02 avril 2020

Imagine la suite... de Louise

    

Il s’agrippa à un bout de bois qui flottait à la surface de l’eau et il se mit à nager en direction du bateau qui continuait à avancer. Une brise marine se mit à souffler, il redoubla de vigueur, mais ne parvint pas à le rattraper. Il comprit qu’entre sa vie et le sinistre royaume des morts il n’y avait qu’un médiocre débris de bois à moitié décomposé. Il remit donc son sort au destin, puis s’évanouit.

 

     Le lendemain il se trouvait sur une île qui ne figurait sur aucune carte. C’était une île des plus singulière qui semblait déjà habitée. Il eut d’abord peur, mais très vite son âme curieuse reprit le dessus et il se hasarda à explorer cette île énigmatique. Les arbres semblaient se mouvoir et avaient quelque chose de très mystérieux. La nuit commençait à tomber, il fallait donc qu’il trouve asile.  Soudain, il aperçut une petite grotte à quelques pas de lui. Il s’y réfugia, mais il ne dormit pas, il était trop occupé à penser : « Pourquoi Baudelaire qualifie-t-il de prince des nuées ces oiseaux maladroits, rustres et haineux ? » Depuis l’incident de la veille il entretenait des relations très hostiles avec ces volatiles. Mais sa colère se dissipa très vite pour faire place à un profond sentiment de nostalgie qu’il n’avait jamais éprouvé auparavant. Il regrettait sa terre natale où s’était écoulée toute sa vie passée et il se mit à pleurer à chaudes larmes.

 

     Les jours s’écoulaient ainsi. Il menait une existence triste et monotone. Son seul plaisir était d’explorer l’île aux mille et une beautés. Il ne manquait de rien pour survivre, la terre y était très fertile. Son seul désir était de revoir sa terre natale. Ainsi vingt ans s’écoulèrent.

 

     Désormais, il avait soixante ans, mais son regard triste et éteint et son visage maigre et ridé lui en donnaient quatre-vingts. Il n’avait ni ambition, ni espoir, comme si l’esprit de l’île avait férocement dévoré son âme, jadis pleine de vigueur et d’une curiosité sans pareille. Un matin il avait ressenti un malaise épouvantable et le vent semblait siffler un funèbre chant. « La fin de mes jours est proche », dit-il. Soudain, sur la plage, à l’endroit où il s’était échoué, il vit quelque chose étinceler, c’était la fermeture de son portefeuille. Il le saisit d’un mouvement brusque et l’ouvrit. Il contenait un miroir, plein de petits objets futiles et un portrait de lui quand il avait six ans. Il se regarda dans le miroir et regarda la photo. Ses yeux éteints ne purent retenir la nuée de larmes qui coulèrent le long de ses joues maigres.

 

01 avril 2020

Imagine la suite... de Nella

 

Un marin dit à son Capitaine :

  • Capitaine, un homme à la mer !
  • Oui j’ai vu, cap sur l’île.
  • Mais pourquoi, Capitaine ?
  • Demain, on ira le repêcher.
  • Mais ce sera trop tard !
  • Tant pis !

Le marin essaya de nager mais le courant l’emporta.

- Un Albatros ! cria un marin, capturons-le, c’est peut-être lui qui a déséquilibré le marin.

- D’accord, dit le capitaine.

Ils n’arrivaient pas à capturer l’albatros. La nuit tomba et…

Ils essayaient de trouver le marin mais une créature géante sortit de l’eau… « LE CALAMAR GÉANT !» cria un marin.

Ils comprirent trop tard pourquoi le marin n’était plus là.

Et ils finirent comme le pauvre marin.

 

 

 

31 mars 2020

J’invente la suite du récit… d'Edouard

J’invente la suite du récit…

Comme ils étaient en pleine tempête ils ne pouvaient pas lancer la bouée de sauvetage.

- Qu’est-ce qu’on fait capitaine, dit un marin à son capitaine.

Le capitaine ne répondit pas.

Il réfléchissait : comment allait-il récupérer l’homme à la mer, surtout que c’était son meilleur homme. En réfléchissant, il revit l’albatros qui avait attaqué l’homme, dans le ciel…

-Je sais ! Attrapez l’albatros, là dans le ciel.

Sans comprendre, les hommes l’attrapèrent.

