05 février 2013

Le Tétanos

Source : Google image
  •  Historique :

Cette maladie est apparue chez l'Homme en 1884.

les symptômes de la maladie sont connus depuis la plus haute antiquité, ce n'est qu'en 1854 que la présence d'une plaie fut désignée comme cause première par Sir James Young Simpson ; et Arthur Nicolaier en identifia le germe en 1884 de plus c'est en 1889 qu'il put être cultivé et purifié par Shibasaburo kitasato.

  • Présentation de la maladie :

Chez l'adulte, les premiers signes sont souvent une dysphagie (douleurs et difficultés à la déglutition) et une douleur de la nuque. Chez le nouveau-né, tout débute par un refus de téter. Au fur et à mesure que l'infection progresse, apparaissent plusieurs autres symptômes. Une transpiration abondante est fréquente. La contracture des muscles de la paroi abdominale peut simuler un abdomen aigu. Viennent ensuite les spasmes généralisés (membres supérieurs en flexion, membres inférieurs en extension), déclenchés par n'importe quel stimulus (bruit, lumière, toucher) ou survenant spontanément dans les formes graves. La maladie évolue alors inexorablement vers l'arrêt respiratoire.

Si le tétanos a pratiquement disparu des pays dans lesquels l'hygiène et l'alimentation sont adéquates, il demeure un problème de santé publique majeur dans nombre de pays en voie de développement. Les estimations les plus récentes font état d'environ un million de cas par an, en majorité concentrés dans une vingtaine de pays d'Afrique et d'Asie. Dans les pays industrialisés, le tétanos ne se rencontre que très rarement, le plus souvent chez les personnes âgées. En France, l’incidence du tétanos est passée de 25 cas par million d’habitants en 1946, à 0,5 cas par million d’habitants actuellement. Une évolution similaire s’observe dans tous les pays où les conditions de vie sont élevées. Aux États-Unis, il existe actuellement moins de 50 cas par an. La mortalité du tétanos varie selon les études, mais se situe à moins de 1 % dans les pays où les mesures d'hygiène publique de base sont avancées. Dans les zones rurales d'Afrique, le taux de mortalité du tétanos néonatal peut atteindre 90 %. Dans les pays en voie de développement, le tétanos est l'une des principales causes de décès néonatal.

  • Présentation du micro-organisme à l'origine de cette maladie :

Le tétanos est causé par la contamination d'une plaie, quelle qu'elle soit, par la bactérie Clostridium Tetani. Les plaies profondes, les plaies contenant des tissus dévitalisés ou un corps étranger créent un environnement plus favorable au développement du Clostridium tetani, mais n'importe quelle effraction cutanée, même la plus superficielle, peut permettre l'infection : abrasion cutanée, brûlures ou engelures, chirurgie, avortement, otite moyenne aiguë, toxicomanie intraveineuse. Le tétanos peut également compliquer certaines maladies chroniques.

       

Sources : Google image

Depuis la plaie infectée, le Clostridium tetani produit une neurotoxine appelée tétanospasmine qui pénètre dans les extrémités terminales des nerfs moteurs et migre vers la moelle épinière et le tronc cérébral. Là, la toxine se fixe et bloque la libération des neurotransmetteurs inhibiteurs. Ensuite, il y a une augmentation de l'activité des neurones moteurs et cela provoque les spasmes musculaires caractéristiques du tétanos.

Il existe trois formes de tétanos : le tétanos généralisé (touchant tout le corps ; dans 80 % des cas, et la plus grave), le tétanos localisé à un membre ou à un groupe musculaire, et le tétanos localisé à la tête (tétanos céphalique, atteinte des nerfs crâniens).

  • Méthodes de lutte contre la maladie :

Le type de prévention le plus répandu est la vaccination anti-tétanique, obligatoire en France et au Canada jusqu'à l'âge de 18 mois. Le risque de tétanos est improbable avant que l'enfant ne commence à marcher ; aussi est-il préférable d'attendre l'âge d'un an avant de débuter cette vaccination. Les rappels tous les 10 ans sont recommandés. Le vaccin antitétanique n'est pas supposé offrir de protection directement contre la bactérie, qui en soi n'est pas une menace, mais contre la toxine. Il se compose d'une forme inactivée de cette toxine.

