festins littéraires

D'abord, on apporta une gigantesque et magnifique salade de tomate mozzarella avec une pincée de basilic tout ça dans un somptueux saladier en argent. Puis vient ensuite un divin cochon de lait entouré de frites aussi magiques que la salade de tomates mozzarella suivie de côte de boeuf saignante d'un somptueux magique. Le calife était au paradis ainsi que toute la cour.Le plateau de fromage prenait toute la place.Il y avait du comté, de l'époisse, du chèvre, pleins d'autres fromages de toutes les régions du monde. Il arriva ensuite les fruits comme d'exquis fruits de la passion, d'ananas et beaucoup d'autres fruits exotiques et pour finir il amena une pièce montée en forme d'arche de Noé. A la base d'abord, c'était une magnifique meringue bleu qui faisait comme des vagues tout autour d'une arche. A côté du bateau sautaient de magnifiques dauphins en dragées aux yeux brillants. Au second étage se tenait une arche entièrement faite en caramel. Tout autour s'ouvraient des fenêtres dessinées en pâte d'amande d'où sortaient des têtes d'animaux en nougat. Et enfin tout en haut sur la plateforme supérieure se tenait un toit reposant sur quatre piliers en nougatine. Le toit était rouge,tout en confiture de fraises. Posées au milieu, des oies blanches en sucre étaient surmontées d'un magnifique arc-en-ciel de guimauve multicolore

D’abord, on apporta l’entrée qui était composée de quinze plats en bronze. On amena le premier plat qui était du pâté de foie accompagné de divers chutneys : framboise, oignon, mangue, etc… Ensuite on amena le deuxième plat qui était des tartines d’aubergines et de tomates. Le troisième plat fut apporter (é/er) les convives ne le trouvère (conjugaison du passé simple) pas très appétissant mais la façon dont ce plat était dressé était magnifique. Le dernier plat de l’entrée était des sauces déposé (accord) dans des coquilles d’œuf. C’était tout à fait surprenant, la couleur des sauces était parfois bleue, parfois rouge, parfois verte…

Ayant fini l’entrée les domestiques vinrent ramasser les assiettes pour en mettre de nouvelles qui étaient exactement les mêmes mais de couleur argent. Le plat principal n’était pas composé de plusieurs plats comme l’entrée mais d’un seul plat qui était un bœuf. On l’avait mis de façon que tout le monde puisse voir LE cuisinier le découper. Quelle fut la surprise du Calife et des convives quand ils découvrirent que le bœuf était rempli de petits pains qui eux-mêmes était fourrés d’un délicieux cury et à côté du bœuf (et pas dedans) il y avant des quantités et des quantités de sauces. Le cuisinier avait fait apporter tous les fromages du monde : il y avait de tout, du comté, du bleu, du gruyère, du St –marcelin, de la tome… On ramassa les assiettes pour en mettre des nouvelles en or (ponctuation) au dessert le cuisinier avait apporter un pièce montée : au premier étage il y avait champs de canne a (a/à) sucre où jouaient des enfants en chocolat. Il y avait un petit sentier de cailloux qui étaient des choux à la crème pour accéder au deuxième étage où était un immense château fait de gelée, au troisième étage il y avait un cascade faite de gélatine qui retombait dans un lac de sucre derrière le château. Sur une meringue flottante il y avait deux petit anges qui veillaient sur le monde .

Estelle

Mon petit mot gourmand est le chichi et il restera divin. Cela me fait penser au cht'i. Oh oui le chichi je le savoure quand  je l'entends, je m'en lèche les babines et dés que je le vois, j'en ai l'eau à la bouche car il est délicieusement exquis.

Oui mon petit chichi dès que je te prononce, je n'ai qu'une envie c'est de t'avoir sous ma dent pour te croquer, et dès que je t'ai sous ma main je cherche à te mettre en bouche.

Oh oui mon mot gourmand n'arrêtera pas de m'étonner car il restera toujours savoureux.