- Maintenant, essayez de lui demander de remonter l’homme qui est à la mer, dit-il à un homme qui pouvait parler aux animaux.

L’homme en question s’exécuta. L’albatros faillit se noyer mais il ramena l’homme saint et sauf.

- Comment as-tu fait ? demanda le capitaine du marin.

- Au début, ce n’était pas facile, car, comme tout le monde le sait, c’était l’albatros qui avait attaqué l’homme. Mais j’ai réussi et c’est l’essentiel.

- Peu importe, en récompense je vais te donner ceci.

Et il lui tendit une bourse pleine de pièces d’or.

-Hé! Mais s’il y a un albatros ici, c’est que la terre n’est pas loin! dit un marin.

 

En effet, un trait se dessinait vers l’horizon…

- Terre !

 Cette terre allait s’appeler l’Inde, mais ils ne le savaient pas encore. Ah oui ! J’ai oublié de vous dire que le capitaine du navire s’appelait Christophe Colomb !

Imagine la suite... de Méloïca

L'homme était tombé, tous les marins s'en fichaient, sauf Grégoire. C'était son meilleur ami, mais au bout d'une semaine il s'était refait des amis.

Pendant que les marins étaient tranquillement installés dans leur bateau, il y avait Sam (celui qui était tombé à la mer) qui était descendu tout au fond des abîmes. Il avait de la chance, il y avait une grotte !

Trois jours avaient passé, Sam était toujours "endormi". Puis le quatrième jour il sentit qu’il allait mieux, il se réveilla et marcha, longtemps.

D'un coup il vit une porte, il y avait un code. Il le trouva très rapidement. A l'intérieur il y avait...Une ÉNORME bibliothèque (Sam adorait les livres...)

Quant à Grégoire et ses compagnons...Ils furent embarqués par une énorme vague.

30 mars 2020

Imagine la suite... de Timothée

 

Ils prirent la barque pour aller le sauver. L’albatros les repoussait mais ils réussirent à le faire fuir. Ils récupérèrent le marin.

Mais ils ne se doutaient de rien…

« L'albatros revient !!!! » cria l'un deux. « Et même, je crois qu'il y en a plusieurs !!!!!. Ils (les albatros) arrivent avec des armures !!! »

Voici comment a débuté la GUERRE…….

Ils essayèrent de leur tirer dessus mais ça ne marchait pas !

Les albatros se rapprochaient de plus en plus.

Ils tentèrent de retourner au bateau mais les albatros cassèrent leur barque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les marins nagèrent jusqu’au bateau qui repartit loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin loin …

Ainsi s’acheva le premier épisode de LA guerre.

La conspiration des albatros... de Ninon

La conspiration des albatros

 

L’homme était en guerre depuis longtemps avec les albatros. En effet, il avait humilié l’oiseau à force de le capturer, de lui infliger des tortures « au milieu des huées », se moquant de « ce prince des nuées » tombé par terre et dont « les ailes de géant l’empêchent de marcher », comme l’écrit Baudelaire dans son poème « l’Albatros ».

Pour les albatros, il était temps de se venger. Ils voulaient donner une leçon aux hommes afin qu’ils apprennent que tout le monde peut être maladroit et honteux. Pour cela, ils décidèrent de faire tomber les marins à l’eau. Tout d’abord, ils s’attaquèrent à un gabier qui travaillait sur le mât. L’homme tomba à la mer. Ses compagnons voulurent prendre une barque pour le sauver mais les albatros étaient les plus rapides. Ils détachèrent les amarres de la barque d’un coup de bec sec et poussèrent les hommes restés à bord dans l’eau. Les oiseaux riaient de ces hommes qui se débattaient dans les vagues, aussi maladroits que des albatros marchant sur la terre ferme. Finalement, les albatros décidèrent de ramener les marins dans une île déserte. Là, les hommes promirent de ne plus agresser aucun albatros et de construire un centre de recherche et de protection des oiseaux de mer. C’est ainsi que les hommes et les albatros devinrent amis.

Moralité : personne n’est prince absolu en ce monde. Le savoir aide à faire le bien.

