Rédaction de fabliaux!

Les élèves de 5e3 ont rédigé des fabliaux portant sur un quiproquo. Très bonnes lectures à tous et à toutes!

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04 janvier 2015

La bataille du pot de vin par Yanis et Dorian

La bataille du pot de vin

Messires,je vais vous raconter une bataille qui ne se termine pas comme prévu.

Il existait une cité appelée «Hyrule» la paix y régnait. Un roi appelé Thibault 1er était maladroit et bête. Le commandant en armée se nommait Vivien il était vaillant et courageux, mais ne possédait pas beaucoup d'argent.

Un jour,un messager arriva dans la cité et lut le message: «Sire Thibault 1er on m'a envoyé ici pour vous dire que vous allez être assiégé par Patrick 1er!»Le chevalier demanda au roi: «comment allons nous nous défendre?»

Le roi protesta alors: «préparez vos hommes pour la guerre!» le chevalier répondit: «Sire je n'ai pas assez d'argent pour préparer mes hommes je ne peux pas leurs donner des boucliers et des armes, pouvez- vous m'offrir un gros pot de vin?» «Cher chevalier tu m'as tellement servi ces dernières années avec ces nombreuses victoires que je me dois de t'accorder ce pot de vin. Attendez-moi aux portes du château avec vos soldats et je vous y ammènerai un gros pot de vin». Le chevalier se prépara avec ses hommes et le roi revint avec...DES TONNEAUX DE VIN! Le chevalier embêté fut mécontent et poussa les tonneaux d'un gros coup de pied violent vers l'armée ennemie. Les seules troupes étant les archers la défaite était proche.

Après une idée, le chevalier cria alors « enflammez vos flèches! » Les archers obéirent et bientôt une vague de flèches s'abatit sur l'ennemi dont aussi sur  les tonneaux qui eux s'enflammèrent. Une grosse barrière de feu repoussa l'ennemi. C'était la victoire!

Pour cette belle victoire le chevalier reçut une grosse prime d'argent et il devint très riche.

La belle vie de cette cité continua ainsi. Le chevalier étant riche le château était bien équipé pour défendre à présent.

Cette histoire Messires, vous le montre encore, les erreurs de quelqu'un peuvent finalement apporter de l'aide aux autres.

FIN

Le vilain par Maude, Capucine et Kateline

C'est l'histoire d'un jeune homme nommé Quentin au physique peu avantageux qui aimait une jeune fille qui s'appelait Léna au physique de rêve.

Un jour Léna sut que Quentin l'aimait .

Alors il alla à la rencontre de Léna et lui proposa un rendez-vous pour se promener et faire plus ample connaissance .

Léna accepta ce rendez-vous.

Quentin lui proposa de venir le lendemain à la même heure à côté du puits de la mort sur la roche bleu

Léna se prépara pour son plan maléfique car elle n'apprécie pas Quentin et ne veut surtout pas faire sa connaissance , le village ne le supporte pas et veut qu'il disparaisse .

Léna alla au rendez-vous comme convenu , Quentin était tout bien habillé, il avait préparé un déjeuner .

Quentin était en train de préparer la nappe rouge aux reliures blanches quand soudain Léna fit semblant de vouloir sauter dans le puits de la mort .

Quentin n’étant pas d'accord lui portas secours Léna se tourna et le poussa Quentin se tient sur le bord du puis et cria « aide moi » .

Léna tandis son pied lui écrasa les mains, il disparut de la terre.

Léna alla au village et le dit à tout le monde elle cria « Le vilain est mort il est mort !!!!!!!!! ».

Tout le monde sauta de joie sauf que Léna ne savait pas qu'il était tombé dans le puits sans fin qui bien sûr se termine au milieu de la forêt .

Quentin tomba dans un nid de faucon dans la foret .

Il décida de se venger de Léna et de tout le village .

Il se rendit au village en étant le plus discret,il se faufila chez lui , il repéras son père en train de pleuré « mon fils, il est mort elle la tué» .

Quentin apparut et dit à son père « Papa je ne suis pas mort , elle m'a poussé dans le puits sans fin » .

Quentin alla à la maisonnette de Léna , avec un couteau dans la main il vit Lena dans son bain elle dit « Quentin tu n’es pas mort ??? » il répondit « Non maintenant fait ta dernière prière » et la tua .

