18 novembre 2008
Par Noémie le 18 novembre 2008, 15:22 - Deuxième proposition : les fenêtres
Pendant mes moments d'ennui, je traîne le siège du bureau de ma mère et je me mets devant la grande baie vitrée .De là, je peux voir les passants qui reviennent du petit supermarché (on peut l'apercevoir si on se penche ,mais il faut vraiment se pencher) ,les collégiens qui descendent du bus (lui aussi on peut le deviner si on le cherche ), les mères qui reviennent du petit square avec leurs enfants .
Le petit square, je peux le voir sans aucun problème. Il est constitué d'un terrain en terre (plus souvent en gadoue ) assez grand si on y réfléchit bien, d'une balançoire à deux places (vous savez une planche sur laquelle on s'assoit, chacun à un bout puis on monte ,on descend ,on monte ...) d'un éléphant et d'un crocodile qui font office de fidèles destriers montés sur ressorts. Ils sont tous de couleurs rouge, jaune et bleu et ont des formes enfantines ; le square est entouré d'une haie. Seuls témoignent de sa fréquentation des débris dans une poubelle isolée. Un après-midi, il pleuvait à torrent, je rentrais du collège et pour aller de l'arrêt de bus à chez moi je longeais ce petit espace. Et j'y suis entrée. Je me suis assise sur l'éléphant et je suis restée là un moment. Je ne sais pas ce que j'attendais.
Derrière le square, il y a un grand mur blanc. Enfin il devait être blanc car maintenant il est en partie recouvert de graffitis. Des fleurs de lys, des écritures incompréhensibles et un "bourro". Il a toujours été comme ça .En tout cas ,moi je ne l'ai pas connu autrement .
Tout devant il y a aussi un parking privé d'une vingtaine de places où les mêmes voitures sont toujours garées,c'est à se demande si elles en bougent parfois .
Et voilà ,vous avez une vue approximative de ce que je vois par la fenêtre de mon salon.
Par Liliana le 18 novembre 2008, 14:45 - Deuxième proposition : les fenêtres
La pièce dans laquelle je me sens bien chez moi est ma chambre et je vais donc vous décrire tout ce que je peux voir de ma fenêtre.
Tout d'abbord, je vois un passage piéton, celui-ci me permet de traverser la route pour aller à l'école primaire Molière, à la maternelle Jean de la Fontaine ainsi qu'au centre de loisirs, dont je ne vois que le toit. Un monsieur est de l'autre côté de la rue matin, midi et fin d'après-midi, pour faire traverser avec sécurité tous les enfants qui vont à l'école ainsi que leurs parents.
Face à mon immeuble, il y a aussi une grande maison avec jardin, suivie d'une allée avec plein de petites maisons alignées. Beaucoup de voitures s'y garent. Il y a toujours de la circulation, jour et nuit.
Si je place ma tête un tout petit peu à l'extérieur de la fenêtre de ma chambre à ma droite j'observe l'auto-école. Devant celle-ci, il y a six places pour se garer dont une pour les personnes handicapées. À droite de l'auto-école, il y a un parking sous-terrain et à sa gauche il y a une boulangerie à même pas une minute de chez moi.
À ma gauche il y a un arrêt du bus pour aller à Versailles et un pour aller à Parly2, ainsi que d'autres immeubles de ma résidence.
Par Louise le 18 novembre 2008, 14:25 - Ecrire la ville
Je suis installée dans le canapé. Dans mon salon, j' ai déjà tourné mon regard vers la fenêtre. Au premier plan, le fauteuil. Un peu déchiré,le motif est peu visible.
J' observe, à travers la fenêtre une grande maison. C' est une meulière typiquement versaillaise. J'imagine alors une famille fortunée y habitant. Cette maison est triste et austère. Je n' en vois pas la totalité, le rideau blanc de la fenêtre la cache. J' y devine trois étages. Je vois une fenêtre de grenier. Tous les volets ne sont pas ouverts. Sans doute qu'elle s' est vidée et qu' un couple âgé y habite. J'entends le bruit des voitures. La nuit n' est pas tombée, mais le lampadaire est déjà allumé. Sa lumière jaune se reflète sur la fenêtre de la maison. Le ciel est gris et couvert de nuages. De ses nuages tombe (cherche le sujet) la pluie; si on écoute avec attention, on l'entend. Ce bruit monotone est agaçant.La pluie ruisselle sur le toit de la maison.
