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02 March 2019

Autour de Tobie Lolness

Le livre de Timothée de Fombelle que nous étudions, Tobie Lolness, a beaucoup plu à certains d'entre vous : n'hésitez pas à continuer votre lecture ! Voici d'autres titres du même auteur : 

- la suite de Tobie, Les Yeux d'Elisha. Où l'on retrouve Jo Mitch, El Blue, et bien sûr Elisha, ainsi que bien d'autres amis ou ennemis de Tobie. Est-il possible d'arracher l'arbre des mains de ses nouveaux maîtres ? Qu'est-il véritablement advenu de Sim et Maïa Lolness ? Vous aurez les réponses à vos questions. 

- Céleste, ma planète, un tout petit livre qui mêle humour et gravité. Le héros, délaissé par une mère qui ne fait que travailler, vit presse seul dans un monde ultramoderne. Il a un unique ami, Briss. Tout change le jour où il croise une jeune fille, Céleste, qu'il fera tout pour revoir, et pour sauver. 

- Victoria rêve, très court roman dont l'héroïne s'invente sans cesse des aventures et des vies autres, pour contrebalancer un quotidien un peu terne. Un jour pourtant, la réalité va devenir plus inquiétante que les livres. 

- Le Livre de Perle est un conte, l'histoire d'un prince condamné à quitter son monde merveilleux pour vivre dans le nôtre. il a au coeur un grand amour et cherche à retourner chez lui pour revoir celle qu'il aime. 

- Pour ceux qui lisent beaucoup, Vango, deux tomes d'aventures palpitantes, très inventives mais fondées sur des faits historiques comme les zeppelins, ces grands ballons dirigeables qui, entre les deux guerres, reliaient l'Europe aux Etats-Unis et à l'Amérique du Sud. Dans Vango on parcourt toute l'Europe à la suite du héros, un jeune homme dont la vie cache des secrets que lui-même ne connaît pas tous, et contre lequel s'acharnent des poursuivants malveillants. 

06 January 2019

Pour qui voter ? Deux grands chevaliers sont en lice....

Je trouve que Roland se lance sans réfléchir, alors que Olivier patiente. Je pense qu’il est sage, alors que Roland aime faire les choses vite et est très orgueilleux. Ces personnalités sont très différentes, comme Harry Potter et Hermione. Harry Potter est plus semblable à Roland : il est très  courageux et se lance pour n’importe quel prétexte. Et Olivier est plus proche de Hermione, plutôt vers la logique : il cherche une solution pratique, mais il a quand même son caractère. 
Je préfère Roland, car j’aime bien me lancer et que mon intuition me dise quoi faire… c’est toujours un peu risqué. (Ananda)

 

Je préfère Olivier car je trouve que c’est plus sage de vouloir perdre sa gloire que de mourir pendant une bataille. Je le trouve plus intelligent (Noémi)

 

Je préfère Olivier car il est prudent. Il refuse de combattre et de mourir sans espoir de pouvoir emporter la victoire car il reconnait qu’ils ne sont pas assez nombreux face à l'ennemi. Olivier est sage et préfère faire sonner le cor pour que Charlemagne et sa troupe viennent les aider. Olivier réfléchit alors que Roland ne veut pas perdre sa gloire, son peuple... Il veut combattre seul l'ennemi avec sa petite troupe. (Charlotte)

 

Je préfère Olivier car il est intelligent, sage et prudent, mais surtout parce qu'il ne sacrifierait pas des centaines de vies innocentes par orgueil et gloire.

Je pense qu’Olivier est tout le contraire de Roland : l'un réfléchit, planifie, se prépare au combat, alors que l'autre fonce tête baissée dans la mêlée.

D'une certaine façon, je pense que Olivier serait considéré plus valeureux que Roland de nos jours. (Enzo)

 

05 January 2019

Olivier ou Roland ?

Je préfère Olivier car il est très sage ;  comme il est dit à la laisse 87 : « Olivier est sage ». Il ne baisse jamais les bras et pense surtout à sa survie et celle de ses compagnons, mais il est vrai qu'il n'a pas assez confiance en lui, contrairement à Roland qui, lui, est toujours sûr de lui et ne se soucie pas de sa propre vie : il est très orgueilleux, ce qui m'agace énormément. (Alicia)

 

Je préfère Olivier car c'est celui qui est plus sage que Roland comme le dit le début de la laisse 87 : « et Olivier est sage ».

