société, alors que par le passé il était un héros de guerre, respecté de tous : "J'ai été enterré sous des morts, mais maintenant je suis enterré sous des vivants, sous des actes, sous la société toute entière, qui veut me faire rentrer sous terre !".  Tout au long de ce roman Chabert est considéré comme fou et n'est pas reconnu. Il a perdu son identité au yeux de tous, il n'y a que son avocat qui l'aide dans sa démarche, pour monter à tous qu'il est vraiment le colonel Chabert.

La fin m'a beaucoup surprise puisque je m'attendais à ce que le colonel Chabert retrouve son titre et son argent. J'ai même cru que son ex-femme l'aimait de nouveau. Alors qu'il finit dans un asile de fou (structure de la phrase) : "Pas Chabert ! pas Chabert ! Je me nomme Hyacinthe, répondit le vieillard. Je ne suis plus un homme, je suis le numéro 164...".

Conclusion : J'ai bien aimé ce livre , car malgré un vocabulaire assez complexe, les multiples descriptions sont énormément détaillées. La fin m'a beaucoup touché et l'auteur nous laisse donc sur une fin surprenante en effet cela nous incite à réfléchir sur la société dans laquelle il vivait et à comparer notre société à celle de l'époque (1 faute ; phrase trop longue). L'auteur veut nous faire ressentir des émotions et un appel à l'imagination (1 terme mal choisi).

01 octobre 2014

Bienvenue sur le blog !

Pour inaugurer notre blog, vous allez écrire un texte argumentatif sur Le Colonel Chabert de Balzac, où vous donnerez votre opinion sur le livre.

Pour cela, vous présenterez au moins trois arguments développés. Les passages marquants et les citations du carnet de lecture seront obligatoirement intégrés à votre texte (ils peuvent être utilisés comme exemples).

Vous aurez l'occasion, si vous le désirez, de retravailler votre texte en tenant compte des appréciations.

N'oubliez pas qu'argumenter ne signifie pas résumer ; il ne s'agit pas de raconter le roman !

Bon travail !

 

01 janvier 1970

Correction de le reflexion sur "Le Colonel Chabert"

"Le Colonel Chabert", d'H. Balzac, est une œuvre réaliste (présentation du titre). C'est une œuvre intéressante, du point de vue littéraire comme historique. Il y a beaucoup de passages marquants. Je vais donc présenter quelques exemples qui me semble les plus représentatifs de ce roman (1 faute).

La première description du colonel est le premier passage que j’ai sélectionné. Ce passage se trouve à la douzième page après le début.
"Le jeune avoué demeura pendant un moment stupéfait en entrevoyant dans le clair-obscur le singulier client qui l'attendait. [...] que les peintres s'amusent à dessiner au bas de leurs pierres lithographiques en causant avec leurs amis (citation incomplète)."
Ce passage est intéressant, et ce pour plusieurs raisons:
- Premièrement, du point de vue littéraire, cette description possède un vocabulaire riche et détaillé. Il contient de nombreuses figures de styles, comme par exemple des métaphores. La façon dont est décrit le personnage renforce l'impression surnaturelle : le colonel est étrangement pâle, comme un cadavre; ses yeux semblent couverts d'une taie blanchâtre ; dans l'ombre de la pièce, son vieux carrick se fond dans l'ombre, donnant presque l'impression que sa tête flotte sans corps. Toutes les caractéristiques du personnage énoncées par l'auteur nous font imaginer un fantôme revenant d'entre les morts. De même, les champs lexicaux de la mort et de l'étrange reviennent souvent dans le texte.
- Ensuite, au niveau de l'intrigue de l'œuvre, la description attire notre intérêt sur l'étrange personnage qui se tient devant l'avoué. Dans la quasi-totalité du livre, le lecteur se trouve sous le point de vue de ce dernier (maladresse d'expression). Dans ce passage, grâce à la façon dont le livre est écrit, le lecteur a l'impression de suivre le regard de Maître Derville: en effet, l'auteur commence par décrire le chapeau de l'individu. Ensuite, il décrit le visage du colonel. il continut en donnant quelques informations sur la tenue (1 faute). Enfin, il prend une vue d'ensemble.

