03 décembre 2008

La classe de français

Je regarde part la fenêtre et j'aperçois un magnifique tableau,il reflète la population d'aujourd'hui, je me l'approprie . 

On y trouve toutes sortes d'arbres, d'habitude, ils sont riches de santé , ils ont chacun leurs couleurs, rouge pour l'amour , orange pour le rire, jaune pour la beauté. Mais l'hiver, leurs feuilles cramoisies tombent peu à peu sûr le sol et ils deviennent squelettes . Ils sont nus, vides, creux, tristes (accorde l'adjectif qualificatif), le vent les effleure doucement. Cependant, il peut (verbe pouvoir) les attaquer à tout moment , mais ils résistent, ces beaux arbres face à ce froid, cette brutalité .

 A côté , un grand terrain de sport, vide lui aussi, personne n'y vient alors qu'on peut y trouver un divertissement .

Tout au bout de mon tableau, des immeubles à l'horizon. Ils sont gris, sans vie, mais ce qui me réjouie (conjugaison), c'est cette grande église au loin, on entend ses cloches qui se rapproche de nous au fil des secondes. Il y a aussi cette grue immense, sûrement  pour construire, encore, un immeuble. Les hommes détruisent la nature pour le bon plaisir , ils me font honte.

Pourtant, plus je regarde cette grue , plus elle me fait penser à un voilier qui flotterait  dans les air . Elle n' est peut être pas ci cruelle .

Tout prés de moi un parking, trempé par la pluie avec ces voitures remplies de couleurs.  Elles  ont l'air confortable, mais chaque jour elles polluent  notre planète et cela me fais changer d'avis , elles ne me plaisent plus .

                                                    FIN

02 décembre 2008

Guide des plus belles choses de Paris et Vincennes à ABSOLUMENT avoir chez soi

La visite sera organisée de Vincennes au parc du Champs de Mars.

A l'endroit où vous êtes dans l'avenue de Paris (N 34), vous pouvez voir un joli panneau ATTENTION car il faut faire ATTENTION à ne pas griller le feu rouge ( qui est maintenant passé au vert). Il y a aussi un restaurant appelé "Étoile Hong Kong". Remontons l'avenue de Paris. Ah oui, il y a également les remparts du château de Vincennes, mais cela est sans importance comparé au magnifique panneau ATTENTION.                             

Avancez jusqu'au croisement avec le cours des Maréchaux. Là nous pouvons voir des magnifiques oeuvres d'art dessinées à même le sol : deux passages piétons. Après avoir parcouru la cour des Maréchaux, continuez sur l'avenue des Minimes et terminez avec la route de la Tournelle et l'avenue Foch, vous repasserez sur l'avenue de Paris : vous avez dû faire un détour car vous étiez dans le mauvais sens mais cela vous a permis de passer par le bois de Vincennes où je voulais vous montrer quelque chose : ... des arbres!

Mais revenons à notre visite. Avancez tout droit jusqu'à la place de la Nation et ensuite prenez le boulevard Diderot où nous pouvons voir deux personnes qui traversent illégalement la route car elles ne prennent pas la sublime oeuvre d'art qu'est le passage piéton. A la fin de ce boulevard, passez par le quai de la Rapée qui vous conduira au pont d'Austerlitz. Alors attention, si vous êtes très mauvais conducteur, à ne pas tomber dans la Seine par mégarde. Vous arriverez au Jardin des Plantes où nous pouvons admirer...des plantes (logique). Ensuite prenez le boulevard de l'hôpital qui est à côté, non pas d'un hôpital, mais d'un Groupe Hospitalier! Coupez par le boulevard Saint-Marcel et recoupez par un autre boulevard s'appelant le boulevard de Port-Royal. Ensuite continuez tout droit jusqu'au croisement avec l'avenue de Tourneville. Empruntez celle-ci et vous arriverez au Champs de Mars.

