08 novembre 2015

Bourges vs Paysannes

   Bourges VS Paysannes

 

Messieurs, Dames je vais vous conter une histoire, je vous garantis que c'est vrai .

 

Je vous présente une famille de trois enfants :

Jean-Michel l'aîné est le plus hypocrite de la famille et je peux vous assurer qu'il en détient le record. Arrive ensuite Jean-Jacques le cadet le plus lassé de tout. S'il vous arrive un jour de lui parler  vous vous rendrez compte qu'il est insupportable. Enfin voilà  Jean-Eudes le benjamin le plus naïf  car c'est le plus jeune fils de bourges. Leur plat préféré est la soupe au lard car il est important de le préciser. Leur journée se résume à critiquer les gens ,critiquer les gens et encore les critiquer . Ce sont les enfants les plus capricieux au monde. Ils sont tellement capricieux que même leurs parents ne les supportent  plus.

 

Un jour de mai, Jean-Michel et  Jean-Jacques parlent sur la place Boudoir. Devinez de quoi ils parlent?Je suis persuadé que vous pensez à la même chose que moi, je vous laisse découvrir la suite .  Jean-Eudes arrive. Les deux frères s’interrompent et regardent leur frère. Jean-Jacques lui répond d'un ton lassé :

« Tu ne pourrais pas comprendre tu es trop stupide et naïf ! »

Jean-Eudes borné continua de leur demander.Au final ils cédèrent:

« Nous cassons du sucre sur le dos de Guillemette et Micheline. »

Jean-Eudes trouva l'idée ma foi assez bonne, et  décida de faire comme ses frères.

 

Jean-Eudes alla voir les deux paysannes et leur cassa du sucre sur leur dos au sens propre.

C'est alors qu'un orfèvre passant dans la rue aperçut le jeune Jean-Eudes en pleine action.

Il lui dit :

« Enfant tu n'as point compris le sens figuré de cette expression . Il ne faut pas casser du sucre sur le dos des pauvres gens et ce n'est point mieux de parler dans leurs dos comme tes frères. »

 

Jean-Eudes s'excusa auprès de Guillemette et Micheline  et leur promit qu'il ne parlerait, ni casserait du sucre sur le dos des gens.

Et il décida de ne plus parler à ses incorrigibles frères, qui continuèrent à parler sur les gens.

 

 

Ainsi mon histoire se termine sur ces belles promesses Messires, Mesdames.

 

La morale de cette histoire est qu'être naïf est une chose être hypocrite en est une autre.

 

 

                                  FIN

Le fermier et le lait

  Le fermier et le lait.

                   Je vais vous raconter l'histoire d'un paysan et d'un aubergiste fort drôle.

        

                   Dans une ferme un fermier, qui vivait seul, s'appelait Guillaume .

         Il élevait une douzaine de vaches qu'il trait tous les jours pour vendre leur lait au marché . En chemin il mange chez un ami aubergiste qui a un père très malade.

        

                   Un jour il mit un peu plus de temps que d'habitude,          quand il arriva chez son ami il lui dit:

     «-Bonjours François. 

        -Bonjour à toi Guillaume,veux-tu qu'on déjeune ensemble ?

        -Oui,mais il faut que déjeune sur le pouce car je suis pressé.

        -Très bien je vais mettre la table. »

 

                   François sortit et prit un peu de lait qu'il avait gardé pour       

         le repas et il rejoignit Guillaume. Quand il arriva il trouva sur la table                                juste un verre. Etonné, il lui demande :

   «-Hé bien ! Où sont mes couverts? Tu as oublié de les mettre ou tu ne les trouves pas?

     -Heu,heu!..

     -Ou bien tu n'as pas eu le temps de les mettre ?

     -Heu, tu m'as dit que tu voulais déjeuner sur le pouce !

     -Bah, oui ! Je t'ai dis de déjeuner sur le pouce, mais je ne vois pas le rapport !

     -Tu n'as pas besoin de couverts puisque tous les aliments seront sur ton pouce, ce que je trouve extrêmement difficile et très étrange !!!

      -Tu m'as mal compris, je voulais dire que je devais déjeuner très rapidement !

      -Ah, d'accord, je n'avais pas compris, je vais chercher de ce pas des couverts ».

Il sortit précipitamment.

En mangeant, il s'aperçoit que maintenant il n'ai plus le temps d'aller vendre son lait. Il lui fit part de ses craintes et il lui répondit que son père lui avait légué un champ qui ne lui est d'aucune utilité et qu'il voulait bien lui donner en échange de son lait. Bien sûr, Guillaume accepte.

         Cette histoire se termine ainsi que les soucis de ces messieurs.