Passage en 4ème

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11 mars 2015

The mine


The mine par mmepatenotte

Spectre


Spectre par mmepatenotte

Esprit tourmenté


Esprit tourmenté par mmepatenotte

09 mars 2015

Tourbillon de mort


Pauline et Jeanne par mmepatenotte

09 avril 2014

La Vallée des Rois, Benoit

Le Caire, la capitale de l’Egypte, ville des Pharaons. J’y parvenais après des jours de marche en logeant le Nil aux bords fertiles à cette époque de l’année. Je m’appelle Abdel Afif à cette époque où les statues à la gloire Ramsès II croulaient les rues.  J’étais venu au Caire pour venir voir les tombeaux de mes ancêtres et les pyramides. Une fois arrivé je retrouvais mon oncle spécialiste des tombeaux de Rois. Il m’emmena voir la fameuse vallée des rois et surtout la tombe de mon ancêtre, Toutankhamon.

              

               Nous y arrivâmes à la tombée de la nuit au moment ou les nuages recouvraient le ciel, chose étrange car le ciel était claire une heure avant, mon oncle, Mohammed, m’entraîna dans le long couloir qui menait au tombeau, il faisait chaud la nuit en été ici ; l’air était humide, moite et gluant. Je me recueillais sur son sarcophage  tout en regardant sa statue faite avec des yeux creux pour donner l’impression qu’elle vous suivait du regard. Soudain un bruit sourd retentit et un fort souffle de vent balaya le couloir, les torches s’éteignirent, mon oncle disparu de ma vision, je ne voyais plus que la statue qui était éclairée par un filet de lumière venant d’un trou à travers un nuage. J’appelais mon oncle et n’ayant aucune réponse voulut sortir du tombeau, je parcouru quelque mètre dans le noir total et tomba sur de la roche qui venait de s’écrouler. L’air commençait à devenir lourd je voulus retourner sur mes pas. Il me sembla marcher pendant des heures, des effets du manque d’air me disais-je. Je me retrouvai dans une salle qui m’était inconnu à part une chose : la statue.

 

               Des pas se firent entendre, je me retournai, mais ne vit rien. Cela devait être mon oncle qui me cherchait, je l’appelai, les pas s’éloignèrent je couru vers l’endroit ou je pensai ou il était je me retrouvai encore dans une salle inconnue avec la statue qui me regardait, cette fois je vis la trappe qui se trouvait à côté de la statue je l’ouvris et découvris un le réseau de souterrain qui servait sans-doute a la restauration des tombeaux, mon oncle devait savoir qu’ils existaient. Ma tête était devenu lourde et mes pas lent je tombai sur une salle et dans la quelle se trouvait la statue. Cette statue était partout à chaque fois identique. Mes mains devenaient moites et je commençai à trembler de froid, je revenais sur mes pas et je trouvai des affaires dont un sac de couchage, je me couchai dedans et m’endormit aussitôt. Je me réveillai et me trouva devant la statue, je sorti brusquement du sac et recula. Celle-ci était différente, je le sentais, je tournai autour d’elle et me rendis compte que des inscriptions indiquant une direction à prendre. C’est comme si elle m’indiquait le chemin de la sorti. Je me dis que ce devait être quelqu’un de pressé ou quelque chose comme cela qui l’avait marqué et n’avait trouvé d’autre solution que de mettre une statue devant moi. Je suivi ses instructions et entendit des bruits de piaillement et me dis que ce devait être les oiseaux de dehors et que j’étais arrivé, enfin. J’avançai vers le bruit, soudain une marée noire fonça vers moi en piaillant : des chauves-souris. Je me couchai d’un bond et elles me frôlèrent à toute vitesse. Une idée me vint soudain : les chauves-souris allaient vers la sortie, je me relevai aussi vite pour les poursuivre. Je les perdu de vue dans une salle, avec une statue a l’intérieur mais cette fois-ci je remarqua sur la statue une flèche qui indiquait un couloir, j’allai dans cette direction avec espoir, je retombai sur une autre salle avec encore une statue qui indiquait encore avec une flèche une direction. Cela se répéta de nombreuse fois, et, je compris le rôle de la statue dans ce dédale c’était une sauveuse. Enfin j’aperçu un léger rayon de soleil au bout du couloir je couru aussi vite que je pus, tout benoît, je sortis à l’air libre et inspirai un grand coup.

