Ecriture : un nouveau chapitre

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10 juin 2014

Après vendredi vien dimanche

Cela fait maintenant longtemps que Vendredi est parti. Une semaine ? Un mois ? Un ans ? Plus ? A vrai dire, Robinson ne le sait pas vraiment. Après le départ de son seul compagnon, celui avec qui il a partager tant de bon moment, celui avec qui le mot "désespoir" n'existe,pas, celui qu'il avait de plus chère, Robinson est retomber dans la solitude et s'est laissé porter dans la souille. Il se remémorait tous les événement passé avec Vendredi, les bons moements comme les mauvais. Il n'arrivait pas a comprendre pourquoi son ami l'avait abandonner sur l'île pour alors que celui-ci, ayant eu l'opportunité de partir, était resté pour lui. Robinson ferma les yeux et continua sur une période infini ses moments de nostalgie dans la boue. C'est alors qu'intervient Dimanche. Le petit garçon qui s'était enfui du navir pour rester vivre avec Robinson vivait sa routine sans rien faire. Il ne savait pas comment le ramener a la raison. C'est alors qu'il décida d'aller chercher son compagnon et de le faire sortir de la souille. Il arriva jusqu'à lui, découvrant le triste aspect de son ami: Il était devenu maigre car il ne se nourrissait presque plus, ses cheveux avaient poussés et étaient tout en bataille; d'immense cernes encadraient ses yeux et il était tout pale.                                                     Ceci fessait peine a voir. Mais Dimanche ne resta pas les bras croisés et attapa Robinson par la mains en essayant de le faire sortir. Cependant Robinson ne voulu pas quitter les lieux et rejeta le garçon. Mais Dimanche continua et continua comme ça sans ne jamais s'arrêter. Jusqu'à ce que Robinson prit conscience de ses actes et se décida a reprendre son destin en mains. 

Peu de temps s'était écoulé depuis son retour de la souille. Robinson descida de faire de Dimanche son apprenti. Il apprit a son compagnon comment se nourrir grâce a la pêche, l'agriculture du riz et du blée; a traire les vaches  a faire du pain etc. Il lui apprit comment vivre sur l'île. Puis il commença a traiter Dimanche comme il le fessait avec Vendredi et se rappela des conséquences. Il annonça alors au garçon qu'il pouvait vivre comme il le souhaiter, avec ou sans lui. Mais le celui-ci répondit que s'il avait décidé de rester sur l'île c'était pour vivre auprès de lui. Ainsi, une amitié naissa entre eux et chacun apprit a l'autre son savoir, ses cultures et sa manière de vivre. Quand Robinson faisait des erreurs, c'était toujours dimanche qui reparaît tout et vise versa. Enfin de compte, Dimanche n'était pas l'apprenti de Robinson, ils étaient tout deux les apprenti de l'un et de l'autre. Le garçon lui apprenait la vie civilisé et Robinson la vie sauvage. Même si Vendredi était parti, Dimanche, lui, était venu. Après vendredi vient dimanche.

Le voyage de Robinson et Dimanche

Lorsqu’il repartit à la grotte pour se réfugiez est s’endormir Robinson découvrit dans un trou un petit garçon. Son nouveau compagnon Estonien Jean Neljapaev qu’il préfère appeler Dimanche car c’est le jour des fêtes, des rires et des jeux.

 Il décida d’aller découvrir le monde et surtout de retrouver un jour Vendredi. Avec l’aide Dimanche ils construisirent une embarcation pour s’en aller faire le tour du monde. Pour se divertir Robinson apprit à Dimanche ce dangereux que Vendredi et lui aimait tant. Il se lança à la poursuite d’un bouc et le força à s’allonger. Il en profita pour montrer à Dimanche comment se servir d’un Bolas. Une fois le bouc mort il appliqua se que lui avait appris Vendredi il dépeça l’animal et plaça sa carcasse sur une fourmilière. Il la récupéra quelques temps plus tard et montra à Dimanche comment fabriquer une harpe éolienne et un cerf-volant. Le petit enfant époustouflé ne cessait de s’amuser avec le cerf-volant qu’il faisait virevolter dans les airs. La fabrication de leur bateau avançait très vite et ils étaient de plus en plus impatients de partir à l’aventure. Pendant leur temps libre il s’amusait à marcher sur les mains, à faire des jeux tels que la course sur sable le saut en hauteur. Dimanche apprenait aussi à parler avec des gestes de main car Robinson savait que cette connaissance lui servirait à dialoguer avec un personne qui ne parlait pas la même langue que lui, à parler un peu araucan et confectionner un arc et des flèches ; elles n’étaient pas destiner à tuer des animaux mais à voler très haut et très loin.  

