22 janvier 2015
"Le monde fabuleux de La Fontaine" par la compagnie Emporte-voix avec les 6èmes
Par Madame Bonfante le 22 janvier 2015, - Sorties
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22 janvier 2015
Par Madame Bonfante le 22 janvier 2015, - Sorties
Par Les élèves de 4ème 2 le 22 janvier 2015, - De Sacha à Macha
J'ai apprécié De Sacha à Macha pour plusieurs raisons.
Dans un premier temps, j'ai apprécié De Sacha à Macha parce que l'histoire du personnage Sacha est intrigante. Nous lisons à travers les mots de de cette histoire la mélancolie de Sacha et la joie de Macha. Ces deux personnages traversent ensemble des hauts et des bas.
Dans un second temps, certains passages de l'histoire m'ont déplu comme le dialogue suivant:
« Au fait, tu sais comment s'appelait ma mère?
- Macha, non?
- Oui Macha, comme toi. «
D'autre part, j'ai aimé le moment où Sacha raconte son voyage en Allemagne (p. 98 à 100).
Pour conclure, je conseille ce livre car il est plein d'aventures.
21 janvier 2015
Par Madame Bonfante le 21 janvier 2015, - Lexique
nécropole: regroupement de tombes
profaner (une tombe): souiller, dégrader, traiter sans respect un objet ou un lieu sacré
Biban-el-Moulouk: la vallée des rois
le docteur Rumphius: le savant Rumphius
Par Madame Bonfante le 21 janvier 2015, - Cahier du lecteur
Histoires comme ça de Rudyard Kipling
Sacrées sorcières de Roald Dahl ou James et la grosse pêche du même auteur.
Le roman de la momie de Théophile Gautier (vous pouvez écouter le livre audio: https://www.youtube.com/watch?v=1j9FuAqBHFc)
Par Les élèves de 4ème 2 le 21 janvier 2015, - A la rencontre d'un personnage des "Trois mousquetaires"
J'avais croisé la reine un soir où je travaillais dans l'auberge du village. Nous étions seules toutes les deux. Elle devait avoir entre vingt-six et vingt-sept ans. J'étais éblouie par sa beauté: sa démarche était celle d'une déesse, ses yeux jetaient des reflets d'émeraudes, sa bouche, petite et vermeille, était gracieuse dans le sourire. Sa peau etait citée pour sa douceur et son velouté.
Après l'avoir comtemplée j'entamais la discussion:
« Bonjour, dis-je.
- Bonjour.
- Alors qu'est-ce qui vous fait venir dans ce village loin de vos terres? lui demandais-je.
- Mélez-vous de vos affaires! Allez plutôt me chercher un verre, ordonna-t-elle.
Je lui ai apporté un verre, puis deux, puis trois, puis quatre verres jusqu'à ce qu'elle commence à me parler.
Je vais tout vous raconter, mon épou, le roi, je ne l'aime pas, mais je ne peux pas le montrer, mon pays compte sur moi...
- Pourquoi est-ce que vous ne l'aimez plus?
- Je ne l'ai jamais aimé. Mon mariage est un mariage forcé mais il empire les choses: il couche avec chaque femme qu'il croise. »
Après quelques instants de réfléxion, elle se rendit compte de ce qu'elle venait de m'avouer et elle s'en alla.
Par Les élèves de 4ème 2 le 21 janvier 2015, - Inspiré par Madame de Sévigné
à Jouars-Ponchartrain, le 7 janvier 1670
Bonjour ma chère fille,
Aujourd'hui je vais te raconter une terrible aventure qui m'est arrivée à Jouars-Ponchartrain.
Il y a six jours, après m'être faite huer par des paysans, je suis partie, entourée de mes gardes, me promener en ville. Sur le chemin, je vis un homme mal-en-point. Inquiète, je suis partie le voir. Il avait la peste. Mes gardes l'ont achevé devant moi parce qu'ils avaient peur d'attraper sa maladie. Après avoir vu ce malheureux mourrir, je ne me sentais pas bien. Je suis donc allée à l'auberge de ce village étrange où il y avait la peste, mais il n'y avait personne ma fille. Je t'écris cette lettre car je ne pense pas rentrer ce soir, je pense avoir, moi aussi attrapé la peste.