Imagine la suite... de Cyprien

 

Soudain une orque vint le chercher, elle prit le marin sur son dos. Elle parcourut des centaines de kilomètres. Au bout de cent à deux-cents kilomètres, l’animal était tellement épuisé qu’il ne pouvait plus supporter le poids du marin. Quelques minutes plus tard, l’orque croisa une baleine, gentiment, elle lui demanda si elle pouvait prendre sa charge. La baleine hésita longuement mais finit par accepter en voyant la mine fatiguée de l’orque. La baleine prit le marin également sur son dos. Elle aussi parcourut une certaine distance. Soudain, au loin, la baleine aperçut un port bondé de bateaux dont celui du marin tombé à la mer, un vieux bateau au voiles jaunes et à la coque en bois.       

 

Imagine la suite... de Lucie

L'homme tombé dans l'eau ne fut pas repêché par ses compagnons mais par un dauphin qui l'amena loin, très loin... sur une ile inconnue peuplée de petits animaux et de grandes forêts. Il se réveilla et se demanda où il était puis il se leva pour aller explorer l'ile. Dans la forêt il se fit une cabane, et quelques mois plus tard un navire fit escale sur l'ile et embarqua l'homme.

29 mars 2020

Imagine la suite... d'Erwan

Quand le bateau arriva, il fit des grosses vagues qui emportèrent le marin, qui s'échoua évanoui sur une île. Le  bateau qui s'approchait du marin s'échoua à son tour sur les rochers. Quand le marin se réveilla, il ne savait pas où il était. Il entendit son ventre gargouiller et décida de tuer un albatros qu'il mangea cru. Il sentit alors une odeur qui le dégouta. Il décida de se faire un abri de feuilles et de bois. Il alla voir le bateau et vit un trésor, mais puisqu'il ne lui servirait pas il décida d'aller voir dans la cabine du capitaine et trouva une laisse de chien et quelques vivres. Il essaya d'apprivoiser des requins et forma une armée de squales. Alors il partit sur le dos d'un requin blanc suivi d'une centaine de requins. Il arriva au milieu de l'océan et devant lui d'énormes baleines lui bouchèrent le passage. Alors il décida d'attaquer les baleines qui étaient moins nombreuses mais plus lourdes, celles-ci étant beaucoup plus grosses que les requins.Les requins qui étaient sur le point de perdre reculèrent beaucoup quand tout à coup les albatros arrivèrent et battirent les baleines. Alors ils firent la paix.

Les marins... de Kaiña

 

 

LES MARINS

Le marin tomba à l’eau et il allait bientôt se noyer. Alors qu’il allait mourir, sur l’ordre du capitaine, un des sauveteurs lança une longue corde et, avec le peu de forces qu’il lui restait, le marin tombé à l’eau attrapa la corde qui flottait à la surface de l’eau.

A peine le marin était-il remonté à bord qu'il prit son poignard et visa l'albatros et, aussi incroyable que cela puisse paraître, il fit mouche. Le capitaine prit l'albatros et le donna au cuisinier de bord qui en fit un plat. Ce soir-là l'équipage eut de la soupe à l'albatros.

27 mars 2020

Suite de l'histoire... par Wandrille

 

Suite de l’histoire

 

Le marin était tombé à l’eau et il s’était fait rattraper par un monstre aquatique qui voulait le manger, mais au moment où il voulut l‘avaler, un poisson qui passait par là le vit, l’attrapa dans sa bouche et le mit dans son nid.

Le jeune marin coula parce qu’il n’arrivait plus à respirer. A son réveil il remarqua qu’il savait respirer sous l’eau.

Soudain, il vit un scintillement. Qu’est-ce-que cela peut-il bien être ? se dit-il. Une poignée de porte !

Il fit tourner la poignée de la porte et pénétra dans un couloir obscur. Comme il aurait aimé ne pas être seul ! Et il découvrit une citée engloutie…

26 mars 2020

Le marin... de Pierre-Louis

Une fois tombé à la mer, le marin qui ne sait pas bien nager, ne parvint pas à rejoindre le bateau. Heureusement ses quelques notions de natation lui permirent cependant de ne pas se noyer mais de seulement dériver. Au bout de longues heures à surnager, notre héros, épuisé et à bout de force, aperçoit une île. Encore quelques efforts et le voilà sur la plage où il s’écroule en raison de la fatigue. Une nouvelle vie commence alors pour lui sur une île où tout est à découvrir.

Imagine la suite.... d'Inès

Rédaction sur un naufrage :

…Le bateau emporté par le courant ne put jeter une chaloupe à la mer, et le naufragé qui était excellent nageur n’eut pas le temps de s’agripper au cordage lancé par un matelot du navire.

