Ca y est, plus que quelques heures et nous roulerons gaiement vers Vérone, Padoue et Venise !
Afin de vous faire patienter encore un peu, voici plusieurs documents. Le premier est une carte (Cliquez sur le lien !) qui représente notre trajet en bus depuis Garges-lès-Gonesse jusqu'à Venise. Entre la France et l'Italie, nous traverserons la Suisse.
- Laura Pausini, La solitudine, 1993, album La Solitudine, texte de Pietro Cremonesi et Federico Cavalli, musique de Angelo Valsiglio et Pietro Cremonesi (extrait youtube) :
- Eros Ramazzotti, Più bella cosa (C) 1997 BMG Ricordi Spa :
Par Sarah BACH (lycée Chateaubriand, Rome, Italie) le 01 mai 2014, 19:28
Travail interdisciplinaire de français et d'arts plastiques des 6eF, autour d'un poème de Henri Michaux, "Le grand Combat" :
Il l'emparouille te l'endosque contre terre ; Il le rague et le roupète jusqu'à son drâle ; Il le pratèle et le libuque et lui baruffle les ouillais ; Il le tocarde et le marmine, Le manage rape à ri et ripe à ra. Enfin il l'écorcobalisse. L'autre hésite, s'espudrine, se défaisse, se torse et se ruine. C'en sera bientôt fini de lui ; Il se reprise et s'emmargine... mais en vain Le cerceau tombe qui a tant roulé. Abrah ! Abrah ! Abrah ! Le pied a failli ! Le bras a cassé ! Le sang a coulé ! Fouille, fouille, fouille Dans la marmite de son ventre est un grand secret Mégères alentour qui pleurez dans vos mouchoirs ; On s'étonne, on s'étonne, on s'étonne Et vous regarde, On cherche aussi, nous autres, le Grand Secret.
Henri MICHAUX, "Le grand Combat" in Qui je fus,Gallimard, 1927.
Salve! Filia sum. Clavilem et cithara cano. Athletica sum. Gymnasticam amo. Linguam
latinam, germanicam, anglicam et hispanicam voco. Musicam audire amo. Spectare televisionem amo. Canere et tibiam amo.
Ce matin, après le
réveil et le petit-déjeuner, nous sommes allés visiter un site
archéologique, appelé Glanum. Cette ancienne ville
gallo-gréco-romaine avait l'étendue de quatre terrains de football.
Elle est en fait plus étendue, mais comme les vestiges s'abîment à
cause du climat, il faudrait beaucoup d'argent pour financer la suite
des fouilles et l'entretien du site avec des méthodes de
restauration antiques.
Puis nous avons visité
le Pont du Gard l'après-midi. Nous sommes entrés dans un musée
pour comprendre l'histoire de cet aqueduc. A côté, il y avait une
autre exposition sur les matériaux antiques. C'était amusant car on
pouvait manipuler les argiles exposés. C'était pas mal, c'était
interactif. Anaïs nous a récité son exposé sur l'histoire du
pont. Nous avons pu accéder sous le Pont, sur les berges du Gardon,
et au 1er étage pour le traverser. Nous n'avons pas pu accéder au
2e étage. On est parti faire un quart d'heure de temps libre.
Certains ont acheté une glace, d'autres ont perdu leur boule par
terre, quel gaspillage ! Sur le retour, nous avons joué à
action-vérité.