Des plaisirs et des jours

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19 janvier 2015

Contrôle de lecture (Leyna et Julie)


         J'ai apprécié le livre De Sacha à Macha écrit par Rachel Hausfather et Yael Hassan, pour plusieurs raisons.

         Tout d'abord, le personnage principal, Sacha est particulièrement mit en avant. Son histoire crée du suspense et du mystère, en particulier en ce qui concerne son amitié avec Macha. En effet, les deux adolescents apprennent à se connaître tout au long du livre et le lecteur ignore jusqu'où cette amitiée ira.

         D'autre part , l'histoire est original car Sacha et Macha se découvrent en même temps que le lecteur. On apprend que Sacha est réservé, timide, renfermé, ... alors que Macha est vive, bavardeet, joyeuse. Macha découvre que Sacha a une vie difficile car il ne connait pas sa mère. Elle l'interroge à ce sujet: « Qu'est -il arrivé à ta maman ? » 

         Enfin, j'ai aimé la tendresse qu'il y a entre Sacha et Macha. En effet Macha aide Sacha à retrouver sa mère avec beaucoup de complicité. Elle va jusqu'à lui dire: « Je te trouve craquant! »

         Pour conclure, je conseille vivement ce livre à tous les amateurs d'histoires d'amitiés touchantes.

Lettre de madame de Sévigné à sa fille (Nassim)

                                                              Les rêves de Nassim, le 18/04/15

        Chère amie,

    Ce jour, le 18 avril 2015, j'ai visité les rêves de Nassim. C'était le jour de son anniversaire, et il y avait des rêves à foison!
J'ai commencé par voir Nassim arriver dans une ville abandonnée, en plein coeur du Texas. Il y faisait une chaleur extrême, comparable avec celle d'un four brûlant. Soudain, Nassim vit arriver Yoann et Melvin, puis un zombie apparut. Nassim l'a tout de suite abattu avec un fusil de chasse qui était une carabine Winchester. Il y avait du sang partout! Après, ils virent une armée de zombies derrière eux, semblable à une marée humaine. Ils s'enfuirent en voiture, mais les zombies étaient très rapides. Ils étaient effrayés, quand tout à coup, Melvin et Yoann se volatilisèrent, les zombies rattrapèrent Nassim et le dévorèrent. Nassim se réveilla.

   Il se rendormit et je pus assister à un autre rêve. Nous étions dans une ville au Japon, et ce fut la panique! Une mante religieuse de 30 mètres de haut, comparable à un immeuble, semait la terreur en ville, tuait les habitants et détruisait une partie de la ville. L'armée se faisait écraser, pendant que la bête, comparable à un tyrannosaure, se dirigea vers le building présidentiel! Soudain, le réveil sonna.

                                Affectueusement,

                                                      Madame de Sévigné

Madame de Sévigné à Madame de Grignan (Jad)

                                                                          Jouars-Pontchartrain, le 16 janvier 1668

    Chère Madame,

    J'arrivais à Jouars-Pontchartrain, pour visiter son château. C'était IM-PRé-SSIO-NANT ! Des dragons crachaient du feu et des elfes s'occupaient du jardin mais le plus bluffant restait la bâtisse elle-même. Ce château mesurait une vingtaine de mètres, ses douves contenaient des bêtes terrifiantes! C'est sûr que si on voulait assieger ce château, on ne devait pas faire long feu: on aurait l'air d'une truite s'attaquant à un requin.

                            Affectueusement,

                                                     Madame de Sévigné

Papa-longues-jambes (Olivier et Diane)


          Nous avons peu apprécié le livre Papa-longues-jambes pour plusieurs raisons.

          Pour commencer, l’intrigue du livre est entrainante. En effet, le fait que le lecteur ignore l’identité de l’interlocuteur de Juddy lui donne du suspense.

          Ensuite, les caractères des différents personnages sont intéressants. Comme par exemple, les caractères de Julia et de Sallie sont très différents: « Sallie Mc Bridgde est la personne la plus divertissante du monde et Julia la plus ennuyante ».

          Enfin, nous avons apprécié les différentes façons d’écrire la date, l’adresse et la signature dans les lettres car cela rompt ce qui pourrait être une fastidieuse routine. En effet, « Cher Mr Smith » diffère de « Cher Papa-longues-jambes » ou encore de « Votre très cher Juddy Abotte » et de « Une amie ».