Et dans ce magnifique parc, vous pourrez voir des passages piétons, des voitures, des arbres, des bassins, etc... Et puis il y a aussi une sorte de tour triangulaire faite en métal, assez laide et très grande dont je ne connais pas le nom mais qui doit être sans grande importance.

                                                                         Bonne et agréable visite!!!

Visite de Lille grâce à Google Maps

Aujourd'hui, en ce temps grisâtre.... comme d'habitude !!! Eh oui, nous sommes dans le ch'Nord !!! Nous nous trouvons  sur cette grande place du Général de Gaulle, prêts à commencer notre visite.  Dès que tous les passagers s'installent dans le véhicule, nous disons au revoir à cette grande place où étaient installés un petit marché et quelques bistrots qui attiraient les passants. Puis nous débouchons, dans la Rue Nationale qui est déjà décorée d'illuminations de Noël. Nous tournons à droite dans la rue de l'Hôpital Militaire où je remarque une imposante église, puis à une cinquantaine de mètres plus loin, je me dirige dans la rue nommée Jean Sans Peur. J'arrive à lire : "Préfecture du Nord", près d'un bâtiment entouré d'une petite cour  et aussi près de deux drapeaux ( l'un qui représente la France et l'autre l'Europe). Ainsi, je continue ma petite visite guidée en me dirigeant vers le Boulevard de la Liberté, apercevant au loin, ma destination finale  : elle est entourée à sa droite d'une grande place où trône une belle fontaine cachée par des jardins et de grands arbres, à sa gauche, on aperçoit un plus petit parc fleuri. Au centre, siège la grande statue en bronze d'un beau cheval monté par un Général tenant une épée de sa main droite. Plus bas, sont représentées deux femmes  ( l'une assise et l'autre debout) vêtues de longues robes.

Et c'est ainsi que se termine cette petite virée dans Lille !

                                                             

 

30 novembre 2008

Fenêtres


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  http://www.photo-libre.fr/villes/

27 novembre 2008

Visites virtuelles

Grâce au site google maps, vous pouvez vous connecter sur google streets et visiter cinq grandes villes françaises. Lise, Maelle, Elsa, Adrien L et Adrien G, Barthélémy jouent pour nous les guides et nous font découvrir ces villes à travers leur points de vue. 

visite virtuelle : les mappemondes

Connectez-vous sur le site de la BNF en cliquant ici.

Choisissez la rubrique "la terre au moyen-âge".

23 novembre 2008

Première neige

J'étais assise à mon bureau, en train de faire mes devoirs, comme tous les dimanches quand ma sœur est entrée dans ma chambre, un sourire aux lèvres. "Il neige", m'a-t-elle dit .En effet, je n'avais pas relevé la tête depuis vingt bonnes minutes, je ne pouvais donc pas avoir vu les flocons blancs tourbillonner, prisonniers du vent qui soufflait et leur faisait faire des tours et des tours, comme un manège aux chevaux minuscules et irréels.

Nous ne sommes qu'au mois de Novembre et il neige. Quelques passants surpris se hâtent de rentrer chez eux, la main devant le visage, se protégeant du vent, du froid et des flocons. Ils courent presque, impatients de se blottir chez eux, qui sait, peut-être près d'une fenêtre d'où ils pourraient observer cette tombée miraculeuse.

Les spécialistes étaient si pessimistes, ils disaient que la neige ne tomberait plus par ici ; on était tous résigné à ne voir ces doux flocons qu'en rêve inaccessible. Et pourtant, je les vois bien continuer à virevolter dans le vent. J'aimerais tellement qu'ils tiennent, pouvoir enfoncer mes bottes dans cette couche de matière blanche et molle, pourquoi pas m'asseoir dedans et observer la torpeur dans laquelle la ville est plongée, attendant et redoutant la fin de de cette tombée inespérée. Mais déjà ,ils rapetissent, le vent faiblit, leur danse se fait moins entraînante. Mais la ville n'en reste pas moins silencieuse, mis à part le bruit des moteurs qui continuent à sillonner le quartier, imperturbables.