Vers midi le bateau fut enfin prêt ils prirent le large et voguèrent pendant des heures, à ce moment-là le temps était éclairé. La mer était calme et relaxante. Ils se mirent à pêcher pour préparer leur dîner pour cela, ils utilisèrent une méthode assez particulière propre à Vendredi, ils utilisèrent le cerf-volant pour pêcher les poissons. Pour le diner ils firent de ces poissons un magnifique festin. Il mit les débris dans un sac et promis à Dimanche de lui montrer comment éliminer les ordures une fois qu’ils auraient mis pied à terre. Le soir même alors que Robinson n’arrivait pas à dormir, il sortit scruter l’horizon, après quelques minutes les vagues le bercèrent et il s’endormi sur le ponton du bateau. Le matin lorsque Jean se réveilla il découvrit Robinson endormi sur le sol, surpris, il décida de ne pas le réveiller alors il pris la bar et les fis accoster sur une île sur la cote de l’Asie.

Une fois avoir mis pied à terre ils prirent un bon petit déjeuner et partirent visiter l’Asie. Comme promis Robinson montra au jeune garçon comment éliminer leur déchet et il plaça leur reste de poisson sur une fourmilière et le tour était joué. Ils trouvèrent ville magnifique la verdure était abondante, de sublimes arbres ornaient les allées, des plages, des palmiers il n’y avait que de quoi plaire à nos deux aventuriers. Ils ne savaient plus où donner de la tête. Emerveillé, ils prirent le temps de s’allonger sur la plage et d’admirer le coucher de soleil. Ce magnifique continent était encore plus beau la nuit le ciel avait des teintes rosées, violettes et noires. Pour le repas Robinson apprit à Dimanche quelques spécialités araucanienne.

Ils reprirent leur escapade le lendemain matin, la mer cette fois étaient beaucoup plus agitée et le courante était de plus en plus fort. Fatigué Dimanche finit par s’endormir malgré les intempéries et Robinson se retrouva seul. Il décida donc de reprendre l’écriture de son journal là où il l’avait laissé, il commença par raconter ses journées à partir du jour où il rencontrer trouvé son nouvel ami Dimanche. Quelques temps plus tard Robinson tomba très malades et mourut. Bien que cet évènement affecta énormément Dimanche, il gardait en sa mémoire les magnifiques moment passés avec Robinson. Il décida de rester en Asie car c’est dans ce pays que reposaient ses derniers souvenirs malgré son jeune âge Dimanche s’en sortit très bien dans la vie car avant de partir Robinson avait fait de lui un vrai homme.  

Dimanche, ami précieux

Dimanche était un merveilleux ami pour Robinson. Il était certes maladroit et peu débrouillard mais il était comme un rayon de soleil pour lui, rayonnant de vie et de curiosité. Robinson entrepris de dévoiler la beauté de l’île de Speranza  au jeune garçon. Ils explorèrent l’île pendant des jours, Dimanche courait gaiment d’un bout à l’autre de la plage, laissant ses empreintes minuscules et frêles dans le sable chaud.

Au bout de plusieurs jours d’une marche éprouvante mais joyeuse, les deux amis débouchèrent dans une clairière qui longeait la mer.  Avec un pincement au cœur, Robinson reconnu le hamac de vendredi attaché entre les deux palmiers : tout était resté tel que l’indien les avaient laissé. Robinson pris son visage entre ses mains, se remémorant les douloureux souvenirs de sa vie heureuse passée avec Vendredi. Dimanche, lui, était émerveillé par l’endroit fascinant et s’élançait avec beaucoup d’entrain dans la clairière ombragée par les arbres. Robinson releva la tête, essuya furtivement la larme qui avait roulée sur sa joue, et décida qu’il devait apprendre la vie sauvage à cet enfant comme Vendredi l’avait fait pour lui.

Son petit frère, comme Robinson se plaisait à l’appeler, fut très enthousiasmé par la déclaration de son ainé. Se passant la main dans ses cheveux flamboyant, Dimanche le questionna à propos de ses intentions. Robinson esquiva son interrogation et s’élança au pas de course entre les arbres, son rire se répercutant dans la roche, reproduisant le son à l’infini. Quand Dimanche retrouva enfin Robinson au milieu de la forêt, il était pale et échevelé, un large sourire étirant ses lèvres fines. Derrière lui s’élevait un énorme tas de branchages de tailles diverses et d’arbres de toutes sortes. A côté, des tas de plumes et de silex étaient amassés sur le sol de terre battue. Robinson, devant l’air ahuri de son compagnon, lui expliqua que tout ceci pouvait servir à faire des arcs mais également à inventer de nouveaux jeux drôles et divertissants. Dimanche, au comble du bonheur, sauta dans les bras de son ami puis se mis aussitôt au travail.

