14 novembre 2014

"La Nuit", Elie Wiesel

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12 novembre 2014

Une maladie, un combat, une histoire

Avec Le cri de la mouette, pour Emmanuelle Laborit , et Petite, du côté de Geneviève Brisac, les lignes se bousculent entre rires et larmes, bonheur et souffrance.

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Posée dans un parc

J’étais là, allongée au bord du lac, sous le soleil brûlant. J’entendais les rires des enfants qui s’amusaient dans le parc. Une fine brise me caressa la joue et fit balancer les feuilles des arbres de chaque côté. Les branches étaient bercées par une douce mélodie, la mélodie de la nature. Une fille jouait avec sa poupée au bord du lac. Ce lac, quel plaisir de le regarder !   

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Rêve d'enfant

J'étais tellement heureuse, depuis toute petite je rêvais de faire ce voyage et maintenant j'y étais. Cela paraissait irréel, de plus j'y étais avec mes deux meilleures amies, c'était encore mieux que dans mes pensées.

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Un ami fidèle

Sam était heureux, souvent en compagnie de Camille, son amie de toujours et de ses deux amies, Léa et Anastasia. Elles se confiaient souvent à lui, et lui restait à l'écoute.

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Voyageur

J'étais le dernier de ce monde ! Tous mes frères étaient partis, l'un après l'autre, disparus. Je le sentais, le moment était venu pour moi.

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11 novembre 2014

"Petite" de Geneviève Brisac


Par Tom et Mélanie F. (3è6)

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Ça y est il y était, pour l’instant il se sentait serein mais il savait que ça ne durerait pas, il ne pouvait pas faire marche arrière.

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10 novembre 2014

La nuit

               Nous avons choisis l'extrait de Auranne qui est le suivant :

Notre premier geste d'hommes libres fut de nous jeter sur le ravitaillement. On ne pensait qu'à cela. Ni à la vengeance, ni aux parents. Rien qu'au pain.
   Et même lorsqu'on n'eut plus faim, il  n'y eut personnes pour penser à la vengeance. Le lendemain, quelques jeunes gens coururent à Weimar ramasser des pommes de terres et des habits - et coucher avec des filles. Mais de vengeance, pas trace.
   Trois jours après la libération de Buchenwald, je tombai très malade: un empoisonnement. Je fus transféré à l'hôpital et passai deux semaines entre la vie et la mort.
   Un jour je pus me lever, après avoir rassemblé toutes mes forces. Je voulais me voir dans le miroir qui était suspendu au mur d'en face. Je ne m'étais plus vu depuis le ghetto.
   Du fond du miroir, un cadavre me contemplait.
   Son regard dans mes yeux ne me quitte plus.



             Nous avons choisi cet extrait car même après tout ce qu'ils ont vécu dans les camps de concentration, ils ne veulent pas se venger. Ce qui prouve donc que la vie est plus importante que la vengeance : "ni à la vengeance (...). Rien qu'au pain". Le pain est symbole de la vie dans les camps. Dans un autre extrait, on peut trouver une métaphore : "un cadavre me contemplait". Elie se compare à un cadavre en revenant des camps de concentration. Il fait des répétitions du mot "vengeance" pour insister sur le fait que tout les survivants pensent plus a manger que à se venger. Il affirme que même en étant libres c'est aller chercher à manger qui les intéressent. Il dit aussi que une fois délivré, il est tomber malade et qu'il a souffert. Il insiste avec les expressions "très malade", "je passai deux semaines entre la vie et la mort cela montre donc sa souffrance.


                                                                                      




                                                                            ♥♥Auranne et Mathilde 3èmédias♥♥

02 novembre 2014

Mauvaise soirée pour Jessica

Qu'arrive-t-il à Jessica, jeune et belle avocate, prisonnière d'un être aux sombres intentions ?

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