05 avril 2014

La nuit qui a changé ma vie, Jehanne

04 avril 2014

La bête noire, David

La boite noire, Romain

 J'étais sur la place de l'église en décembre, il faisait très froid quand je vis une statue. Cette statue était très imposante, on pouvait voir sur ses mains une lance et une boîte noire mystérieuse.

Je rentrais chez moi. Pendant toute la nuit, je ne pus dormir. Je pensais sans cesse à cette boite noire de cette statue. A un moment je sentis une masse imposante et lourde sur mon lit, je me suis levé et je suis allé allumer la lumière. Il n'y avait rien. Le lendemain, pensant à cette statue, j'y suis retourné mais elle n'était plus là.

Le soir même, regardant le télé, je vis une ombre gigantesque passer devant ma fenêtre. Pris de curiosité, je m'y suis rendu sans rien voir.

Quand je suis revenu dans mon salon, ma télé était éteinte. Je l'ai rallumé puis je suis allé dans ma cuisine pour manger. Quand je revins dans mon salon, la télé était une nouvelle fois éteinte. Soudain, j'entendis un bruit sourd dehors. Pris de panique, je m'y rendis avec une arme et quand je vis cette chose énorme, je tombais sur le sol, le souffle coupé en pensant à une seule chose : partir en courant mais je ne pus bouger d'un centimètre.

J'étais pris au piège, je ne pouvais pas en sortir. Elle se jeta sur moi, et, ayant repris ma conscience, sautai avant qu'elle ne me tombe dessus. J'ai pris mon arme et l'attaqua sans résultat. Sa pierre était si dure que je ne pus le toucher. Elle me prit et me lança si fort que je n'ai pas touché le sol pendant cinq seconde au moins.

En retombant, j'avais si mal que je ne pouvais pas me lever ni même m’asseoir. Elle revint et me donna un coup si fort qu'elle m’assomma de suite.

Quand je me suis réveillé, il faisait jour, et, je ne pus vous expliquer pourquoi mais il n'y avait plus personne. Les rues et les magasins étaient tous désert. Je ne compris pas de suite pourquoi, puis, repensant a cette statue, je me rendis a son emplacement. La statue était revenu a sa place et la boite noire avait disparu.

Périgord, Azélie

L'accident, Léa

Les hamsters, Manon R.

Une promenade étrange, Cyril

Panique, Léna

La lumière, Corentin

C’était une belle journée de juin. Je me promenais près de chez moi. 
La forêt qui m'entourait me sembla subitement silencieuse. Les oiseaux qui chantaient s'étaient tus. La bonne idée d'aller chercher des champignons à l'aurore ne me paressait plus si bonne. Le temps se gâta rapidement et un brouillard dense s'installa. Je voulus partir mais ne trouvais plus mon chemin. J’étais perdu.                                                              
                       