Adieu ma fille, adieu,
Madame de Sévigné
Par Les élèves de 4ème 2 le 21 janvier 2015, - A la rencontre d'un personnage des "Trois mousquetaires"
J'avais croisé Constance Bonacieux à plusieurs reprises car elle était, elle aussi, très proche de la reine Anne d'Autriche. En effet, je suis proche de la reine car je fais partie, comme Constance, de ses servantes et du petit nombre de personnes auquel elle peut se confier. Lorsque je ai vu Constance pour la première fois, je lui ai donné environ vingt-cinq ans. Cette femme était très belle. Elle avait des cheveux bruns et de magnifiques yeux bleus aussi profonds que le fond des océans. Ils brillaient au soleil comme de l'argent. Constance avait aussi des dents blanches et bien alignées, ainsi qu'un magnifique teint marbré de rose et d'opale comme le couché du soleil.
Un jour que nous étions à un bal donné par le roi, elle s'avança vers moi et nous discutâmes de d'Artagnan, elle déclarait:
« En ce moment-même je nage dans le bonheur très chère.
- Ah oui! pourquoi ?
- Car j'aime un homme, il a un visage long et brun, les pommettes des joues saillantes ce qui est un signe d'astuce et des muscles très développés.
- Ne serait-ce pas d'Artagnan? Le gentilhomme félicité par notre roi lors de son exploit contre le cardinal ? lui demandais-je.
- Oui, madame c'est bien lui, le jeune apprenti mousquetaire de M. de Tréville.
- Je comprends que vous l'aimiez, affirmais-je, mais vous êtes déjà mariée à M. Bonacieux. Et si monsieur apprenait que vous étiez la maîtresse de ce jeune homme que dirait-il, qu'est-ce qu'il vous fera? Je pense qu'il risque de monter sur ses grands chevaux et de vous couper la tête!
- Qu'est-ce que vous pouvez avoir comme pensées négatives! Mon mari n'en sera strictement rien, de plus il est à la Bastille. Il le saura seulement si vous avez la mauvaise intention d'aller le voir et de lui faire part de la confidence que je vous ai faite.
- Ne vous faites pas, je ne lui dirais rien.
- Sur ce, il faut que je vous quitte, il faut que j'aille divertir Madame la Reine.
- Au revoir, à une prochaine fois, Constance! »
19 janvier 2015
Par Les élèves de 4ème 2 le 19 janvier 2015, - Inspiré par Madame de Sévigné
Ma chère fille bien aimée,
Aujourd'hui, je vous écris pour vous raconter ma dernière terrible aventure. Je me suis retrouvée dans un endroit répugnent et d'une odeur infecte de moisissures, de déchets et d' excréments. Il y avait toutes sortes de créatures qui m'ont suivis tout au long de cette aventure périlleuse et pleine de dégout. Plus j’avançais, dans ce tunnel sans fin, plus je sentais que ma dernière heure était proche. J'étais pétrifiée par la cascade de toutes sortes de bestioles ressemblant à de petits cyclopes affamés, j'étais vêtue de la somptueuse robe en satin que tu m'avais offerte et je sentais que je la perdais: les traces de salissures s'accumulaient, le tunnel se rétrécissait au fur et à mesure du chemin, mon chapeau perdait de sa beauté tellement le plafond était bas, puis, à un moment je me suis rendu compte que j'étais perdu dans le futur, j'en oubliais le présent, cela faisait une éternité que je tournais en rond, je m'étais perdue...
J'ai paniqué, je hurlais, mais comme tu peux t'en douter, dans les souterrains j'étais quelque peu isolée du reste du monde. Les minutes passèrent, les heures, puis les jours, sans que je ne puisse trouver le moyen de m'en sortir, je tournais en rond, je mangeais les restes du pain qui avait moisi dans ma poche. Cela faisait quelques jours que j’entendais des bruits de claquements, à bout de forces je ne me suis même pas rendu compte que cela faisait deux semaines que j'avais la possibilité de partir et de retrouver une vie "ordinaire". En effet, il y avait une trappe au-dessus de moi. Alors je pris ma ceinture et tentais en vain de l'accrocher à la poignée de la trappe. Enfin après une multitude d'essais je parvins enfin à m'échapper, je me souviens que je voyais flou et que je ne tenais pas debout. J'ai fermé les yeux et quand je les ai rouvert j'étais allongée sur un lit entouré d'une multitude de personnes vêtues de blanc, mes larmes coulèrent. Je ne savais pas si j'étais en vie chez les fous ou tout simplement au paradis.
J'avais perdu tous mes repères, puis je suis restée sept jours, sept jours à penser à toi ma chère petite fille. Quand je suis enfin sortie j'ai trouvé un merveilleux panier garni de toutes les choses dont j'avais besoin pour le long voyage qui m'attendait avant de te retrouver, et surtout la robe étincelante que tu m'avais offerte. Je t'écris cette lettre pour te raconter cette aventure pleine de rebondissements.