Messire voici la morale de ce fabliau, Ne jamais vouloir se débarrasser de quelqu'un qu'on ne connaît pas car il pourrait nous tomber dessus.

Erreur de justice par Nassim et Alexis

Erreur de justice

Mesdames et Messires, ceci est l'histoire d'un crime réel.

Un soir de pleine lune, le fils du roi de France se fait agresser sous le choc le fils du roi va raconter ça à son père mais son père ne comprend rien à ce qu'il dit. Le fils du roi n'arrive pas à parler sous le choc il dit :

-Père je je me s suis f fais agresser.

Son père ne comprend à ce qu'il dit car il a du mal à parler .

Le fils prénommé Germain écrit sur une feuille :

-Écris père je suis sous le choc car un agresseur m'a agressé.

Le père se dit dans sa tête peut-être que c'est l'agresseur de Paris.

-Le fils dit : «  je crois père. »

L'agresseur un peu paysan a dû savoir que la personne qu'il a agressée était le fils du roi il lui a demandé de l'argent Germain le connaissant a dit « C'est Toi » ? 

- « Oui c'est moi »,quand Germain alla raconter ça à son père il sut tout de suite que c'était le célèbre tueur en série de Paris. Le roi envoya des gardes chez l'agresseur de Germain. Ils arrêtent Toi, et l’emmène à la cour de justice du roi le prêtre rend son verdict, et dit :

-C'est Toi montrant du doigt le roi (Le prêtre un peu déboussolé).

-Le roi dit « Quoi moi pourquoi aurais-je agressé mon fils ?!! »

Germain intervient et dit :

- « Non non pas toi père mais l'agresseur s’appelle«  Toi ».

Toi dit en chuchotant dans l'oreille de Germain si je vais en prison sache le que dès que je ressortirai je m'en prendrai a Toi.

Mieux vaux la ruse que la force...


L'abus du Saint Esprit par Manon, Meleiny et Thomas

L'abus Du Saint Esprit

Ceci n'est pas un conte ni une fable, Messires, c'est une histoire vraie, toute vraie. Figurez-vous qu'un jour, en passant près de la place du village, je voyais Phou, Ryen, Perçaune, trois curés, frères du même âge, soutirant des galettes de pain noir aux paysans infortunés. L'un des curés mangeait sa galette et rentrait dans une auberge. Jacquet, l'aubergiste, les accueilli gentiment, mais les curés profitaient de leur pouvoir pour lui demander de l'argent sinon Dieu le punirait. Jacquet n'est pas dupe et refusait. Surpris, ils revenaient au marché. Les curés, bien décidés à le faire changer d'avis, se réunissait près de la fontaine.

Soudain, Perçaune, s'étouffe et tombe dans la fontaine. Ses frères affolés, se concertent et ils décident que Ryen reste ici pendant que Phou va chercher de l'aide. Phou est bien décidé a sauver son frère et demande au forgeron de venir

le sauver de la noyade. Mais le forgeron n'est pas content et lui répondit non parce qu'il connait bien les frères et il pense qu'il veut lui soutirer de l'argent. Il s'en va et part voir le fermier : “ Monsieur, je suis Phou, je vous préviens pour Ryen car Perçaune se noie. ” , le paysan, tout confus, lui répond : “ Non, pourquoi j'aiderai un fou. ”

Et cette scène se répète jusqu'au moment où il ne reste plus que une seule personne au village … C'est Jacquet !

Il lui demande s'il peut venir sauver son frère. “ Oui, mais … Vous devez rendre toutes les choses que vous avez volé ! ” Phou a du mal à accepter, mais dit que c'est d'accord. Jacquet se rend à la fontaine en compagnie de Phou. Jacquet plonge et ramène Perçaune à la surface. Après cela, les trois curés restaurent la paix au sein du village.

Le pouvoir fait perdre la tête à plus d'un … C'est à dire trois !

Histoire créée et écrite par :

Manon, Meleiny, Thomas

fin

Les chandelles de Lilie et Aleena

LES CHANDELLES

 

 

Messires, Mesdames, Mesdemoiselles, je vais vous raconter l'histoire de deux bourgeois qui avaient peur du noir.