Il ne veut jamais baisser les bras, il veut montrer son courage.

Roland, lui, est orgueilleux et toujours sûr de lui : ce comportement m'agace.

Je n'aime pas les personnes qui sont toujours sûres d’elles et se prennent pour les plus fortes. (Sana)

 

Je préfère Roland à Olivier parce que Roland est courageux et sûr de lui : il n’a peur de personne et il combat contre n’importe qui. Et je le préfère à Olivier car il est déterminé. Olivier est trop prudent, trop sage pour mo. Il est trop caché et je n’aime pas trop ça car quand on combat on doit savoir qui tu es et si tu es trop caché on ne peut pas savoir qui tu es. Roland, lui, quand on le voit on sait qui c’est. (Mady)

 

Olivier, parfois nommé Oliver de Vienne, est un chevalier sage, calme et très rusé, il sait aussi garder son sang froid en cas d’extrêmes urgences or Roland, lui, préfère foncé tête baissée, pas comme Olivier qui trouve toujours une stratégie. Mais Roland lui a une qualité : dans tout ce qu’il fait il montre sa bravoure. (Matthieu)

 

02 January 2019

Roland ou Olivier ? Suite !

Je préfère Olivier  à Roland parce qu’Olivier est plus sage et plus prudent que Roland car Roland pense seulement à sa gloire et son honneur de chevalier.

Olivier est un personnage important mais il reste à l’arrière –plan. Il est observateur mais aussi un bon chevalier qui conseille. Même si le personnage est un peu oublié dans la Chanson de Roland, Olivier devient attachant.  (Mattéo O)

 

Je préfère Roland à Olivier ! Pourquoi ? Car contrairement à Olivier il n'est pas 100% sûr de lui, mais sans manquer de confiance en soi.

Car pour moi être vraiment trop sûr de lui est un défaut car il manquera d'attention en combat car il est trop confiant en lui. Il néglige la force des autres, c'est un grand point faible pour moi ; de plus il finit par mourir.

Olivier, lui, est tout le contraire de Roland : il ne manque pas de confiance en soi, mais il ne néglige pas la force du camp adverse.

(Adrien)

 

Le chevalier que je préfère est Olivier. Même si Roland est courageux, il est très orgueilleux car il refusa d'appeler Charlemagne, ayant peur de perdre sa gloire, alors que Olivier lui est conscient du danger et peu lui importe de perdre sa gloire, l'important pour lui c'est que l'armée française remporte la victoire Et de toute façon, si Roland avait sonné l'olifant et avait perdu sa gloire, il aurait pu la regagner dans d'autre batailles.  (Jules)

 

Roland et Olivier sont des chevaliers francs des années 740. Roland est un type de chevalier très courageux comme le Chevalier de la Charrette par exemple. Il est sûr de lui ,
orgueilleux et têtu. Olivier est un type de chevalier bien vaillant comme Lancelot par exemple. Il est très prudent, il réfléchit avant de se lancer dans une action et il est très sage. Je péfére Roland parce que j’aime bien quand il y a beaucoup d’action. (Szymon)

18 December 2018

Roland ou Olivier ?

Mon préféré entre Olivier et Roland, c'est Olivier car il sait se méfier. Il n'est pas têtu comme Roland, il est intelligent car il a su le danger si Roland aurait sonné le cor et il est sage comparé à Roland, il est orgueilleux et têtu. (Kunborremi)

Je préfère Olivier car il réfléchi à ce qu’il va faire et c’est le personnage qui me ressemble. Il est important d’agir mais il faut se rendre compte des conséquences et réfléchir. Il est sage et brave et ce sont les compétences qu'un chevalier doit posséder . (Alissa)

 Entre les deux chevaliers je préfère Roland parce qu'il est très courageux ; il veut quand même aller à la guerre, même s'il sait qu'il va perdre. Il est très têtu comme moi car il ne veut pas sonner le cor par peur de perdre sa gloire.   J'ai choisi ce chevalier car je suis un peu comme lui, alors que Olivier est plutôt calme et prudent par rapport à moi. (Magalie)