          En contrepartie, le fait que le personnage principale décrive sa garde-robe à longueur de temps est ennuyant. Et nous n’avons pas l’impression qu’elle est adulte comme nous pouvons le voir dans la phrase suivante: « Avec cet argent je me suis acheté un robe en soie bleu… ». C’est agaçant.

          Pour conclure, nous recommandons ce livre aux amateurs du genre épistolaire.

Visite de Jouars-Ponchartrain par Madame de Sévigné (Clément)

                                                                    À Madame de Grignan
                                                                    À Jouars-Pontchartrain, le 16 janvier 2015 
         À vous, ma très chère fille,

      Nous devons vous raconter notre petite visite de la ville de Jouars-Pontchartrain. Comme je vous l'ai dit dans mes précédentes lettres, nous sommes partis de notre petite demeure pour aller à un bal organisé par le roi en personne.

      Sur le chemin, nous avons dû faire une halte dans une contrée non loin du château de Versailles. Nous sommes arrivés tôt, le matin vers 9 heures. Nous avions prévu d'y rester une journée afin de faire quelques emplettes. J'ai fait seule, une promenade autour de la ville, jusqu'au moment où je suis restée bouche bée devant une sorte de cour remplie d'enfants agressifs qui gesticulaient, criaient des mots incompréhensibles. Certains accrochés aux grillages ressemblaient à des bêtes sauvages. Cette scène me choqua énormément. J'ai tenté de trouver une réponse rationnelle à ce qui n'était pour moi qu'un champ de bataille où chacun tentait de survivre comme au front. Quand, soudain, un bruit strident a retenti. Ils se sont alors tous mis en rang. Je préférais ne pas imaginer leur triste sort, à un âge aussi innocent. Intriguée j'ai donc mené mon enquête pour éclaircir cette situation quelque peu gênante. J'ai donc pris la décision de les suivre jusqu'à un endroit qui ressemblait à un camp d'entrainement dirigé par un commandant un dénommé "Georges". Ces pauvres enfants pratiquaient une multitude d'exercices physiques. C'était sans doute une préparation militaire pour une prochaine confrontation avec l'ennemi. Cette école appartiendrait à un certain Jacques Prévert dont je n'ai jamais entendu parler. Je vais interroger le roi sur ce dénommé Jacques Prévert qui n'est pas très clair. J'espère pouvoir vous en dire plus dans une prochaine lettre.

                                             Voilà, ma très chère, ma dernière grande aventure,

                                                                                 Madame de Sévigné

Lettre de Mme de Sévigné (Laura)

                                                                              À Neauphle-le-château, le 16 janvier 2015

           À Madame de Grignan,

     Aujourd'hui, à Neauphle-le-château, nous avons visité l'école primaire. Les enfants, tels des insectes, grouillaient dans la cour de récréation. Celle-ci était surmontée par un immense château d'eau dans lequel nous sommes montés. En haut, on se serait pris pour des oiseaux survolant la région. Du sommet, les enfants de l'école ressemblaient encore plus à des fourmis. Malheureusement, nous fûmes surpris par la pluie et obligés de descendre.
     Sur le chemin du retour, dans la grande rue, l'eau qui coulait dans les caniveaux ressemblait aux torrents des montagnes et emportèrent l'un de nos amis. Il se releva quelques pas plus loin, trempé de la tête aux pieds, ce qui fit rire les dames qui nous accompagnaient pour le thé.
     À la maison, le malheureux alla se changer et nous prîmes le thé. Après cela, je suis montée dans ma chambre -la plus belle de la demeure- et je vous ai écrit cette lettre pour vous faire part de mes aventures de la journée.

                    En espérant que vous vous portez bien,
                                                              Madame de Sévigné

Contrôle de lecture: de Sacha à Macha (Laura et Maéva)


   Ce livre nous a plu pour diverses raisons.

   Premièrement, l'histoire nous a touché car le héros, Sacha, cherche désespérément sa mère, d'origine russe par tous les moyens, sans y parvenir. Cela est très bouleversant parce qu'avoir une mère nous semble indispensable. De plus, le fait que son père soit assez distant renforce le côté dramatique de ce livre.

    Ensuite, nous avons apprécié ce livre parce que Macha est un personnage attachant qui a la volonté d'aider les gens, même un garçon peu bavard qu’elle ne connaît pas sauf par échange de mails.
Elle est joyeuse et transmet sa joie aux lecteurs.