Le traitement a plusieurs objectifs : 1) diminution de la production de toxine, 2) neutralisation de la toxine qui n’a pas encore pénétré le système nerveux, 3) contrôle des spasmes musculaires et 4) prise en charge des complications. L’antibiothérapie permet de diminuer le nombre de bacilles produisant la toxine. Le traitement de premier choix est maintenant le métronidazole IV. La pénicilline G, longtemps utilisée, n’est actuellement plus recommandée en première intention. L’administration d’immunoglobine anti-toxine tétanique permet de neutraliser la tétanospasmine qui n’a pas encore gagné le système nerveux. 

La clé du traitement est le contrôle des spasmes (l’antibiothérapie et les immunoglobulines limitent l’évolution de la maladie mais n’ont aucun effet sur les symptômes). Le patient doit d'abord être placé dans un environnement calme et sans lumière pour limiter au maximum les stimuli ( cela désigne tout ce qui est de nature à déterminer une excitation chez un organisme vivant) susceptibles de déclencher des séries de spasmes, il faut aussi éviter autant que possible de le manipuler. Le traitement vise à contrôler les spasmes durant plus de 5-10 secondes pour prévenir l'arrêt respiratoire.

 

La maladie du sommeil, Julien Bonin

Historique :


  En Afrique, la présence de la maladie du sommeil est attestée depuis le XIVe siècle.

Ce n’est pourtant qu’au début du XXe siècle, en 1902 et 1903, que Sir David Bruce découvre l’agent parasitaire de cette affection, auquel il laisse son nom : le trypanosome de Bruce (Trypanosoma brucei), et en 1910 qu'il identifie avec précision son insecte vecteur, la mouche Glossina palpalis plus couramment appelée la mouche tsé-tsé.


Source : http://bmw323i.canalblog.com/archives/2012/06/26/24580497.html

Présentation de la maladie :

La maladie du sommeil provoque chez l'homme des symptômes qui commencent par de la fièvre, typiquement intermittente, des maux de tête, et des douleurs articulaires. Comme les parasites pénètrent dans l’organisme à la fois par le sang et par le système lymphatique, les ganglions lymphatiques gonflent souvent et atteignent des tailles énormes. En l’absence de traitement, la maladie déborde progressivement les défenses de la personne infectée, et de nouveaux symptômes apparaissent, notamment l’anémie, les troubles cardiaques et rénaux.  La maladie entre alors dans sa phase de troubles neurologiques.  Les symptômes de cette deuxième phase donnent son nom à la maladie ; en plus de la confusion mentale et des troubles de la coordination, le cycle du sommeil est perturbé, ce qui entraîne des accès de fatigue alternant avec des périodes d’agitation maniaque apparaissant le jour avec un assoupissement et la nuit avec l'insomnie. Sans traitement, la maladie est mortelle, avec une détérioration mentale progressive aboutissant au coma et à la mort. Les dommages causés dans la phase neurologique peuvent être irréversibles.

La maladie est particulièrement présente dans certaines régions de l’Afrique subsaharienne, couvrant environ 36 pays et menaçant potentiellement 60 millions de personnes. Il est estimé que 50 000 à 70 000 individus sont actuellement infectés par an, le nombre ayant diminué légèrement ces dernières années.


Présentation du micro-organisme à l'origine de cette maladie :

Le micro-organisme responsable de cette maladie est le virus de Trypanosoma brucei.

source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Trypanosoma_sp._PHIL_613_lores.jpg

Trypanosoma brucei dans le sang d'un patient atteint de la maladie du sommeil.

Ce virus appartient à la famille des Trypanosomatidae.

En plus de la piqûre par la mouche tsé-tsé, la maladie peut se transmettre de la manière suivante :

  • De la mère à l'enfant : le virus peut infecter le fœtus, il y a un risque de mort périnatale.
  • En laboratoire : infections accidentelles, par exemple, au cours de la manipulation du sang d’une personne infectée ou par une transplantation d'organe, bien que ce soit rare.
  • Sexuellement : avoir des rapports non protégés avec une personne atteinte pourrait la transmettre.

Quelques semaines passées après une piqure de la mouche tsé_tsé, les micro-organismes envahissent les méninges et le liquide céphalo-rachidien.

Méthode de lutte contre la maladie :

Il n'existe pas de vaccin ni de prévention médicamenteuse contre la maladie du sommeil. La prévention et le contrôle se focalisent, là où c’est possible, sur l'extirpation de l'hôte parasite, la mouche tsé-tsé. Deux stratégies ont été employées alternativement dans les tentatives pour réduire les trypanosomiases africaines :

  • L'une des tactiques est principalement médicale ou vétérinaire et vise directement la maladie en utilisant la prophylaxie, le traitement, et la surveillance pour réduire le nombre d'organismes porteurs de la maladie.
  •  La deuxième stratégie est généralement entomologique et prévoit de perturber le cycle de transmission en réduisant le nombre de mouches.

