Sous-catégories

10 mars 2020

La mort, 403

C'était la première fois que je déménageais à Rio. C'était en mai 1983.

 

Un lundi soir j'allai manger au restaurant . En sortant du restaurant, il y avait une ruelle sombre qui ne menait à rien, cela était étrange car une ombre était passée dans la ruelle mais je ne voyais personne, je rentrais chez moi intrigué. Le lendemain soir, je repassais devant la ruelle à la même heure pour retrouver un ami de l'autre côté de la ville, vers 21heures 30, puis je revis cette ombre mais je ne voyais personne.

 

Les jours passèrent mercredi, jeudi, vendredi en repassant toujours devant cette même ruelle il y avait encore une ombre mais il n’y avait personne. Samedi je n'etais pas sorti, je regardais par la fenêtre qui menait à la ruelle. Il y avait un homme dans la ruelle je ne voyais pas son visage il était cagoulé.

Comme tous les dimanche j'allais à l'église. En sortant de l'église j'allais chercher mon journal. Il y avait écrit "MEURTRE DANS LA RUELLE SAINT-PATRICK" c'était la fameuse ruelle qui était sombre près du restaurant. Depuis tous les samedi soir ce phénomène arriva. Un homme mourrait tous les samedis soirs sans exception. Sur la scène de crime, il y avais toujours la même chose, des gants en plastique et un couteau plein de sang. Les victimes était toutes mortes de coups de couteau. Cela me faisait peur, j'étais terrifié car je ne savais pas qui allait être la prochaine victime, peut-être moi ou quelqu'un que je connaissais.

Le pommier courbé, 403

J'allais en direction de mon enclos avec mon chien Pak. Je vivais seul sans ma famille qui était morte tragiquement dans un accident. Mais bon ! C'était une nouvelle 1824 !

 

Depuis cet accident je gérais seul ma ferme éloignée de la ville. Je vis mon pommier qui était assez courbé, habituellement je ne regardais pas les pommes qu'il faisait mais ce jour là j'avais ressenti quelque chose d'étrange qui m'avait attiré à lui. Il était situé entre mon enclos de vache et ma jolie culture de blé. Les pommes étaient magnifiques j'en goûtais une qui était dégoûtante, je ne pus m'empêcher d'en prendre une seconde j'étais comme forcé par quelque chose, elle était très bonne. C'était étrange, une qui était délicieuse et l'autre mauvaise. Quelques jours après je retrouvais une de mes vaches par terre elle était morte. Le blé dans l'angle avait noirci, mon pommier aurait-il pu corrompre la terre ?

 

Le lendemain j'avançais vers le pommier confiant mais je trouvais encore une vache morte sur le sol. Mon chien était terrifié d'avancer vers le pommier avait-il peur de l'odeur du cadavre de la vache ou du pommier ? Mais comment ma vache était morte ? Je soupirai paniqué. Celà était très bizarre ! Je dois avouer que moi aussi j'avais très peur de ce pommier. Il était si grand et courbé en donnant l'impression de bouger.

 

Quelques semaines plus tard j'étais encore sous le choc. Pleins d'incidents s'étaient encore passés comme plusieurs objets dans ma maison qui ont bougé, des ombres étranges dans ma maisons... J'avançais en direction du pommier, je pris mon courage à deux mains et me souvenais de la hache de mon père qu'il rangeait toujours dans la grange. Plusieurs heures plus tard je retrouvai cette hache qui était encore en bon état, je la pris, m'avançais vers le pommier. J'étais terrifié à l'idée de l'abattre, s’il me donnait une malédiction !

... Quelques minutes plus tard j'avais fini de le couper, il était coriace. Le soir je me couchais rassuré.

 

 

Le lendemain je me levais très malade pendant trois jours j'étais gravement malade. Pendant trois jours j'étais gravement atteint d’un mal inexplicable qui me donnait des hallucinations sombres.

Puis un jour, j'ouvris ma porte j'étais rétabli, je voulais aller voir si mes vaches étaient encore vivantes ! Je vis sur la ouche du pommier un signe terrifiant !!!

Le sorcier mystérieux, 403

Un soir, vers 17 heures, je me baladais dans la forêt. J'aperçus une espèce de portail iréel que nous ne voyons que dans les films. Je me rapprochais doucement, apeuré, angoissé et vis une personne qui ressemblait à un sorcier.

 

Il avait un long manteau à capuche bleue, une longue barbe blanche et surtout des vases qui semblaient être des potions magiques. Je me touchais les yeux, les fermais et les réouvrais. Mais non, celà était bel et bien vrai.

 

Je poussais un cri de frayeur.

 

Le sorcier m'avait entendu, me poursuivit, il me mit un objet sur la tête que je n'avais jamais vu auparavant et m'emmena quelque part.

 

Je me réveillai dans une grotte avec pleins de sorciers, gobelins, sorcières. Je fus choqué, inquiet, intrigué. Que va-t-il m'arriver ? J'étais dans le noir, assis sur de la terre. J'avais juste une bougie allumé près de moi. Entouré de gobelins, sorciers et sorcières qui chantaient avec des cris étranges.

 

Tout à coup, je me mis à crier en voyant passer un rat affamé près de moi.

Les araignées frôlaient mon visage. Je tremblais. Une vieille dame s'approcha de moi avec une petite assiette et du pain. Un des plus grands sorciers vint près de moi et me demanda qui j'étais. Avec son regard noir qui me fixait, je lui répondis, inquiet :

« -Mon prénom est Maceo. »

Il fronça les sourcils et me demanda d'un geste de me lever. J'étais dirigé vers une pièce à côté bien plus agréable avec la lumière du jour. Là j'ai attendu plusieurs heures tout seul. Autour de moi je voyais des vêtements par terre. Ils étaient peut-être à d'autres prisonniers morts avant moi ? J'étais presque en larmes de peur.