 En cherchant ma route, une lueur étrange attira mon attention. Petit à petit je m’approchai. La luminosité devenait de plus en plus forte. Soudain, je vis une créature  descendant d’un objet étrange.
 Elle me vit et commença à courir vers moi. Je me précipitai dans la direction opposée, me faufilant à travers les branches qui m’égratignaient le visage, arrachaient mes vêtements tels des mains aux ongles crochus. Je voulus appeler à l’aide mais aucun son ne sortit de ma bouche. Au bout de ce qu’il me sembla être un quart d’heure, je tombai sur une route juste au moment où arrivait une voiture. La fenêtre de la voiture s’ouvrit et le conducteur me dit :
 -Vous voulez que je vous dépose quelque part ? 
- Oui dans la ville la plus proche, s’il vous plait, lui répondis-je essoufflé.
Au moment où la voiture repartait, je vis derrière nous l’étrange créature sur la route.
Quand nous arrivâmes, le conducteur me déposa dans la ville et partit.
J’étais au cœur de la cité et ne voyais personne. C’était une ville fantôme. 
Soudain, j’aperçus « la chose ». Elle était à l’entrée de la ville. Je me cachai dans une meule de foin. Depuis ma cachette, je pouvais l’espionner à mon aise.  Elle était assez  grande, très baraquée. Elle portait un costume étrange tel ceux que l’on voit dans les films d’extra terrestres. 
Au bout de trois heures, je commençais à avoir des crampes mais ne pouvais pas bouger car je craignais qu’elle fut toujours dans les environs. Après avoir vérifié qu’elle n’était plus là, je sortis de ma cachette. J’aperçus alors un groupe de personnes. Ils vinrent à ma rencontre.
Ils me dirent qu’ils faisaient partie d’une équipe de cinéma qui tournait un film de science fiction et qu’après m’avoir vu effrayé dans la forêt, ils me recherchaient pour me rassurer.
Je leur demandai s’il était possible de voir l’acteur qui avait joué l’extra terrestre pour le féliciter de son talent d’acteur car j’y avais vraiment cru. Ils me dirent que ce n’était malheureusement plus possible car il était rentré chez lui. Ils paraissaient nerveux comme s’ils redoutaient quelque chose mais j’étais vraiment trop fatigué pour leur en demander la raison. Ils me ramenèrent à ma voiture et me dirent qu’ils me recontacteraient ultérieurement pour me donner les coordonnées de l’acteur. 
Ils ne me recontactèrent jamais et je lus plus tard dans les journaux qu’il y avait eu d’étranges apparitions dans cette forêt. Aussi, j’eus quelques doutes sur ce que m’avaient dit les « réalisateurs  » …

Rencontre avec une statue, Lucie

  Je rentrais du travail d’un pas vif. Quelle dure journée ! En arrivant chez moi, je mangeais devant la télévision lorsque la fatigue me prit. Je marchais jusqu’à mon lit et m’allongeais. Les soucis envahissaient ma tête si bien que je n’arrivais pas à dormir. Cependant la fatigue était si forte, je m’endormis.

 

  Je me levai en sursaut. Je sentais une présence comme si quelqu’un m’observait. L’air ambiant était glacé, et de la buée sortait de ma bouche. Je voulus me relever, y mis toute ma conviction ; impossible ! Il ne me restait plus aucun choix : crier. Mais encore une fois impossible ! Prise de panique, je pleurais quand tout d’un coup j’entendis une voix.

 

  Cette voix était calme et rassurante. Mais d’un coup d’un seul, elle s’énerva tellement fort que tous les objets de la salle tombèrent et se cassèrent sur le sol. Et moi, comme par magie, je retrouvais la capacité de bouger. Je me levai alors de mon lit et la voix qui reprit une teinte sympathique, me guida vers un recoin très sombre de la pièce. À cet endroit, je me trouvais face à une statue gigantesque encore inconnue à mes jours.

 

  C’était une statue blanche, dénudée, avec une couronne sur la tête, des yeux sombres, noircis par le temps. Elle n’avait pas de bouche, son corps était sculpté tel celui d’une déesse antique.  Elle incarnait le cauchemar même, elle était vraiment terrifiante.

 

  Tout à coup elle prit ma main et m’emporta dans un chemin très sombre, c’était un sentier au milieu de la forêt, les arbres, ces immenses créatures, semblaient nous observer. Nous marchions dans le noir absolu dans quelque direction que ce fut, elle eut l’air confiante, marcha d’un pas très rapide pour finalement arriver devant la façade d’une maison abandonnée.

 

  Cette maison ne me disait rien du tout. Je fis alors mes premiers pas à l’intérieur. Tout me revint à l’esprit, tous ces cauchemars que j‘avais, depuis deux semaines, c’était dans cette maison, chaque détail réapparut ainsi dans ma tête. Je me mis à crier de toutes mes forces et ressortis aussitôt de cette maison ; la statue posa sa main sur ma bouche. J’hurlais de plus en plus fort, me débattais, rien n’y faisait ! Je me mis alors à pleurer d’énormes sanglots qui traduisaient toute mon angoisse.

  Je me réveillai alors en sursaut et compris que tout cela n’était qu’un rêve.

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