Tout défile comme au ralenti. Seule la neige à une vitesse normale, comme le pianotement des touches sur le clavier.

Cela n'a duré qu'un instant. Les flocons tombent, presque invisibles, si on les gomme de l'image, la ville paraît normale.

Mais c'est la première neige de l'année .

19 novembre 2008

Par ma fenêtre ..............

Par ma fenêtre, je peux encore entrevoir cette brume légère qui couvre les jardins. Au loin, j'observe des arbres élancés qui perdent petit à petit leur beauté, des oiseaux qui s'envolent dans des pays plus chauds, des traces blanches laissées dans le ciel par de nombreux engins volants, des bâtiments imposants.... Au coin de ma fenêtre, j'aime beaucoup regarder ce sol pleureur à l'air mélancolique et mes petits voisins qui jouent dans le jardin et qui me redonnent un peu de joie de vivre à cette saison.

Installée dans mon petit fauteuil moelleux, de l'autre côté de la route et des bruits assourdissants, je contemple la magie de la nature : ces changements de saisons qui me font toujours rêver .... Ces roses fânées, ces arbres dénudées, ce froid glacial et ces derniers rayons de soleil marquent cette nouvelle période qui s'appelle l'HIVER.

Lorsque je me reflète dans la baie vitrée de mon voisin qui habite dans une grande bâtisse juste en face de chez moi, je constate alors, que nous, les êtres humains, si petits, nous ne sommes RIEN par rapport à ce vaste univers même si nous avons la chance de profiter des biens de la nature, nous ne faisons que la déformer, l'arracher de ses racines.....

Et c'est ainsi, régulièrement, j'observe dans l'encadrement de ma fenêtre ce paysage, et j'admire les saisons qui défilent au fur et à mesure devant mes yeux....... 

                                                                       Elsa  

 

18 novembre 2008

Un quartier s'éveille dans un film d'Hitchcock

Un chat grimpe, miaule.Les oiseaux volent, les gens s'affairent comme tous les matins : certains se hâtent, d'autres se rasent ou continuent à dormir. La nuit a été chaude : un couple se réveille sur un balcon comme c'est étrange... Une femme s'habille tout en préparant son petit déjeuner et en s'échauffant. Au loin,on entend des écoliers, le quartier s'éveille. Puis un homme,en fauteuil roulant,avec un plâtre sur lequel est écrit "Ci-gît la jambe cassé de Lb Jefferie", des gouttes de sueur dégoulinent sur son visage. Soudain, on voit un objet cassé,des photos de courses de voitures, d'explosion puis le portrait d'une femme souriante qu'on distingue à peine, on la reconnaît sur la couverture d'un magasine.Qui est-elle?

  

Par ma fenêtre

Quand je suis dans mon salon, je me sens bien et dès que je regarde par la fenêtre, je me sens encore mieux. Dehors, je distingue les balcons de mes amis Yoan et Julien. Il arrive parfois que l'on se fasse un petit coucou amical. Je peux apercevoir la plupart des appartements de ma résidence car celle-ci est en arc de cercle. Par ma fenêtre, je peux regarder celle de mon voisin où je vois parfois le museau de son chien qui lui aussi apparemment profite de la vue. J'observe également la porte qui conduit à mon garage. Par dessus celui-ci, il y a un petit terrain recouvert d'herbe avec quelques arbres où les enfants de la résidence aiment s'amuser lorsqu'il fait beau. Après, on peut entrevoir une route où circulent des voitures qui effectuent des va-et-vient. Au loin, je conptemple des petites lumières de lampadaires qui scintillent. Elles me font penser à des étoiles. Voilà, cette vue me remonte le moral quand je vais mal, mais là je vais bien.

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