L'abus du Saint Esprit par Manon, Meleiny et Thomas

L'abus Du Saint Esprit

Ceci n'est pas un conte ni une fable, Messires, c'est une histoire vraie, toute vraie. Figurez-vous qu'un jour, en passant près de la place du village, je voyais Phou, Ryen, Perçaune, trois curés, frères du même âge, soutirant des galettes de pain noir aux paysans infortunés. L'un des curés mangeait sa galette et rentrait dans une auberge. Jacquet, l'aubergiste, les accueilli gentiment, mais les curés profitaient de leur pouvoir pour lui demander de l'argent sinon Dieu le punirait. Jacquet n'est pas dupe et refusait. Surpris, ils revenaient au marché. Les curés, bien décidés à le faire changer d'avis, se réunissait près de la fontaine.

Soudain, Perçaune, s'étouffe et tombe dans la fontaine. Ses frères affolés, se concertent et ils décident que Ryen reste ici pendant que Phou va chercher de l'aide. Phou est bien décidé a sauver son frère et demande au forgeron de venir

le sauver de la noyade. Mais le forgeron n'est pas content et lui répondit non parce qu'il connait bien les frères et il pense qu'il veut lui soutirer de l'argent. Il s'en va et part voir le fermier : “ Monsieur, je suis Phou, je vous préviens pour Ryen car Perçaune se noie. ” , le paysan, tout confus, lui répond : “ Non, pourquoi j'aiderai un fou. ”

Et cette scène se répète jusqu'au moment où il ne reste plus que une seule personne au village … C'est Jacquet !

Il lui demande s'il peut venir sauver son frère. “ Oui, mais … Vous devez rendre toutes les choses que vous avez volé ! ” Phou a du mal à accepter, mais dit que c'est d'accord. Jacquet se rend à la fontaine en compagnie de Phou. Jacquet plonge et ramène Perçaune à la surface. Après cela, les trois curés restaurent la paix au sein du village.

Le pouvoir fait perdre la tête à plus d'un … C'est à dire trois !

Histoire créée et écrite par :

Manon, Meleiny, Thomas

fin