Deuxième proposition : les fenêtres

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19 novembre 2008

Par ma fenêtre ..............

Par ma fenêtre, je peux encore entrevoir cette brume légère qui couvre les jardins. Au loin, j'observe des arbres élancés qui perdent petit à petit leur beauté, des oiseaux qui s'envolent dans des pays plus chauds, des traces blanches laissées dans le ciel par de nombreux engins volants, des bâtiments imposants.... Au coin de ma fenêtre, j'aime beaucoup regarder ce sol pleureur à l'air mélancolique et mes petits voisins qui jouent dans le jardin et qui me redonnent un peu de joie de vivre à cette saison.

Installée dans mon petit fauteuil moelleux, de l'autre côté de la route et des bruits assourdissants, je contemple la magie de la nature : ces changements de saisons qui me font toujours rêver .... Ces roses fânées, ces arbres dénudées, ce froid glacial et ces derniers rayons de soleil marquent cette nouvelle période qui s'appelle l'HIVER.

Lorsque je me reflète dans la baie vitrée de mon voisin qui habite dans une grande bâtisse juste en face de chez moi, je constate alors, que nous, les êtres humains, si petits, nous ne sommes RIEN par rapport à ce vaste univers même si nous avons la chance de profiter des biens de la nature, nous ne faisons que la déformer, l'arracher de ses racines.....

Et c'est ainsi, régulièrement, j'observe dans l'encadrement de ma fenêtre ce paysage, et j'admire les saisons qui défilent au fur et à mesure devant mes yeux....... 

                                                                       Elsa  

 

18 novembre 2008

Un quartier s'éveille dans un film d'Hitchcock

Un chat grimpe, miaule.Les oiseaux volent, les gens s'affairent comme tous les matins : certains se hâtent, d'autres se rasent ou continuent à dormir. La nuit a été chaude : un couple se réveille sur un balcon comme c'est étrange... Une femme s'habille tout en préparant son petit déjeuner et en s'échauffant. Au loin,on entend des écoliers, le quartier s'éveille. Puis un homme,en fauteuil roulant,avec un plâtre sur lequel est écrit "Ci-gît la jambe cassé de Lb Jefferie", des gouttes de sueur dégoulinent sur son visage. Soudain, on voit un objet cassé,des photos de courses de voitures, d'explosion puis le portrait d'une femme souriante qu'on distingue à peine, on la reconnaît sur la couverture d'un magasine.Qui est-elle?

  

Par ma fenêtre

Quand je suis dans mon salon, je me sens bien et dès que je regarde par la fenêtre, je me sens encore mieux. Dehors, je distingue les balcons de mes amis Yoan et Julien. Il arrive parfois que l'on se fasse un petit coucou amical. Je peux apercevoir la plupart des appartements de ma résidence car celle-ci est en arc de cercle. Par ma fenêtre, je peux regarder celle de mon voisin où je vois parfois le museau de son chien qui lui aussi apparemment profite de la vue. J'observe également la porte qui conduit à mon garage. Par dessus celui-ci, il y a un petit terrain recouvert d'herbe avec quelques arbres où les enfants de la résidence aiment s'amuser lorsqu'il fait beau. Après, on peut entrevoir une route où circulent des voitures qui effectuent des va-et-vient. Au loin, je conptemple des petites lumières de lampadaires qui scintillent. Elles me font penser à des étoiles. Voilà, cette vue me remonte le moral quand je vais mal, mais là je vais bien.

Vue de ma fenêtre

Pendant mes moments d'ennui, je traîne le siège du bureau de ma mère et je me mets devant la grande baie vitrée .De là, je peux voir les passants qui reviennent du petit supermarché (on peut l'apercevoir si on se penche ,mais il faut vraiment se pencher) ,les collégiens qui descendent du bus (lui aussi on peut le deviner si on le cherche ), les mères qui reviennent du petit square avec leurs enfants .

Le petit square, je peux le voir sans aucun problème. Il est constitué d'un terrain en terre (plus souvent en gadoue ) assez grand si on y réfléchit bien, d'une balançoire à deux places (vous savez une planche sur laquelle on s'assoit, chacun à un bout puis on monte ,on descend ,on monte ...) d'un éléphant et d'un crocodile qui font office de fidèles destriers montés sur ressorts. Ils sont tous de couleurs rouge, jaune et bleu et ont des formes enfantines ; le square est entouré d'une haie. Seuls témoignent de sa fréquentation des débris dans une poubelle isolée. Un après-midi, il pleuvait à torrent, je rentrais du collège et pour aller de l'arrêt de bus à chez moi je longeais ce petit espace. Et j'y suis entrée. Je me suis assise sur l'éléphant et je suis restée là un moment. Je ne sais pas ce que j'attendais.

Derrière le square, il y a un grand mur blanc. Enfin il devait être blanc car maintenant il est en partie recouvert de graffitis. Des fleurs de lys, des écritures incompréhensibles et un "bourro". Il a toujours été comme ça .En tout cas ,moi je ne l'ai pas connu autrement .

Tout devant il y a aussi un parking privé d'une vingtaine de places où les mêmes voitures sont toujours garées,c'est à se demande si elles en bougent parfois .

Et voilà ,vous avez une vue approximative de ce que je vois par la fenêtre de mon salon. 

De chez moi je vois...

La pièce dans laquelle je me sens bien chez moi est ma chambre et je vais donc vous décrire tout ce que je peux voir de ma fenêtre. 

Tout d'abbord, je vois un passage piéton, celui-ci me permet de traverser la route pour aller à l'école primaire Molière, à la maternelle Jean de la Fontaine ainsi qu'au centre de loisirs, dont je ne vois que le toit. Un monsieur est de l'autre côté de la rue matin, midi et fin d'après-midi, pour faire traverser avec sécurité tous les enfants qui vont à l'école ainsi que leurs parents. 

Face à mon immeuble, il y a aussi une grande maison avec jardin, suivie d'une allée avec plein de petites maisons alignées. Beaucoup de voitures s'y garent. Il y a toujours de la circulation, jour et nuit.

Si je place ma tête un tout petit peu à l'extérieur de la fenêtre de ma chambre à ma droite j'observe l'auto-école. Devant celle-ci, il y a six places pour se garer dont une pour les personnes handicapées. À droite de l'auto-école, il y a un parking sous-terrain et à sa gauche il y a une boulangerie à même pas une minute de chez moi.

À ma gauche il y a un arrêt du bus pour aller à Versailles et un pour aller à Parly2, ainsi que d'autres immeubles de ma résidence.

Vue d'une fenêtre familière

De cette fenêtre, je vois, juste devant moi, une terrasse. Sur cette terrasse est placé une table autour de laquelle sont disposées des chaises. A gauche, il y a une autre fenêtre au-dessus de laquelle est accroché un store. Sur le même mur que la fenêtre, est fixée, devant une goutière, une lampe. Au bout de cette première terrasse, derrière une bande d'herbe, il y a une seconde terrasse mais celle-ci est surélevée. Une planche permet de passer d'une terrasse à l'autre. Au bord de cette seconde terrasse sont disposées des plantes. Une autre plante s'accroche à la grille marquant le bout de la terrasse. Dans l'angle un petit lampadère domine sur les deux terrasse. A droite un arbre cache un peu les imposants immeubles disposés derrière ce jardin.