Après plusieurs semaines qui ne furent que travail et rires, Dimanche finalisa enfin son premier arc. C’était un arc magnifique, composé de différents bois  agrémentés d’arabesques compliqués taillées une à une au silex ; Sur les pointes de l'arc, brillaient d’un reflet blanc des cornes de boucs. Les flèches étaient superbes, très légères et colorées grâce aux plumes de pécaris. Dimanche se rendit donc à l’évidence : il était un artiste. Il développait son don traçant des traits, des formes, des paysages sur le sable blanc, avant que la mer n’emporte ses créations éphémères. Un jour, dans le sable, il dessina Robinson le visage rayonnant de gaité et pensa que la vie sauvage était en fait le bonheur d’avoir quelqu’un de cher à ses côtés.

Quel comble ...

     Robinson décide de faire visiter l'île à Dimanche .Ils s'enfoncent dans la jungle, en ayant prient soin de marquer leurs chemin, pour ne pas se perdre.Au bout de quelques heures, ils découvrent un temple, que Robinson n'avais jamais vu auparavant. Le temple est couvert de végétation,et de forme pyramidale.

     La petite troupe s’avance dans la sombre structure : des totems et fresques ornent les murs. Après quelques minutes, ils marchent par-hasard, sur une plaque de pression.Soudain, ils entendent un mécanisme s'enclencher, puis se retournent et découvrent stupéfaits,une pierre géante roulant dans leurs direction ... Ils se mettent alors a courir pour échapper a ce terrible piège.La course poursuite s'achève : Robinson et Dimanche trouvent un endroit pour se cacher. La pierre passe Robinson est sauvé...

Dimanche remarque une salle, dont l'entrée est couverte de lianes :

_Robinson, j'ai trouvé quelque chose !

_J'arrive ! ...dit Robinson.

Robinson ente dans la pièce accompagné de Dimanche, en passant les lianes au-dessus de ses bras .C'est qu'il découvrent un coffre, au milieu de la salle.Il admire alors le contenu du coffre : pierre précieuses et bijoux ... Ses jambes tremblent, il sent peu à peu une émotion l'envahir : le bonheur.Il pense à tout ce qu'il pourrai réaliser avec ce trésor...Mais il se rappelle qu'il ne peut pas l'utilité: le trésor n'a plus aucune valeur. La tristesse l'envahie : il se met a pleurer.Puis il dit à l'enfant :

"Tient, c'est un cadeau de bienvenue..."

 L'enfant se jette sue le trésor, puis remercie chaleureusement Robinson .

un nouveau compagnon

Cela faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu de tempête sur l'île. Mais en ce jour une tempête se préparait et pour se protéger Robinson se cacha dans l'endroit secret de Vendredi. La tempête se déchaina pendant toute une journée, on pouvait entendre des arbres s'envoler, des énormes vagues claquer le sol, on pouvait aussi entendre des animaux crier comme des chèvres ou des oiseaux. Ce fut le déluge. Après la tempête Robinson est allé voir les dommages sur la plage.

En arrivant sur la plage il vit une petite personne allongée sur le sable, c'était un enfant. En se rapprochant de plus près, il vit que c'était une fille gravement blessée au visage. Il essaya de la réanimer en lui faisant un massage cardiaque, du bouches à bouche... Après vingt minutes de tentatives il abandonna et cru que la fille était morte. Il fit le tour de la plage pour voir les autre dégâts et en revenant là où il y avait laissé la fille, il n'y avait plus personne. Il chercha la fille dans toute l'île et finit par la trouver. Elle était sur le sommet de la montagne. Elle regardait l'horizon. Robinson s'approcha d'elle,  elle se retourna et fut surprise de voir qu'il y avait quelqu'un avec elle sur l'île. Ils ont commencé à parler ensemble. "Qui êtes-vous et où suis-je?" demanda la fille, -"Je suis Robinson l'habitant de cette île et vous vous trouvez sur l'île de Esperanza" lui répondit Robinson. "Et vous qui êtes-vous?. -"Je suis Emily DeCastogne, je viens de York; je dois repartir maintenant sinon je vais manquer le diner sur mon bateau, comment puis-je quitter cette horrible île?" demanda Emily,-"Vous ne pouvez pas quitter cette île et votre bateau doit être cassé et doit se trouver au fond de l'océan" répliqua Robinson. -"Non c'est impossible, je ne peux pas vivre dans la jungle, je ne suis pas Tarzan." dit Emily. -"Ne vous inquiétez pas, je vais vous apprendre des choses essentielles pour survivre sur cette île avec moi."