 

Les deux bourgeois, un père et son fils, habitaient une coquette maison couverte de chandelles car ils avaient besoin de beaucoup de lumière. A coté d'eux vivait un riche duc qui était très avare.

 

Un jour, les deux bourgeois n'eurent plus d'argent car les chandelles coûtaient chères. Ils décidèrent de voler les chandelles du duc : ils pensaient qu'il n'était pas protégé car il était avare. Mais les bougies se trouvaient dans la chambre de ce riche homme et comme ils allaient dans cette pièce, le sir les entendit et appela un chevalier, M. Burôt, pour se protéger. Seulement, ce chevalier était un poltron et lorsqu'il vit le père, il sursauta et fit tomber son épée. Comme il faisait noir, il s'agenouilla et chercha à cette épée. Le bourgeois avait oublié son sac dans sa maison. Il demanda à son fils de mettre les chandelles sur le bureau en attendant qu'il revienne. A ce moment, le duc trouva l'épée à ses pied et susurra : « Eh M. Burôt, je l'ai trouvée ! » L'enfant ayant comprit que le duc avait retrouvé son bureau, se dirigea vers le chevalier et lui posa les chandelles sur son dos. M. Burôt sentit un poids sur son dos, se releva et aperçut les chandelles. Il les alluma, et avec cette lumière, le duc put arrêter le fils et le père qui venaient d'arriver. M. Burôt devint alors un grand chevalier et les deux bourgeois allèrent en prison.

 

Ainsi se termine mon fabliau, Messire. Par cette aventure, je vous le montre une fois de plus : il ne faut mieux pas avoir peur du noir.

 

FIN

Double Face de Lamya et Imane

Double face

Messires , je vais vous conter une histoire vraie toute vraie .

C'est l'histoire d'une jeune femme qui se nomme Mathilde Lenotre possédant une missive du roi ayant beaucoup de valeur elle est médecin .

Une nuit elle invita son ami d'enfance , Germain Cestlamienne . Elle alla dans la cuisine

Elle prépara une viande en pâté pendant ce temps-là , Germain se permit de fouiller dans le sac de Mathilde pour dérober sa missive.

Le matin Mathilde se leva se prépara pour aller travailler . Elle s'habilla ( assez classe ) car aujourd'hui elle avait un rendez-vous avec le roi , donc elle avait besoin de sa lettre

Mais elle ne trouva pas sa missive qui lui permit d’aller voir le roi. Elle était persuadée que Germain le lui avait volé.

Elle alla voir la justice .

Elle cria << S’il vous plaît , on m'a volé ma missive et je croit savoir qui-est-ce ! >>

Le collègue de justice répond : << Venez ici ! Qui-est-ce dite nous ! ? >>

Mathilde répond : << Eh bien , c'est Germain Cestlamienne >>

Le collègue de justice répond : << Oui , je sais que c'est votre missive mais c'est Germain qui ?

Mathilde répond : << GER-MAIN CEST-LA-MIENNE !

Le collègue de justice répond : << C'est son nom de famille ? Alors je note ! >>

Il appela Vivien son autre collègue pour aller à la recherche de Germain a son domicile.

Il l'attrapa. Il donna la missive de Mathilde , il sera donc condamné à deux mois de prison. Puis elle alla au rendez-vous avec le roi avec quarante-cinq minutes de retard un peu près la moitié du rendez-vous.....

Deux mois plus tard Germain était déjà sorti de prison.

Germain partit voir Mathilde .

La discutions s’entama.

Germain parla le premier : << Excusez-moi Mathilde de vous avoir voler votre lettre je vous présente mes excuses  >> .

Mathilde répondit : << J’accepte vos excuses mais je ne suis pas prêt de redevenir votre bonne ami d'enfance comme à l'époque >> …


Un ans plus tard , plus aucun contact entre eux , plus une lettre rien , chacun fait sa vie de son coté...


Ainsi se termine notre fabliau , Messire j'ai eu l'honneur de vous présenter mon quiproquo.


La pauvreté fait perdre la tête à plus d'un.

FIN DE L'HISTOIRE


Jeanbon de Jules et Romain

Jeanbon

 

Gentes dames et gentes damoiseaux je vais vous conter une histoire vraie car je n'ai nul besoin de mentir.