Je préfére Roland car je ferais la même chose que lui je ne sonnerais pas dans mon cor car je perdrais ma dignité, mon courage et mon honneur : on me prendrais pour un lâche. Roland était courageux, sûr de lui, orgueilleux et têtu. Mais il y a des moments où je suis prudent comme Olivier, avant mes actions je réfléchis. Si je devais me comparer à un des deux je serais entre les deux car je suis sûr de moi et prudent à la fois. (Victor)

Je préfère le caractère d’Olivier car il est réfléchi, sage et prudent dans ses décisions. Il ne veut pas mettre la vie de ses compagnons en danger. Contrairement à Olivier, Roland, lui, est courageux mais au point de ne pas voir le danger et de réfléchir à une autre solution qui permettrait de ne pas mourir. Il ne voit que la gloire (qu’il soit vivant ou mort), et sa réputation au point d’en être orgueilleux. A quoi sert d’avoir la gloire quand on est mort ! C’est pour cela que je préfère quelqu’un qui pense avant d’agir. (Constance)

Je préfère Roland car c’est un chevalier courageux et combatif, même s’il est très orgueilleux et parfois très têtu. J’aime sa façon de mener la bataille car même s’il n’a pas voulu sonner le cor, il s’est montré très sûr de lui, prêt à donner sa vie, à se battre jusqu’au bout. C’est un vrai héros.  Il savait qu’il risquait sa vie mais il a accepté son destin. J’aimerais bien être comme lui, je pourrais livrer des batailles. J’aurais la sensation de me surpasser. De vaincre mes peurs. Roland aurait pu s’appuyer sur son ami Olivier mais il ne l’a pas fait. Malgré tout je l’admire et le préfère. (Natan)

Je préfère Roland à Olivier car il est comme moi. Il me représente ; Roland a peur mais ne veut pas le dire car il sait qu’on le connaît et que s’il dit qu’il a peur c’est comme si c’est pas un  vrai héros et qu’il n’a pas confiance en lui donc il n’exprime pas. Alors que Olivier prend le temps de réfléchir et doit être sûr de lui avant d’aller faire. Donc je préfère Roland à Olivier car Roland me représente et je me reconnais en temps que Roland. (Katell)

 

02 October 2018

Un beau poème sur le voyage

Nous avons étudié quelques poèmes sur le voyage. Il y en a d'autres dans votre manuel, mais pas celui-ci : ce poème de Victor Hugo parle des marins morts en mer. 

Son titre latin, Oceano Nox, vient d'un vers de Virgule : Et ruit oceano nox, "Et la nuit s'élance de l'océan". L'océan, comme une sorte de monstre, apporte la mort...

Oh ! combien de marins, combien de capitaines

Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,

Dans ce morne horizon se sont évanouis !

Combien ont disparu, dure et triste fortune !

Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,

Sous l'aveugle océan à jamais enfouis !

 

Combien de patrons morts avec leurs équipages !

L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages

Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots !

Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée.

Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ;

L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots !

 

Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues !

Vous roulez à travers les sombres étendues,

Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus. 

Oh ! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve,

Sont morts en attendant tous les jours sur la grève

Ceux qui ne sont pas revenus !

 

On s'entretient de vous parfois dans les veillées.

Maint joyeux cercle, assis sur des ancres rouillées,

Mêle encor quelque temps vos noms d'ombre couverts

Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures,

Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures,

Tandis que vous dormez dans les goémons verts !

 

On demande : — Où sont-ils ? sont-ils rois dans quelque île ?

Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? 

Puis votre souvenir même est enseveli.

Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire.

Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire,

Sur le sombre océan jette le sombre oubli.

 

Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue.

L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ?

Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur,

Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre,

Parlent encor de vous en remuant la cendre

De leur foyer et de leur coeur !

 

Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière,

Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre

Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond,

Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne,

Pas même la chanson naïve et monotone

Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont !

 

Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ?

O flots, que vous savez de lugubres histoires !

Flots profonds redoutés des mères à genoux !

Vous vous les racontez en montant les marées,

Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées

Que vous avez le soir quand vous venez vers nous !

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