11 janvier 2009

La chanson de l'hiver

En ouvrant ma fenêtre ou en sortant dehors, une musique me parvient, douce et rugueuse à la fois: les voix d'oiseaux multiples et  aussi différents par l'allure que par le chant. Il y a le bruit d'un moteur proche, ronronnant tel un chat ou bien ronflant tel un tigre. En écoutant bien, j'entends même le vent, ce vent d'hiver rugueux qui fait onduler les feuilles, fait danser les branches les plus menues, fait chanter le monde. Tout cela mélangé dans une mélodie non dénuée de charme, mais changeant toujours. C'est pour moi une des plus belle chanson du monde: la chanson de l'hiver.

Maëlle

10 décembre 2008

un jour pas comme les autres (première neige)

Un jour alors que j'étais dans la chambre de mon frère où nous jouions à l'ordinateur, on apercevait qu'il neigeait. Le jardin était presque tout blanc et on ne voyait plus de verdure. On croyait voir une feuille toute blanche qui grandissait à chaque seconde. Puis, plus tard dans la journée, vers quinze heures la neige a fondu et il y avait un petit ruisseau à la place de la feuille blanche.

La pendule

Dans cette grande maison rue d'Aubervilliers, au n°36,  je passe le weekend, il y a trois étage [pluriel]. Ma chambre est au dernier. Elle est grande, spacieuse, mais au fond il y a une grande, ancienne, poussiéreuse pendule. Elle me tracasse, à chaque fois que je passe devant elle, celle-ci me fait sursauter. Cette pendule, elle est spéciale : à tout moment, elle peut vous attaquer, vous mordre, elle se transforme en monstre, en fantôme et puis elle revient à l'anormal. Personne ne me croit à par vous, alors ne vous inquiétez pas je percerai ce mystère.

                  

la route

Aujourd'hui, je pars pour Auxerre. A peine arrivé sur l'autoroute, des bouchons à perte de vue. Il me tarde d'arriver mais la route est encore longue. Le paysage défile devant moi. Il est magnifique : de beaux arbres, une vue superbe. Le soleil se couche peu à peu, il devient dans les tons rose pourpre, c'est fantastique. Maintenant qu'il est couché la nuit tombe, tout est de plus en plus sombre. Les arbres qui étaient verts sont devenus des fantômes, noirs, sans âmes. Heureusement on arrive enfin sur les coups de huit heures.

                                                              FIN

07 décembre 2008

Le "tableau"d'une des fenêtres de la classe de français

Quand je regarde à travers cette fenêtre, j'ai l'impression que c'est comme si je voyais un tableau animé. Des oiseaux prennent leur envol, des gouttes de pluie glissent lentement le long de la vitre, la lumière s'allume et s'éteint dans une pièce de l'immeuble d'en face ; bref, la ville s'éveille.       

Pour l'instant, le skate park est encore vide. Les arbres sont droits et morts et aucun bruit n'en sort. Les immeubles sont de couleur bleue, beige, grise, gris comme le ciel triste de ce mercredi trois décembre au matin.

Mathilde

Les fenêtres de la classe

Sur ma gauche, une série de fenêtres m'offrent une vue du monde. Là-bas, il y a cet immeuble, ses vitres fermées à cette heure matinale. Sa façade lisse n'offre aucune prise au regard qui est obligé de couler le long du mur avant de retrouver celui de la classe, blanc, impénétrable. L'immeuble bien que hachuré par les pans de mur clair occupe trois fenêtres. Derrière lui, d'autres habitations semblables apparaissent. Devant cette façade se dressent des arbres dénudés, dont le vent et l'hiver naissant ont emporté les feuilles .

Plus bas, on voit, le ruban de l'asphalte. La pluie lui a donné un aspect soyeux, mais on n'en voit pas la fin, elle est happée par le mur du collège. Nouvelle coupure.

Dans la quatrième des cinq fenêtres, on voit le "terrain miné ", cette pelouse d'apparence verte et qui cache pourtant un danger méconnue.

En dernier lieu, on voit l'église et son clocher, qui sonne de temps en temps, quand il en a envie.

La denière fenêtre m'offre quelques immeubles et devant ,les arbres rebelles qui ont refuser de céder leurs feuilles à la saison .

visite de l'île de la cité (google street)

Nous commençons notre visite sur les Quai du Louvre devant La Samaritaine. Faites attention au bus qui vous cache la vue sur la droite.
Avancez et prenez à droite le Pont Neuf. Ayant traversé, vous arrivez devant une manifestation et vous êtes obligés de faire demi-tour. Continuez à droite sur le Quai de la Mégisserie. Vous pouvez admirer les bouquinistes des Quai de Paris. Prenez le Pont au Change. Une fois arrivés, tournez à gauche sur le Quai de la Corse. Vous roulez à contre sens ! Puis faites le tour la place Louis Lépine. Longez les quais jusqu'à la rue de Harley. Prenez le Quai des orfèvre, puis le boulevard du Palais. Arrivé au bout revenez sur vos pas et continuez sur le Quai du marché neuf jusqu'à Notre Dame de Paris. Notre visite s'arrête devant cette imposante cathédrale.

06 décembre 2008

De la fenêtre de la classe je vois

Dans la classe, il y a plusieurs fenêtres. La première en partant de la gauche représente quelques arbres et le haut de l'église avec ses cloches scintillantes. Puis, si je tourne le regard, je vois une grue qui tourne dans tous les sens comme un manège. Dans le bas de la fenêtre, un toit d'immeuble sert d'abri aux oiseaux. Puis la troisième représention me dit que ce petit jardinet ne sert pas qu'à décorer, mais sert aussi à cacher les antennes du toit de la mairie.    

03 décembre 2008

vue de la fenêtre de la classe de français

                                                                        La vue de la classe de français     



La fenêtre est comme un tableau avec des arbres qui me font penser à des squelettes.

Ces petits immeubles sont comme des sculptures qui seraient peintes un peu partout.

Il y a aussi un espace vert comme un tapis de verdure.

Rien ne bouge, tout est calme sauf la fumée des cheminées qui s'agite et tourne. Et puis bien évidemment il y a le ciel, le ciel grisâtre avec ses nuages qui bougent.

Les nuages ouvrent mon imagination. Ce tableau me fait penser à un musée.

Lucile 

La vue de la fenêtre de la classe de français

                                                                            La vue de la fenêtre de la classe

De ma chaise, il suffit que je me lève pour voir une fenêtre. Par cette vitre, j'arrive à voir un arbre, ou plutôt ce qu'il en reste car, en hiver toutes les feuilles sont tombées et l'arbre ne ressemble plus qu'à un tas de branches. L'immeuble qui est derrière ce cadavre de bois a énormément de fenêtres. Juste derrière cet immeuble, je vois un cimetière d'arbres. Mais à côté du cimetière de branches, il y a un immeuble qui conserve la vie, c'est la mairie avec ses beaux buissons verts. Il y a quand même une fenêtre brûlée qui le rend triste. Presque aucun rayon de soleil ne brille même s'il y a une profonde entaille dans les vastes nuages. Un oiseau noir est posé sur un sapin vert plein d'épines ce qui le rend méchand, agréssif, ce qui est dommage car il est plein de vie.

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