Par Julien le 18 novembre 2008, 14:23
Quand je suis dans le salon, je suis le plus souvant allonger sur le canapé. Dans le salon, quand je fait pivoter ma tête sur la droite, je vois une fenêtre et à travers cette fenêtre je vois toute ma résidence. Je vois une route qui monte sur environ trente mètres de long avec sur les flans droits et gauches des places de parking. On vois aussi des arbres. En face de ma fenêtre, on peut apercevoir d'autres immeubles. De grandes haies et fleurs sont visibles de chez moi. Le soir un réverbère éclair toute la pièce donc, ça nous évite de trop alumer la lumière. Par la fenêtre je vois les gens rentrer et sortir de chez eux. Dans les arbres il y a un nid d'oiseaux. Je les vois parfois dans leur nid. En baissant les yeux je peut regarder mes voisins qui on la chance d'avoir un jardin. Du salon je peut voir l'hôpital Mignot. Tout les matins quand je vais dans le salon je vois, comme moi, des élèves aller au collège. Et puis de cette fenètre je me dis que j'ai une grande vue de ma résidence avant de retourner sur mon canapé.
Par Pauline le 18 novembre 2008, 13:42
Quand je me mets à la fenêtre de ma chambre, je vois devant moi : mon balcon orné de très belles fleurs puis plus loin, nous pouvons voir un arbre qui perd ses feuilles et quand nous suivons celles-ci jusqu'en bas, il y a des feuilles de toutes les tailles petites, grandes, et de toutes les couleurs, jaunes, marrons, rouges, et parfois vertes. Sur la gauche, il y a les balcons de mes voisins et l'école GUINEMER, l'avenue DUTARTRE, des routes, des parkings. Nous pouvons aussi distinguer Parly 2. Tout en bas il y a aussi quelques personnes qui passent. Sur la droite il y a mon square, des fleurs, des amoureux et des tas d'autres personnes, seules ou à plusieurs. L'école les mercredis matin est très calme par rapport aux lundis ou aux vendredis où les enfants sortent dans la cour pour jouer aux billes ou à la marrelle. A la sortie des classes les parents attendent leur enfants. Et le lendemain matin, ils les emmenent pour une nouvelle journée avec leur maîtresse ou leur maître. Les immeubles de ma résidance sont très grands et très fleuris pendant le printemps. Il y a aussi sur la droite un sapin et pendent Noël, il est orné de guirlandes multicolores. Le matin il y a de la buée sur ma fenêtre de chambre donc je l'essuie et je regarde la brume du petit matin, les voitures sont blanches à cause du gel.
Par Maelle le 18 novembre 2008, 13:38
Un jour de novembre grisâtre, je regarde par ma fenêtre et voici ce que je vois, que je vous décrirai de gauche à droite, comme un livre:
D'abord laissez-moi vous décrire l'arrière-plan de ce tableau qui est ma vue, c'est-à-dire l'immeuble et le jardin de mes voisins : on voit tout d'abord l'immeuble de briques rouges, immense bâtisse à fenêtres construite par les Hommes et entourée de haies. Le sol, lui, est jonché pour la plupart de feuilles qui, se mêlant à l'herbe, forment un tapis de verdure morte. Il y a également trois arbres (je vous les décrirai de droite à gauche et du plus petit au plus grand): tout d'abord, un prunier qui, s'étendant en largeur, nous donnait parfois de ses fruits; ensuite, un beau saule-pleureur, qui n'a pas fini de se lamenter en ce jour triste et gris; et enfin, un arbre dont je ne me souviens plus le nom, mais en tout cas, c'est le plus grand des trois.
Maintenant je vais vous décrire l'avant-plan, c'est-à-dire une partie de mon jardin: Mais avant, ce qui sépare l'avant-plan de l'arrière-plan est une simple grille par laquelle on peut se voir, par laquelle on peut s'entendre.