 

Il y avait jadis deux fermiers nommés Jean et Gisèle Bon. M.jean bon n'avait pas un nom très commun. Ils menaient une vie paisible loin de la ville dans le calme et la tranquillité. Jean s'occupait des animaux de l'étable et Gisèle de l'agriculture. Elle était craintive. Ils vivaient de ce qu'ils cultivaient.

Un jour un collecteur d'impôts vint troubler leur vie paisible. Il leur demanda de l'argent. Le mari se hâta d'aller chercher le peu d'argent qu'ils avaient qui se trouvait dans la cuisine. Le collecteur d'impôts s'adressa à la femme :

«  J'aimerai goûter une cuisse de votre jambon qui se trouve dans la cuisine et j'en donnerai bien au seigneur». La femme toute affolée va chercher son mari en croyant que le collecteur d'impôts veut le manger :

- « Mon cher, le collecteur d'impôts n'est pas venu chercher l'argent il est venu pour te goûter et pour te donner en festin au seigneur ». Le mari alla chercher sa faux et dit à sa femme :

- « Va le distraire pendant que j'aiguise ma faux ». La femme lui dit que son mari va chercher l'argent. Le mari arrive avec sa faux, le collecteur d'impôts se mit à courir et le mari se lança à sa poursuite :

- « Vous ne me mangerez pas sauf en enfer »cria le mari. Puis le collecteur d'impôts s’engouffra dans la forêt. Le mari rebroussa chemin et se demanda si le collecteur d'impôts voulait le manger, et rentra chez lui heureux de n'avoir donné aucun sous à ce misérable cannibale. Au bout de deux jours le collecteur d'impôts revint les voir pour leur dire qu’il ne voulait pas le manger mais qu'il voulait juste un morceau de jambon. Les deux paysans le remercièrent de son explication et ils retrouvèrent une vie paisible et reprirent leurs occupations.

 

Cette histoire vous explique qu'il vaut mieux réfléchir avant d'agir. J'ai terminé mon histoire.

La langue au chat d'Emin et Wallène

La langue au chat

 

Messires, je vais vous raconter une histoire vraie toute vraie.

 

C'est l'histoire d’une vieille femme qui avait caché quelque chose. Le curé voulait savoir où était la chose, mais la vieille femme ne voulait pas lui dire.

- «Pourquoi vous ne voulez pas me le dire? Dit le curé.

-Cherchez! Dit la vieille femme.

-Bon donnez votre langue au chat!

-Donnez ma langue au chat?

-évidemment

 

La vieille femme avait peur de donner sa langue au chat, elle dit au curé:

-«Non monsieur curé! Ça ne va pas!

-Mais voyons donnez votre langue au chat!

-Non je n’aurai plus de langue!

-Mais madame vous ne comprenez donc pas, ne donnez pas vraiment votre langue, dites où est la cachette!

-Non je ne donne pas ma langue au chat! Allez la donner vous- même.

-Madame oubliez cette idée de donner votre langue au chat. Dites-moi où est la cachette, c'est tout ce que je veux.

-Ah... J'ai cru que je devais donner vraiment ma langue. La cachette est dans le placard.»

 

Messires, ne jamais confondre les expressions pour du vrai.

 

Les deux voleurs par Elisa A. et Elisa H.

LES DEUX VOLEURS

 

Messires , je vais vous conter l' histoire des deux voleurs …

Les deux voleurs étaient nommés Dorian et Bertrand, ils erraient dans la rue car ils n’avaient pas de maison. Ils étaient pauvres mais depuis qu’ils ont décidé de voler, ça a changé…

Un jour, ils décidèrent d'aller voler des bijoux au marché pour les revendre! Mais à ce moment, les chevaliers arrivèrent pour les arrêter!

Alors , ils coururent le plus vite possible pour ne pas se faire prendre par les chevaliers, mais Bertrand ne courait pas assez vite, alors Dorian dit : « Prends tes jambes à ton cou! »

Et là, Bertrand prit vraiment ses jambes à son cou, alors il tomba! Dorian le laissa tomber et continua sa course. Ensuite, il alla se cacher et Bertrand réussi à se relever, à échapper aux chevaliers et alla aussi se cacher dans une autre cachette ! Puis le bijoutier appela le chef des chevaliers qui s’appelait « Tuvien » et en entendant ça, Bertrand crut que c’était Dorian qui l’appelait et alla vers le son de la voix.