Au même moment, un tentacule aussi large qu’un mât de navire s’agrippa à la hanche du naufragé.  Emporté par les tentacules toujours plus puissants le naufragé finit par sombrer. Avec son poignard il blessa le monstre, réussit à s’échapper de ses griffes, et se dissimula derrière un récif corallien.

Il fit une découverte mystérieuse dans le récif de corail voisin peu habité par les animaux marins. Le naufragé fut d’abord attiré par un reflet doré, luisant au milieu d’une touffe d’algues saturanum pôrtum. Au centre de celle-ci s’étendait un corps inerte (surement asphyxié par l’eau) ainsi qu’un collier d’or (d’où venait le reflet), un fragment de miroir, un couteau et un coffre contenant plusieurs sortes de magnifiques coquillages. Le jeune naufragé emporta ce qui lui serait utile et remonta à la surface. Voyant une caravelle s’approcher, il fit des signaux avec le fragment de miroir que l’on pouvait détecter sans difficulté à plus d’un kilomètre.

Le jeune mousse qui nettoyait le plancher de bois à bord de la caravelle vit assez vite les signaux à l’horizon. Demandant au capitaine de s’approcher du naufragé il reconnut son père grâce à une fine chaîne en or que lui avait offert son père le jour de ses trois ans :celui-ci l’avait achetée avec toutes ses économies et il avait offert le même exemplaire à son fils (le mousse). Le mousse avait donc eu la même le jour de ses trois ans.

Le père nageait désespérément vers la caravelle. Après avoir été récupéré par le navire, tous fêtèrent les retrouvailles du père et du fils réunis.

24 mars 2020

Suite de la bande dessinée... d'Henri

           SUITE DE BANDE-DESSINEE

Aussitôt les hommes du trois mâts « le Voltaire » mirent une chaloupe à l’eau. Le marin tombé à la mer était en train de se faire emporter par le courant et était loin du navire, quand tout d’un coup ils entendirent le bruit du tonnerre et un éclair illumina l'embarcation dans laquelle se trouvait les marins. Puis les vagues commencèrent à s’agiter et elles prirent une telle force qu'elles renversèrent le petit canot. Quelques instants après les braves hommes réapparurent à la surface de l’eau sombre, haletants. Quand soudainement une énorme vague s’abattit sur eux, une minute, ils réapparurent mais cette fois… morts!

Revenons à notre marin, que les autres devaient sauver. Heureusement, lui savait très bien nager, et à la suite de nombreux efforts, il échoua sur une île mais dont il avait oublié le nom. Il se dit qu’il allait l’explorer. A peine faisait-il son premier pas, que des hommes tatoués et armés jusqu’aux dents sortirent des buissons, le menacèrent et le menèrent dans la case du chef. Celui-ci prit la parole et questionna le marin en disant dans leur langage : « Comment t’appelles-tu? »

C’est à ce moment-là que le marin comprit : on lui avait souvent dit que quand une personne parlait dans ce dialecte, c’était un anthropophage ! Il attendit donc un mouvement d’inattention de la foule pour asséner un uppercut au chef du village et s’enfuir. Il aperçut sur la plage une belle petite barque, et il assomma le cannibale qui la gardait. Puis monta dedans, traversa la mer sans aucune péripétie et rentra chez lui.

Il décida d’abandonner la profession de marin car c’était trop dangereux, et il vécut heureux le reste de sa vie.

La suite de Lyse

Cinq minutes plus tard, la déesse de la mer sortit de l’eau et emporta le marin avec elle et l’emmena sur une île couverte d’albatros !

L’homme détestant ces pauvres bêtes demanda à la déesse de le ramener à ses compagnons, mais la déesse lui répondit :

- Eh bien, jeune homme, apprenez à vous entendre avec ces oiseaux et je reviendrai vous chercher dans deux jours !

Deux jours, c’était trop, comment survivre avec ces bêtes ?

Cependant, en inspectant l’île, il découvrit un albatros blessé et ne put s’empêcher de le soigner.

Quand l’animal fut soigné, il se transforma en jeune fille et en fait, c'était une déesse transformée en albatros car elle pouvait se transformer en tout ce qu’elle voulait !

Elle se transforma en magnifique cigogne et le ramena vers ses compagnons pour le remercier.