A gauche, un petit arbre qui a survécu il y a plusieurs années à une grande tempête: c'est également l'arbre que je préfère dans le jardin. Plus à droite il y a une petite maison à oiseau surmonté d'un petit "présentoir", en dessous, une petite maison en pierre, à côté un bac circulaire en pierre avec des pensées. Au milieu un laurier et au dessus de celui-ci un noisetier ayant perdu la moitié de ses feuilles. Un peu plus à droite, se trouve une table en bois parsemée de quelques feuilles. Et enfin à droite un cabanon pour ranger les vélos, et, suspendu à l'unique fenêtre un bac avec des fleurs. Le tout accompagné de la douce musique que chante un oiseau inconnu.
Par Adrien le 18 novembre 2008, 13:23 - Deuxième proposition : les fenêtres
De cette fenêtre, je vois, juste devant moi, une terrasse. Sur cette
terrasse est placé une table autour de laquelle sont disposées des
chaises. A gauche, il y a une autre fenêtre au-dessus de laquelle est
accroché un store. Sur le même mur que la fenêtre, est fixée,
devant une goutière, une lampe. Au bout de cette première terrasse,
derrière une bande d'herbe, il y a une seconde terrasse mais celle-ci est
surélevée. Une planche permet de passer d'une terrasse à l'autre. Au bord de cette seconde terrasse sont disposées des plantes. Une autre plante s'accroche à la grille marquant le bout de la terrasse. Dans l'angle un petit lampadère domine sur les deux terrasse. A droite un arbre cache un peu les imposants immeubles disposés derrière ce jardin.
17 novembre 2008
Par M. Simonot le 17 novembre 2008, 16:35 - Ecrire la ville
une annexe
Par M. Simonot le 17 novembre 2008, 16:20 - Ecrire la ville
Choisissez un lieu familier, intime, un lieu où vous vous sentez bien, la pièce de votre appartement ou de votre maison que vous préférez. Installez-vous confortablement. Tournez votre regard vers la fenêtre et décrivez ce que vous voyez.
Attention vous ne devez décrire que ce qui est découpé par le cadre de la fenêtre.
A vos plumes. Je dois avoir l'impression que je suis avec vous dans la pièce. Travaillez les détails.
10 novembre 2008
Par Noémie le 10 novembre 2008, 19:26 - Ecrire la ville
Colchester . Cette ville ne vous évoque strictement rien, pourtant pour moi, elle a représenté d'abord l'excitation ,la tristesse ,pendant un temps beaucoup plus long que les autres ,et ,enfin ,un soupçon de regret.Quand j'en parle on me répond "Ah oui ,Manchester " .Je sais que la personne n'y met pas de mauvaise volonté et est persuadée que j'ai mal prononcé ,mais non ,ce n'est pas ça. .
Dans cette petite ville ,là-bas ,aux tréfonds de l'Essex ,à environ quatre-vingt kilomètres de Londres ,il y a une université ."University Of Essex" ,indiquait le panneau fixé au- dessus du stand où nous sommes allés ,pleins d'enthousiasme ,le trente septembre deux mille six .Je ne savais pas ce qui m'attendais, toute la douleur que cette ville allait m'inspirer .Le lendemain de l'inscription est arrivé le moment de la déchirure .Je devais laisser ma sœur là ,en Angleterre ,en faisant comme si tout allait bien .Mais tout n'allait pas bien ,je ne pouvais pas faire semblant .Alors sur le bateau qui me ramenait vers la France, j'ai rempli la Manche de larmes.
Plus tard pendant les quelques visites que nous avons rendues à ma sœur ,les boutiques comme "Le Royaume du Penny" ou bien "Build a Bear Workshop" ,m'inspiraient une sorte de crainte .La crainte du moment où je devrais quitter ces petits commerces pour retourner là où je n'avais pas ,mais alors pas du tout ,envie de retourner : sur le campus .Les belles pelouses vertes ,l'amphithéâtre aux allures de boîte de conserve et les "Souths Courts " ou les "Quays" ,les logements des étudiants ne faisaient que retarder le moment fatal . J'ai aimé au début me promener dans la grand rue ,le soir ,en sortant d'un restaurant ,regarder les vitrines éclairées et pourtant ,je ne souhaite pas y retourner ,ou alors ,en touriste .Je ne veux pas avoir à revivre les moments douloureux que j'y ai vécu ,jamais .