Robinson apprit en premier à Emily la chasse pour pouvoir manger. Elle n'était pas très douée. Elle manquait systématiquement ses cibles. Il lui apprit ensuite à fabriquer quelques outils comme des haches pour couper du bois et se faire un abri, mais ceux-ci s'envolaient au moindre coup de vent. Ensuite il lui apprit à faire un feu. Elle se brulait tout le temps. Il lui apprit à faire des petits repas avec ce qui l'entourait, mais elle était dégoutée des aliments qui n'étaient pas ceux qu'elle connaissait. Des asticots, des animaux morts ou même des herbes ne lui plaisaient pas. Elle n'était vraiment pas faite pour vivre sur une île déserte.

 

 

Dimanche et la vie sauvage

Maintenant que Robinson avait un nouvel ami, il retrouva le sourire. Cependant, il devait lui apprendre les bases de la vie sauvage et cela ne lui plaisait pas. C'est Vendredi qui lui avait tout appris et il n'avait fait que l'imiter... L'imiter ! Voila comment Robinson pourrait apprendre la vie sur l'île de Speranza au mousse. Aussi, Robinson profita du fait que le garçon parlât mieux l'anglais que Vendredi pour lui apprendre un nombre plus important de signes qu'à ce dernier lorsque les perroquets venaient sur l'île.

Robinson apprît donc à Dimanche ce qui le garderait en vie, comme la chasse, la pêche, la découverte de point d'eau potable et la distinction des baies comestibles par leur couleur et leur texture. Le mousse savait déjà pêcher mais ne savait manier aucune arme de chasse, car il n'arrivait pas à porter les bolas, peinait à bander l'arc et ne jetait la lance qu'à un mètre. Robinson ne s'attarda pas à lui apprendre la chasse, se disant que la force nécessaire pour manier les armes viendrait en grandissant.

Un jour que les deux amis se promenaient sur la plage, Robinson se décida à faire visiter l'intégralité de l'île de Speranza à Dimanche pour que celui-ci en connaisse chaque recoin. Ainsi, lorsque Robinson partirait à la chasse, ils pourraient se fixer un point de rendez-vous.

La civilisation de Vendredi

Une fois Vendredi installé sur l'île, Robinson trouva difficile de communiquer avec lui. Il décida de parler la même langue que Vendredi en lui enseignant l'anglais. Robinson lui expliqua alors comment se nourrir grâce aux cultures de graines de blé et de riz.

Il lui apprit aussi comment cultiver tout en utilisant sainement la terre sans épuiser ses ressources. De plus, il lui fit découvrir son abri et lui apprit comment en construire un qui soit confortable, et défensif. Pour Robinson, les repas avaient beaucoup de valeur et c'est ainsi qu'il imposa à Vendredi de se vêtir pour chaque repas. Il lui apprit sa technique de pêche avec des filets pour attraper des gros poissons tout en épargnant les plus petits. Vendredi a de suite mis a exécution ces conseils. Vendredi fut très attiré à l'idée de s'initier à la construction de jeux et apprit comment fabriquer un solitaire avec de simples cailloux et du bois. Enfin Robinson voulut lui enseigner la religion que celui-ci pratiquait. Il lui apprit à se vêtir pour prier le dimanche et il lui enseigna toutes les paroles et les prières qu'il devait réciter chaque soir et avant les repas. C'est ainsi qu'en quelques jours, Robinson avait initié Vendredi à une vie civilisée.

Un nouveau compagnon pour Robinson

Le jour où Vendredi avait quitté l'île, Robinson s'était juré de ne pas pleurer mais plutôt de lui rendre hommage en apprenant à Dimanche, son nouveau compagnon, toutes les choses qui lui avaient été enseignées par l'indien.

 Il commença donc à l'élever comme son propre fils. Le premier jeu qu'il lui expliqua fut celui des copies, car il voyait bien que l'enfant avait toujours subi les ordres des marins et que, par conséquent, il était mal dans sa peau. Quel immense changement ce fut pour Dimanche de se transformer en un homme âgé et ayant une si grande expérience de la vie! Toutefois, il prit beaucoup de plaisir à s'identifier à Robinson, et ce dernier découvrit que son compagnon avait une imagination aussi débordante que celle de Vendredi. Ce jeu devint donc rapidement le préféré de Dimanche.