Il n'existe pour l'instant, aucun soin contre la maladie.


 

28 novembre 2012

Fête de la Science à Gif sur Yvette par Maysan Amri 2012

                                                                    Fête de la science à Gif sur Yvette
                                                                             Par Amri Maysan 2012

 

Tout d’abord nous nous sommes divisés en deux groupes en arrivant à la fête de la science à Gif sur Yvette. Les groupes étaient dirigés par Mme Gervais et M Bouroumeau. Puis nous avons visités différents ateliers :

Groupe de Mme Gervais :
• DGA essais propulseurs (atelier 12) www.defense.gouv.fr/dga/
•  Air liquide (atelier 10) www.airliquide.fr
• CNRS (atelier 2) www.crg.cnrs-gif.fr
• INRA Moulon (atelier 29)
• Synchrotron SOLEIL (atelier 16)
• TELECOM SudParis  (atelier 38)
• Synchrotron SOLEIL (atelier 17)
• SUPELEC (atelier 22) www.supelec.fr-direction.etudes@supelec.fr

Groupe de M Bouroumeau :
• INRIA Saclay-Île-de-France (atelier 13) inria.fr
• FAC LIMSI/CNRS (atelier 7)
• Synchrotron SOLEIL (atelier 15)
• INRAP (atelier21) inrap.fr
• DGA essais propulseurs (atelier 12) www.defense.gouv.fr/dga/
• HANDI-FDS (atelier 39) www.synchrotron-soleil.fr
• TELECOM SudParis (atelier 37)
• INRAP (atelier 20) inrap.fr

DGA (atelier 12) :
   Au stand de la DGA (Direction Général de l’Armement), nous avons essayé un simulateur Alpha jet de la PAF (patrouille de France).Puis, quelques explications nous ont été fournies au sujet des boîtes noires. Il y a deux sortes de boîtes noires : une pour enregistrer les communications entre pilote (et copilote) et contrôleur  et  l’autre pour enregistrer les manœuvres faites par le pilote. Un vol en Mirage F1 retranscrit sous forme de simulation nous a été présenté. Une prestation époustouflante !

Air liquide (atelier 10) :
   Au stand de l’air liquide, une maquette des différentes étapes de stockage du CO2 nous a été présentée. Ainsi qu’une expérience très intéressante : une façon de souder des pièces d’un avion avec de l’air liquide (à -196°) et encore d’autres expériences toutes aussi intéressantes. Vous retiendrez qu’Airliquide est une entreprise favorisant le développement durable en captant et en stockant le gaz à effet de serre.

CNRS (atelier 2):  
   Au stand du CNRS, centre de recherche de génétique moléculaire, des généticiennes nous ont présenté  des micro-organismes comme la levure et des drosophiles (par exemple des mouches) mutants .Ces micro-organismes de l’ordre du nanomètre, fonctionnent comme nos cellules ; en changeant un des gènes, on change une couleur. C’est comme cela que l’on fait un mutant.

INRA Moulon (atelier 29) :
    Tout comme le CNRS, l’INRA est un centre de recherche de génétique moléculaire. Il nous a été présenté différents principes de sécurité au sein de l’entreprise et d’autres règles à appliquer pendant l’utilisation de produits dangereux.

Synchrotron SOLEIL (atelier 16/17) :
    Aux stands 16 et 17 de synchrotron SOLEIL, des explications au sujet de la lumière nous ont été données : Qu’est-ce que la lumière ? De quoi est-elle composée ? Comment la décomposer ?...etc. En effet, les scientifiques ne sont pas tous d’accord sur le fait que la lumière est de l’énergie ou une onde, mais nous savons que la lumière se décompose avec un prisme et qu’elle est composée de couleurs différentes. Une expérience nous a été aussi présentée : comment orienter de façon manuelle des électrons. Nous avons aussi observé un cristal, très impressionnant, car sous sa forme naturelle, il avait des formes géométriques et présentait toutes les couleurs de la lumière.

TELECOM SudParis (atelier 38)
    Les intervenants de TELECOM SudParis, nous ont appris que leur entreprise avait développé un système de domotique. Ce système permet d’avoir une télévision multifonction et de pouvoir avoir un contact direct entre cette dernière et son téléphone portable. Nous avons bien sûr assisté à une démonstration.
 