À toi ma chère fille,
Madame de Sévigné
Par Les élèves de 4ème 2 le 19 janvier 2015, - De Sacha à Macha
Nous avons aimé ce livre pour plusieurs raisons.
Tout d'abord le fait que ce livre soit rédigé sous la forme d'un dialogue continu. En effet, tout au long du livre, on peut observer un échange de mails. A chaque fois que la parole change de personne, un changement de date, d'adresse et de destinataire et visible dans un petit encadré en haut de la page. Par exemple (p.38) de:Sacha <sacha@intercom.fr>
à: Macha <macha@intercom.fr>
Date: 7 mai.
Ensuite, nous avons remarqué que le suspense permettait au lecteur de rentrer dans l'histoire comme le montre la fin du livre. En effet, on ne sait ni si Sacha a retrouvé sa mère, ni quelle est la relation qu'il entretient avec Macha (amour ou une simple amitié).
De plus, le texte est très clair, le lecteur arrive à distinguer la personnalité et le physique de chaque personnage d'après sa façon d'écrire. On peut lire, par exemple, au sujet de Macha « tu prends la mouche pour un oui ou pour un non [...] je n'ai pas l'habitude de garder ma langue dans ma poche. » (p.39).
Puis, tout au long du roman, nous avons été entrainées dans l'histoire de Sacha et de Macha (les deux personnages principaux). D'un côté Sacha, qui peine à retrouver sa mère qu'il n'a jamais connu et de l'autre, Macha qui lui remonte le moral et lui donne des conseils. Par exemple, lorsque Sacha dit détester sa mère et que Macha lui répond que peut être sa mère n'avait pas le choix (p.127). On voit que Macha tient beaucoup à Sacha car elle essaye de le résonner.
Finalement, le moment que nous avons trouvé le plus fort est lorsque Sacha est parti pour l'URSS pour retrouver sa mère et que Macha fait tout son possible pour le retrouver, une fois retrouvé, elle lui déclare : « Je te trouve craquant de confiance, d'irréalité et de manque de maturité » (p.104).
Nous avons donc aimé ce livre pour le suspense, l'intrigue, la forme du dialogue mais aussi et surtout pou la formidable relation qu'entretiennent Sacha et Macha. C'est une histoire émouvante et intrigante qui n'a pas vraiment de fin.
Par Les élèves de 4ème 2 le 19 janvier 2015, - Inspiré par Madame de Sévigné
Jouars-Ponchartrain, le 16 janvier 1678
Bonjour cher père,
Je vais vous raconter l'une de mes journées les plus épuisantes de toute ma vie!
Je me promenais en calèche dans le village de Jouars-Ponchartrain, pour admirer le merveilleux paysage quand une autre calèche arriva droit sur nous. Elle nous bouscula tellement fort que la calèche se retourna, fit plusieurs tonneaux, et arriva enfin dans un étang rempli de canards. Je ressorti de l'eau mouillée et pleine de boue. Mais ce n'était pas fini, la mauvaise fortune continua de s'abattre sur moi car une cinquantaine de canards, énervés, fonca droit sur moi pour se venger de mon intrusion dans leur étang. Ce fut un combat épique entre moi et les canards, je leur lançais des cailloux et des batons pour qu'ils s'éloignent et ce fut le cas au bout d'un certain temps.
Après une bonne heure de repos, je voulus rentrer chez moi à cheval car c'est beaucoup plus rapide qu'à pied pour rentrer au château (à pied je mets 8 heures). Mais malheureusement, les chevaux broutaient l'herbe fraiche. Ils étaient tellement fatigués qu'ils ne voulaient pas repartir. Alors, je suis repartie seule et à pied. Le temps commençait à se couvrir et quelques gouttes commencèrent à tomber. Je me suis mise à courir pour ne pas être mouillée pour la deuxième fois de la journée et avoir froid, mais mes vêtements étaient tellement lourds que j'étais éssoufflée. De plus, on était en été, j'avais donc très chaud.
Une fois arrivée au château, je me suis dirigée dans ma salle de bain pour me faire couler un bon bain chaud afin de me rechauffer. Je fis couler de l'eau très chaude, tellement chaude que de la fumée sortait par les fenêtres recouvertes de buée! Je me mis dans la baignoire et je me suis endormie. C'était la fin du calvaire!
Je vous salue mon père!
Julie, votre chère et tendre fille.
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