Robinson lui montra également comment construire un cerf-volant, des bolas, un bouclier... mais le jeune homme, bien qu'étant un ancien mousse, n'était pas habile de ses mains et était également très maladroit. Toutefois, il possédait un immense talent artistique que son compagnon découvrit lorsqu'ils faisaient des dessins en galets sur la plage. Il se souvint alors de la phrase que lui avait dite Vendredi:" La lune est le galet du ciel." Il la répéta alors à Dimanche, qui déclara: " Ne serait-ce pas plutôt le galet qui est la lune de la plage?" Cette réplique laissa Robinson perplexe et il réfléchit au sens de ces deux phrases toute la journée. Les deux  jeunes hommes  n'étaient peut-être pas si différents, après tout...  

Les adieux de Vendredi et Robinson

Vendredi où la Vie Sauvage

Un beau matin sur Speranza Vendredi roupillait encore tandis que Robinson        était déjà levé depuis trois heure du matin, car il commençait à construire un bateau très solide qu’il construisait sur la plage pour ne pas à avoir à le porter. Puis vers dix-heure Vendredi se leva et vit Robinson qui construisait une embarcation, et Vendredi ne comprenait pas pourquoi du coup il alla lui demander pourquoi faisait-il  une petite embarcation, puis Robinson lui expliqua que c’était pour pouvoir partir en Espagne. Vendredi encore très endormit de son sommeil ne comprit pas toute suite, puis quelque minute après il comprit que l’Espagne était un pays. Mais Vendredi essaya de faire comprendre à Robinson que ils étaient très bien sur l’île mais Robinson lui disa que avant de partir avec le capitaine et les autres passagers on lui avait dit qu’il avait de la famille en Espagne et voulut y aller mais il ne put car il était déjà trop tard pour changer de décision car il était sur le pont du bateau quand on lui dit cela. Vendredi comprit son choix et lui expliqua que il restera ici car c’est ici qu’ils se sont rencontré et c’est ici qu’ils se diront adieux et aussi parce que c’est ici qu’il a grandi et c’est un peu comme sa ville comprit Robinson, puis Robinson comprit le choix de Vendredi car c’est ici qu’il a sa famille a lui puis il pris bien la décision de Vendredi. Ensuite une fois l’embarcation finit il alla prendre un galet et gravit Robinson sur la pierre et la donna à Vendredi et ainsi que tout ce qu’il lui appartenait décida de lui donner. Et c’est à ce moment l’à que Robinson partit avec son embarcation qu’il nomma l’Evasion deux. Quelques heures plus tard Vendredi était seul sur l’île et se rendit compte que son compagnon lui manquait beaucoup et lui-même s’ennuyait beaucoup car il était seul sur l’île et décida de se construire une petite cabane comme avait fait Robinson et comme il lui avait appris les bonnes manières de se laver enseigner plein de choses.


 

09 juin 2014

Robinson, le retour vers la souille...

Après une violente dispute avec Dimanche, Robinson voulu bricoler quelques heures. Il voulu la compagnie de Tenn, mais ce dernier s’amusait avec Dimanche. Énervé et attristé par ces faits précédents, il succomba à la souille, et s’y mit pour quelques temps.

Les vapeurs lui firent tourner la tête et Robinson se voyait encore en enfance. Il était avec sa mère et sa sœur à un spectacle de char, une sorte de défiler.

Pendant des jours, Robinson resta coincé dans la souille en mangent très peu. Il ne se rendait plus compte à quel point la souille pouvait être dangereuse. Il espérait que ses rêves étaient réalités, donc il croyait vivre une nouvelle vie tout en oubliant la précédente. Au bout de deux semaines, Dimanche ne savait plus quoi faire, alors, avec l’aide de Tenn, ils le sortirent de la souille.

Robinson n’était pas encore tout à fait au point, mais, en faisant ça, ils ne croyaient pas que Robinson allait se mettre dans un état de colère. Alors, avec un coup de maladresse, Robinson frappât Tenn. Son coup n’était pas très violent mais Tenn croyait avoir fait quelque chose de mal. Aussi tôt, il reprit conscience de ses actes, et s’en excusa, surtout auprès de Tenn. Après cet événement, il se jura de ne plus jamais retourner dans la souille et compris surtout, que Tenn et Dimanche étaient très importants à ses yeux.

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