 SUPELEC (atelier 22)
    SUPELEC étant une école d’ingénieurs de l’information, de l’énergie et des systèmes, certains étudiants de cette école nous ont présenté leurs sujets d’études : robotique et systèmes interactifs dans le milieu de l’informatique ; électromagnétisme et communications dans le milieu de la radiocommunication ; réseaux, images et systèmes électroniques dans le milieu du traitement de signal et de l’électronique ; l’énergie et encore d’autres milieux.
                                                                      

18 novembre 2012

"Fête de la science option dp3 année 2012 Gif-sur-Yvette (par tony ciccheleo) *

Avec l’option DP3, en classe de 3ème au collège Maryse Bastié, nous avons effectués une sortie lors de la fête de la science à Gif-sur-Yvette dans le gymnase du Moulon.  Les thèmes abordés étaient nombreux : la  biologie, l’archéologie, la génétique, les énergies, la chimie  et biens d’autres…

Un des sujets m’a particulièrement intéressé : L’azote liquide.

          

L’azote liquide est un gaz qui se conserve sous forme liquide à une température de  -195,79°C, ce qui oblige de le stocker dans des bombonnes thermiques spécifiques comme par exemple, le vase de Dewar.

L’azote liquide est utilisé dans divers domaines, notamment :

Ø  les soins avec le traitement de verrues ou de tumeurs du cancer de la peau,

Ø  l’alimentaire pour la surgélation,

Ø  l’informatique pour le refroidissement de certains processeurs,

Ø  dans les transports

Ø  ....

Le stand nous a été présenté par un employé de la société Air liquide. Au cours d’un atelier, il a utilisé l’azote liquide pour briser une pièce en caoutchouc qui était très flexible et donc incassable dans des conditions normale.  Le froid apporté par l’azote liquide a durci la pièce la rendant ainsi cassable.

                                                                       Tony Cicchelero                            

        

13 novembre 2012

Sortie à la fete de la Science.

le vendredi 12 octobre nous sommes partis pour la fete de la science. La fete de la science etait organisé sous forme de stand. Nous avons vagabondé vers ces différents ateliers. Personnelement un stand m a attiré l'oeil: "les gestes d aujourd' hui pour comprendre ceux du passé".

Deux personnes, travaillant pour l inrap a l animaient cette atelier. Ce stand nous permettait de mieux comprendre les technologie anciennes en refesant aujourd' hui les gestes du passé. 

Sortie à la fete de la Science.

Vendredi 12 Octobre Matin à 8h15

Nous sommes allé à la fete de la science en bus, arrivé a Gif sur Yvette, nous sommes arrivé dans une salle de gymnase pretée pour l'occasion.
Chaque stande était départagé par un sorte de volets.
Nous nous sommes séparés en deux groupes.
Après avoir visté plusieurs standes, il y en a un qui m'as personnellement plu.

L'atelier n°12: "Le simulateur du vol de l'Alphajet''

(Alexis Conquis 3°1)

 

 

 

 

 

 

 

 

On décollait de la base du Centre d'Essais en vol D'istres, et on volait au dessus de la region Provences-Côtes-d'Azur, les conditions météorologiques étaient difficiles et on devait attérires tel un pilote de la Patrouille de France.
Si on faisait un erreur d'attérissage on finissait écrasé et on passait notre tours.

La cabine étais ressemblante au vrai avion.
La vison étais projeté sur un vidéoprojecteur avec une qualité moyenne

Mais les commandes étaient plus que ressemblante..
Ce qui est dommage c'est que on était limité à 10 min par personnes.

Fête de la Science 2012 par Alexandre Aubertin 3ème1

Photos prise par Mme Gervais et Mme Gaborit à la fête de la Science le vendredi 12 octobre 2012.

 

Pendant la demi-journée, nous avons assisté à plusieurs ateliers différents selon les groupes ( Groupe Mme Gervais/Gaborit et Groupe M. Bouroumeau ).

 

 

 

 

                                                          LES MEDAILLES FIELDS

 

La médaille Fields est la plus prestigieuse récompense pour la reconnaissance en travaux en mathématiques, souvent comparée au prix Nobel. Son fondateur est le mathématicien Canadien John Charles Fields qui en proposa sa création en 1923.

La médaille Fields est attribuée tous les quatre ans depuis 1936 au cours du congrès international des mathématiciens. Depuis 1966, jusqu'à quatre lauréats peuvent recevoir la médaille. En plus de la très prestigieuse médaille, les lauréats reçoivent un prix de 15 000 dollars canadiens, ce qui équivaut à un peu plus de 10 000 euros.