 

Quelques heures plus tard, une femme vêtue d'un tissu noir et déchiré me fit signe de la main de venir... Elle ne parlait pas ma langue apparemment.

Je me retrouvai dans une salle de torture. On me mit des chaines aux pieds, on m'assit sur une chaise en fer froide. On me tortura en me demandant si j'étais un espion. Je dis :

"-Non, pas du tout".

Le sorcier me dit :

"-Tu es un menteur ! Qui es-tu ?".

Là je me mis à paniquer. Je pensais qu'on allait me tuer.

 

Tout à coup j'entendis des bruits venant de dehors, et je vis les sorciers se faire attaquer par des Ninjas puissants qui tuèrent tout le monde pour ensuite me libérer. J'étais très soulagée de savoir que ma torture était terminée.

 

Content, j'ai remercié les Ninjas et ils m'ont indiqué la route pour rentrer chez moi.

 

Inquiet, je me dépêchais de rentrer car j'avais peur de rencontrer d'autres sorciers et j'hésitais beaucoup sur le chemin pour trouver la route la plus sure et rapide pour rentrer.

Mon étrange bébête..., 403

Un jour de printemps, ma mère décida que le grand nettoyage était venu.

« Plus une poussière ne devait rester dans la maison ! » décréta celle-ci.

Chiffon, serpillière et balai étaient de sortie.

Mes consignes données je m’attelai à la tâche, j'entrepris de ranger le garage et la cave de la maison avec mon père, car, il avait accumulé beaucoup d'objet inutiles.

« - Je les réparerai plus tard ! » disait-il. Mais plus tard n'arrivait jamais.

Ce fut donc un grand déménagement de bric et de brac en tout genre toute la matinée.

 

Ma mère nous descendit de la limonade pour nous désaltérer, mais angoissée, tendis le plateau à mon père car cela faisait quelques mois qu'elle refusait obstinant de descendre à la cave.

Un jour elle avait hurlé à plein poumons en remontant de celle-ci nous affirmant que la cave était hantée car elle avait entendu une voix. Mon père lui avait soutenu que c’était la chaudière, horrifiée, elle ne la jamais cru.

Moi ça m'avait bien fait rire !

 

Après le repas, mon père me chargea de ranger les placards, monté sur l'escabeau, je descendis les décorations de noël entreposées là.

« - Ne touche pas à ça ! »

-Tu m'as parlé papa ? dis-je en me retournant vers mon père, mais il n’était pas là.

J'ai dû rêver » pensais-je étonné.

L’après-midi toucha à sa fin comme notre travail. Ma mère était ravie : la maison était très propre !

Elle m'ordonna d'aller me laver car fatigué, j’étais aussi très sale et ma tête me grattait.

Sous la douche j'entrepris de me laver les cheveux, mais des cris de terreur me fit sursauter de surprise.

Regardant autour de moi, je ne pus que constater que j’étais seul.

Convaincu d'avoir de l'eau dans les oreilles je continuais ma toilette, mais les cris recommencèrent.

J'avais franchement peur.

Est-ce que j'entendais vraiment des voix ? Y avait-il vraiment quelqu'un avec moi ?

Je sortis de la douche pour me sécher et devant le miroir je vis une petite boule noire descendre le long de mon oreille. Terrorisé je ne pus même pas bouger. Ce ne fut que sur mon épaule que je compris la réalité de l'étrange boule noire. Mais celle-ci me regarda furieuse et me dit :

« -Tu as failli me tuer ! »

Interloqué je me suis demandé que faire ? Hurler ? Lui répondre ? L'ignorer ?

Et je tombais dans les pommes...

Voiture hantée, 403

Un beau matin, Mr Dupon alla au travail avec sa toute nouvelle voiture électrique bleu nuit.

Alors qu'il roulait tranquillement sur une double voie, la magnifique voiture tourna toute seule et créa de la panique au conducteur. Le cœur de Mr Dupon palpita à toute vitesse, il crut que c'était lui-même qui avait touché au volant de la voiture électrique sans faire exprès. Alors il reprit ses esprits et continua à rouler jusqu'à son travail. Mr Dupon était patron de sa propre entreprise.

Il se gara entre deux voitures, puis il se dépêcha de sortir de sa voiture après avoir regardé sa montre. Il était en retard de cinq minutes, pour un employé cela ne parait pas très grave, mais un patron ne peut pas se le permettre.

 

Toute la journée il travailla sans relâche pour récupérer le temps perdu, le soir arrivé Mr Dupon voulut reprendre sa voiture pour rentrer chez lui mais il ne la vit pas. Alors Mr Dupon paniqua, il essayait de se rappeler s’il l'avait bien garée sa voiture à cet emplacement le matin. Oui il était persuadé de l'avoir garée ici ! Alors il fit le tour du grand parking de plus de trois cent mètres, et là un soulagement se fit sentir dans le cœur de Mr Dupon. Au loin la voiture bleu nuit se démarqua des autres voitures fades de couleur. Alors il reprit sa voiture et reprit la route d'une demi-heure qui l'attendait. Après dix minutes de route, la radio s'alluma toute seule et le klaxon retentit pendant vingt secondes. Arrivé, Mr Dupon se demanda pourquoi sa voiture lui jouait des tours, alors il prit rendez-vous chez le garagiste. Trois jours après le garagiste lui dit que cela était un défaut du système électrique de la voiture

page 2 de 2 -