   D'autre part, le fait que Sacha et Macha soient complètement différents, Sacha est direct dans sa façon de dire les choses (ses émotions )  au contraire de Macha qui parle beaucoup pour ne rien dire et ne dévoile que peu de choses sur elle. Sacha est l'inverse de Macha. Ils se complètent , c'est cela qui rend leur amitié très intéressante à découvrir au fil du récit.

   Enfin, ce livre nous a plu car il était relativement simple à lire, les mots employés étaient faciles à comprendre et il n'y avait pas beaucoup de pages. 

   Pour finir, nous le conseillons à ceux qui sont sensibles aux histoires d’adolescents mais qui n'ont pas envie de lire un livre trop long et compliqué.

Lettre de madame de Sévigné (Tanguy)

                                                                    à Cressay, le 11 janvier 2015

   Cher ami,

   Nous sommes arrivés à Cressay, imperceptible village au fin fond d’une végétation resplendissante. Les haies des maisons étaient toutes plus démesurées les unes que les autres défilaient devant nos yeux ébahis. Nous descendons dans une minuscule ruelle dont la végétation saturait le chemin, la pente était abrupte. Au bout de cette ruelle se trouvait un somptueux lavoir à côté d’une longue et sinueuse rivière dont les reflets traduisaient une atmosphère mélancolique. Les habitants de ce village étaient tous d’une exceptionnelle générosité et nous les quittions dans une tristesse inhabituelle.

            Je te salue et te souhaite une très bonne semaine,

                                                         Madame de Sévigné

A la rencontre de d'Artagnan (Rihab)

      J'avais croisé d'Artagnan à plusieurs reprises. Cet homme avait un visage long et brun. Il avait l'oeil ouvert, le nez crochu mais finement dessiné. Il avait aussi une monture: c'était un bidet du Béarn, jaune de robe.
      Un jour que nous étions à un bal donné par le roi, nous discutâmes d'Athos, de Porthos et d'Aramis, ses camarades mousquetaires. Il déclara:
« Avec mes amis mousquetaires, c'est à la vie, à la mort! Ils étaient souvent avec moi lors de mes aventures et maintenant, nous avons les mêmes ennemis: les ennemis de mes amis sont mes ennemis!
- Comme c'est touchant! m'exclamais-je, c'est une belle preuve d'amitié! Avez-vous toujours été aussi proche de vos amis?
- Non pas du tout, il y a eu beaucoup d'histoires, dit-il dans un soupir, mais c'est du passé maintenant. 
- Avez-vous des exemples ? 
- Je ne peux seulement évoque une histoire qu'Aramis a eu avec Milady, mais je ne peux pas vous en dire plus, cela est personnel...
- En effet, je m'excuse, je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise. Je suis désolée.
- Ne vous inquiétez pas, c'est du passé, j'essaye d'oublier cette histoire comme toutes les autres! répondit-il.
- Je ne veux pas vous dérangez plus longtemps que ça, sur ce, je vous accorde un salut joyeux en espérant que je ne vous aie pas mis trop mal à l'aise.
- Je ne suis pas mal à l'aise, d'éclara-t'il avant de me saluer. »

Lettre de Madame de Sévigné (Eva)

                                                                            À Pontchartrain, le 16 janvier 1670

     Ma chère fille,

     Je suis arrivée hier dans le petit village qu'est Pontchartrain. Au matin je suis allée me promener avec mon hôte dans le village. Puis, à midi il m'a emmené dans un petit restaurant pour y déjeuner. Une fois le repas terminé, nous sommes allés rendre visite au maire pour lui parler de ma vie à la cour du roi. Le soir je fus conviée à la fête du château. Je me suis vêtue de mes plus beau vêtements pour rencontrer le comte de Pontchartrain. Ce dernier m'invita même à le rejoindre à sa table. Il me posa quelques questions sur le roi et sur la vie à la cour. Une fois la fête finie, je suis rentrée dans ma demeure et je me suis couchée. Voilà comment s'est déroulée la journée du 15 janvier.

     Et vous ma fille, comment vous portez-vous ? J'ai grand hâte d'avoir de vos nouvelles.

                                         Veuillez accepter mes salutations distinguées,

                                                                                        Madame de Sévigné.

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