Les derniers lauréats en date ( en 2010 ) furent le Français Cédric Villani, le Franco-Viêtnamien Ngô Bao Châu, l'Israëlien Elon Lindenstrauss et le Russe Stanislav Smirnov.

Au classement des pays, les Etats-Unis dominent le classement avec 12 médailles. La France suit juste derrière avec 11 médailles. La Russie complète le podium avec 9 médailles.

Au classement par institutions, l'Université de Princeton aux Etats-Unis est loin devant avec 13 médailles suivie par l'Université de Paris avec 7 médailles. La dernière marche revient aux universités de Cambridge et de Harvard aux Etats-Unis et à l'institut des hautes études scientifiques de Bures-sur-Yvette avec chacun 3 médailles.

Il est à noter qu'un même scientifique ne peut recevoir deux fois la médaille.

Le lieu de remise des prix varie à chaque fois. Il n'y a donc pas de siège précis.

Médaille Fields  Photo recto-verso de la médaille   Source : http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid52814/les-mathematiciens-francais-champions-du-monde-de-cette-discipline.html

16 octobre 2012

Sortie fête de la science à Gif sur Yvette

Nous avons fait une première visite pour la fête de la science à Gif sur Yvette.

 

 Nous avons fait plusieurs stands mais je vais vous en parler de un en particulier:

     Il s'agit de l’entreprise INRIA (inventeur du monde numérique)

Quand nous somme arriver sur le stand, nous avons commencer par faire un jeu. On a appri les secrets d'internet, des astuces mathématique et ce que cache la recherche mathématique.

Voici quelques questions que l'on nous a posé:

    - qu'est ce que le theoréme de Pythagore?

    - à quoi correspond l'abréviation "mp3"?

    -à quoi correspond le signe "@"?

    - comment dit-on internet en anglais?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                           (photo prise par M. BOUROUMEAU lors de la fête de la science)

Ensuite nous avons fait un jeu pour découvrir comment notre cerveau décode les mots que l'on lit.

 

 

 

   (photo prise par M. BOUROUMEAU lors de la fête de la science)

 

 

 

 

Fête de sciences Gif sur Yvette

 
                                                                             

Le vendredi 12 octobre, nous sommes allées à la fête de la science, qui s’est déroulée à Gif sur Yvette. Nous avons vu de nombreux stands variés dans un grand gymnase. Parmi tous ces stands, il y en a un qui m'a particulièrement plu. Il s’agit de celui de l’INRAP. Deux archéologues nous ont expliqué leur métier. Ils nous ont présenté différentes pierres. Les archéologues nous ont aussi parlé de leurs découvertes récentes, comme par exemple, le squelette de mammouth découvert en Seine et Marne, ce qui est assez exceptionnel. L'archéologie préventive permet d’étudier, de fouiller et de comparer une partie des sols où des travaux sont prévus.  Ainsi, la connaissance du passé est enrichie grâce à l’aménagement du territoire. L'archéologie expérimentale permet également de mieux comprendre les technologies anciennes en refaisant aujourd'hui les gestes du passé.

Les archéologues nous ont montré comment les hommes préhistoriques taillaient leurs silex.

                                                

  

                         

Lien : http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/Actualites/Communiques-de-presse/Les-derniers-communiques/Communiques-nationaux/p-2808-Communiques-de-presse-nationaux.htm

Bonin, Julien, 2012"fête de la science"

Lors du vendredi 14 octobre, nous (les personnes faisant parti de l'option dp3) sommes allés à la fête de la science. Il y avait toutes sortes d'expériences.

Logo de la fête de la science.

 

De l'azote liquide était contenue dans un seau métallique. Du bout de ce seau coulait du protoxyde d'azote (azote liquide plus dioxygène) ce liquide est très inflammable car une allumette qui vient tout juste d’être éteinte, peut être rallumée si elle est au contact de protoxyde d'azote. L'azote liquide est à -196 C° ! Un tube en plastique ne peut pas être brisé par un marteau sauf si il a été plongé dans de l'azote liquide!

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Fluessiger_Stickstoff.jpg

L'azote liquide est très dangereux !

Panneau des interdictions liées à la proximité d'azote liquide.

L'azote liquide a de nombreuses utilisations voir sur le site ci-dessous.

Exemple d'utilisations

On le stocke dans des bonbonnes isothermes réservées à cet usage.

Bonbonnes isothermes contenant de l'azote liquide.

L'azote liquide est un liquide cryogénique très courant, tant dans le domaine de la recherche scientifique que dans l'industrie. En particulier grâce à son faible prix.

Julien Bonin

 

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