Bertrand ne vit pas Dorian, mais il vit les chevaliers et il comprit qu'il s' était trompé, alors Dorian vit son ami se faire prendre. Énervé, il alla à son secours et se fit prendre à son tour !

 

Les deux voleurs eurent une bonne leçon car ils se firent couper la

tête.

 

Ainsi se termine mon histoire, Messires, j' espère que vous l' aurez

comprise.

 

Il ne faut jamais voler car il y aura toujours des conséquences grave ou

pas !!!

FIN

 

Dubois de Benjamin et Alban

Dubois

 

Oyé oyé gentes dames et gents damoiseaux. Aujourd'hui je vais vous raconter l'histoire de « Dubois » .Attention l'histoire va commencer.

 

L'histoire commence dans un petit village dans la Province française , deux chevaliers étaient avec leur seigneur.

«Hier, dit le roi, nous avons perdu, lors d'une chasse a courre, Dubois, dans la forêt.

-Messire vous voulez qu'on le retrouve?

-Oui , je vous en charge personnellement.»

Plus tard les deux chevaliers étaient à la lisière de la forêt.

«Alors Thibault, si j'ai bien compris nous devons récupéré du bois dans la forêt. Ça paraÏt surprenant pour des chevaliers comme nous tout de même.

-Ne vous inquiétez donc point Fulbert. Cherchez par terre, il doit y être.

-Vos indications ne m'aident point beaucoup Thibault.

-Mais si, vous allez voir, ça va être facile

-Bon alors on se sépare ou point ?

-Oui, Fulbert, mon ami, on se sépare on le trouvera plus vite.

Et les deux amis allèrent dans la forêt.

 

Attendez, Messires ne partez donc point, l'histoire n'est point terminée. Bon je reprends.

 

Fulbert cherchait et cherchait juste qu'au moment où il entendit :

«DUBOIS, DUBOIS!!!

-Tibault, c'est vous?

-OUI OUI. C'EST MOI. »

Fulbert parle tout seul.

«Mais il est devenu complètement fou. Il doit être possédé par le démon. Il faut que je parle à Messire Godefroid, notre prêtre.

Après être sorti de la forêt Messire Fulbert se dirigea vers l’église.

 

«bonjour, messire Godefroid, mon ami a été ensorcelé par Satan.

-Mon dieu, je vous aiderai si vous me donnez un pot de vin. Dieu vous remerciera mon ami »

Puis messire Fulbert sortit de l’église et se dirigea vers « l'auberge du bois »

 

Le destin joue avec lui. Bon je continue l'histoire.

 

« UN POT DE VIN AUBERGITE »

-je n'ai point de raison de vous donner un pot de vin messire.

-mais si donne-moi ce verre de vin tout de suite sinon je te mets sur le bûcher.

-D'accord je vous le donne je croyais que vous me disiez autre chose au revoir messire. »

Et messire Fulbert partit de l'auberge avec un verre de vin et se dirigea vers l'église.

« voilà,messire, dieu sera content j'espère.

-Euh ce n'est point ce que je vous ai demandé.

-Quoi ?

Et à ce moment-là Fulbert vit Thibault sortir de la forêt avec un homme .Il sortit et il alla voir son ami.

« Que fais-tu Thibault

-Je ramène Dubois au château.

-mais c'est un homme Thibault.

-oui Fulber c'est Dubois pourquoi ?

-mais vous me faites DEVENIR FOU complètement fou, d’abord le curé cet imbécile d’aubergiste et ce fameux Dubois et toi Thibault !!!

C'est UN complot contre moi.

Et messire Fulbert courut dans la forêt et il se prit une branche et tomba la tête la première sur une racine . Son ami le retrouva le lendemain matin et il fut brûlé au bûcher car selon le curé il était possédé par Satan.

 

Attention messires il vaut mieux rester calme et comprendre ce qui vous arrive plutôt que de s'énerver au risque de devenir fou.

 

Merci de m'avoir écouté messeigneurs l'histoire est terminée et ne devenez pas fous, au revoir.

 

 

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