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03 décembre 2008

vue de la fenêtre de la classe de français

                                                                        La vue de la classe de français     



La fenêtre est comme un tableau avec des arbres qui me font penser à des squelettes.

Ces petits immeubles sont comme des sculptures qui seraient peintes un peu partout.

Il y a aussi un espace vert comme un tapis de verdure.

Rien ne bouge, tout est calme sauf la fumée des cheminées qui s'agite et tourne. Et puis bien évidemment il y a le ciel, le ciel grisâtre avec ses nuages qui bougent.

Les nuages ouvrent mon imagination. Ce tableau me fait penser à un musée.

Lucile 

La classe de français

Je regarde part la fenêtre et j'aperçois un magnifique tableau,il reflète la population d'aujourd'hui, je me l'approprie . 

On y trouve toutes sortes d'arbres, d'habitude, ils sont riches de santé , ils ont chacun leurs couleurs, rouge pour l'amour , orange pour le rire, jaune pour la beauté. Mais l'hiver, leurs feuilles cramoisies tombent peu à peu sûr le sol et ils deviennent squelettes . Ils sont nus, vides, creux, tristes (accorde l'adjectif qualificatif), le vent les effleure doucement. Cependant, il peut (verbe pouvoir) les attaquer à tout moment , mais ils résistent, ces beaux arbres face à ce froid, cette brutalité .

 A côté , un grand terrain de sport, vide lui aussi, personne n'y vient alors qu'on peut y trouver un divertissement .

Tout au bout de mon tableau, des immeubles à l'horizon. Ils sont gris, sans vie, mais ce qui me réjouie (conjugaison), c'est cette grande église au loin, on entend ses cloches qui se rapproche de nous au fil des secondes. Il y a aussi cette grue immense, sûrement  pour construire, encore, un immeuble. Les hommes détruisent la nature pour le bon plaisir , ils me font honte.

Pourtant, plus je regarde cette grue , plus elle me fait penser à un voilier qui flotterait  dans les air . Elle n' est peut être pas ci cruelle .

Tout prés de moi un parking, trempé par la pluie avec ces voitures remplies de couleurs.  Elles  ont l'air confortable, mais chaque jour elles polluent  notre planète et cela me fais changer d'avis , elles ne me plaisent plus .

                                                    FIN

18 novembre 2008

Vue d'une fenêtre familière

De cette fenêtre, je vois, juste devant moi, une terrasse. Sur cette terrasse est placé une table autour de laquelle sont disposées des chaises. A gauche, il y a une autre fenêtre au-dessus de laquelle est accroché un store. Sur le même mur que la fenêtre, est fixée, devant une goutière, une lampe. Au bout de cette première terrasse, derrière une bande d'herbe, il y a une seconde terrasse mais celle-ci est surélevée. Une planche permet de passer d'une terrasse à l'autre. Au bord de cette seconde terrasse sont disposées des plantes. Une autre plante s'accroche à la grille marquant le bout de la terrasse. Dans l'angle un petit lampadère domine sur les deux terrasse. A droite un arbre cache un peu les imposants immeubles disposés derrière ce jardin.