La conversation entre le colonel et l’avoué est le second passage que j’ ai sélectionné (syntaxe ; ponctuation ; 1 faute). Ce passage se trouve quelques pages après la description.
"A qui ai-je l'honneur de parler ? [...] L'acte de mon décès fut donc probablement dressé d'après les règles établies par la jurisprudence militaire."
J'ai choisi ce passage pour plusieurs choses:
- Tout d'abord, ce passage nous apporte plus d'information sur le passé du colonel (1 faute). Avant cela, le lecteur devait se contenter d’une description et de quelques indices sur la classe social du colonel (ex : « vieux carrick ») (1 faute ; rédigez l'exemple). Ainsi, nous apprenons que le colonel, porté pour mort à la bataille d’Eylau, cherche à récupérer son identité (1 terme mal choisi).

-D’autre part, ce passage est le seul qui frôle les barrières du dramatique et du rocambolesque. En effet, le colonel sort d’une fosse de morts avec un bras… L’auteur s’éloigne un peu du réaliste et insuffle un peu d’aventure dans son grand roman (1 faute). Cependant, le texte est écrit d’une telle façon que l’action, bien qu’improbable, pourrait presque sembler cohérente au lecteur.

Enfin, ce passage est intéressant à étudier. On y retrouve une nouvelle fois le champs lexical de la mort (1 faute). L’auteur use de figure de style qui renforce l’étrangeté du récit (accord). Le lecteur imagine sans peine le colonel Chabert surgir de terre… Comme un revenant. Ce passage situe l’intrigue de l’histoire : un homme, que tout le monde pense mort, essaye de retrouver sa place parmi les vivants. Seulement, il ne fait plus parti de ce monde…

Voici la première citation que j’ai choisie : « Transiger, répéta le colonel, Suis-je mort ou suis-je vivant ? ».

Cette citation dévoile le doute du colonel. Accablé de toutes parts, il commence à douter de sa propre existence. Peut-être regrette-t-il aussi de ne pas être mort à Eylau.

De plus, je pense que cette citation pourrait être une référence au « To be or not to be, that is the question » de Shakespeare.  Ainsi, Balzac peut amener le lecteur à se poser certaines questions, sur la vie et la mort.

Cette phrase comporte les deux extrémité du fil de la vie (1 faute). Elle fait prendre conscience au lecteur de la fragilité de la vie, de la mort, et des barrières qui les séparent. Le colonel Chabert est vivant physiquement, mais est mort socialement. A la fin du livre, sa « mort social » finit par l’emporter sur son existence (1 faute) : il n’a plus sa place parmi les autres êtres humains, et donc plus sa place dans la vie…

Enfin, voici ma deuxième citation : « Quelle destinée ! s’écria Derville. Sorti de l’hospice des Enfants-Trouvés, il revient » (citation incomplète)

Cette phrase résume à elle seule le destin du colonel. Orphelin, sans parents ni identité, il a bataillé toute sa vie pour se fabriquer un avenir. Laissé pour mort à Eylau, il perd une nouvelle fois son identité…

Cette citation indique l’éternel recommencement qu’est la vie. Malgré toutes les épreuves endurées par Hyacinthe Chabert, il finit par revenir à son point de départ. Sa vie, commencée dans la misère, s’achève dans la misère.

Une nouvelle fois, l’auteur incite le lecteur à réfléchir. Est-ce qu’un être humain, né dans la misère, peut réussir à en sortir ? Ou son destin est-il déjà tracé ?

Pour conclure, ce livre m’a beaucoup plus (1 faute). La recherche d’identité du colonel m’ a fait prendre conscience de la fragilité de l’existence, et de l’importance que les autres ont dans notre vie et notre destiné (1 faute). Ce livre porte une réflexion un peu philosophique sur la vie et la mort. Si ces deux entités semblent être des choses différentes, l’une ne peut exister sans l’autre, et il suffit d’un rien pour passer de l’autre côté de la barrière. Le seul point négatif que je pourrais émettre, c’est la monotonie de certains passages, longs et sans beaucoup d’intérêt.    

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