dix mois d'école et d'opéra collège georges pompidou

Sonnet à l'attention de Sylvie Barret, chef de chant à l'Opéra de Paris

Vos mélodies somptueuses
Accordées de talent,
Font un nombre de possibilités merveilleuses
Méritant 1er rang.
Toute symphonie est dans vos cordes,
Vibrant piano ou clavicorde
Vos mains,productrices de bonheur
Mais vibrant nos coeurs.
Empathie impossible,
Car le ressenti à l'entente est indescriptible

Israfil


Lettre des élèves de 4e2 à Sylvie Barret, chef de chant à l'Opéra de Paris

Classe de 4e2
Collège Georges Pompidou
1 Avenue Georges Pompidou                                                                          
 

A Villeneuve-la-Garenne, le 18 mai 2018,

Madame Barret,

Bonjour,

Nous espérons que vous vous portez bien.

Tout d’abord, nous voudrions vous remercier pour le chaleureux accueil que vous nous avez offert malgré notre retard et nous avons été très touchés par le message que vous avez envoyé à Claire à notre attention.

Cette rencontre nous a beaucoup plu, nous sommes ravis d’avoir pu prendre conscience de la difficulté de votre métier et surtout vous avez su nous transmettre votre passion. Vous nous avez accueillis très chaleureusement et vous étiez fort sympathique. Votre sympathie est d’ailleurs à la hauteur de vos talents musicaux. Et, quand vous nous avez joué du piano, vous vous êtes métamorphosée comme si vous étiez dans un autre monde. Ce fut incroyable de voir une telle concentration.

Quant au spectacle Roméo et Juliette qui a suivi notre rencontre, il était très réussi. Nous avons vraiment beaucoup apprécié le décor et la mise en scène. Ayant étudié l’œuvre en classe, nous étions tout de même parfois perdus dans certaines scènes du ballet. Lors de notre rencontre avec Félix Malonda, le régisseur du spectacle, nous avons eu également la chance de voir la danseuse interprétant le rôle de Juliette s’entraîner devant nous, c’était époustouflant, elle était si gracieuse.

C’était une journée mémorable, nous avons eu la chance de vous rencontrer et d’assister à la répétition générale de ce magnifique ballet. En espérant vous revoir bientôt sait-on jamais.

Nous attendons avec impatience une réponse à notre courrier.

 

Nos salutations les plus distinguées.

 

La classe de 4e2 du Collège Georges Pompidou à Villeneuve-la-Garenne


Roméo et Juliette : Acte I, Scène 1 (scène réécritepar Hajar et Yanis)

Acte I, scène 3 - RÉÉCRITE

PERSONNAGES : LA NOURRICE, JULIETTE, LADY CAPULET + VALET

 

Lady Capulet et la nourrice entrent dans la maison des Capulet.

 

LADY CAPULET – Nourrice, où est Juliette ? Appelle-la.

LA NOURRICE – Juliette, t’es où ?

Juliette entre.

LA NOURRICE – Votre daronne.

JULIETTE – Chuis là, y a quoi ?

LADY CAPULET – J’ai une bonne nouvelle à t’annoncer ! Nourrice, dégage… en fait, reviens !

LA NOURRICE – Je parie que Juliette a quatorze piges.

LADY CAPULET – Tu racontes quoi ? Elle en a quinze.

LA NOURRICE – Je me souviens quand elle avait 3 ans, elle courait dans le marché et est tombée dans le crottin de cheval.

LADY CAPULET – La ferme, nourrice.

La nourrice rigole.

JULIETTE – Nourrice, stop.

LA NOURRICE – OK

LADY CAPULET – Voilà, tu veux quoi pour ton mariage ?

JULIETTE – J’y ai jamais pensé.

LADY CAPULET – Eh bien, penses-y.

LA NOURRICE – Ouais ma belle, cet homme est sucré.

LADY CAPULET – Cet homme est une pépite.

LA NOURRICE – J’aurais aimé être à ta place.

LADY CAPULET – Dommage, t’es moche maintenant. Ce soir, il sera au bal.

LA NOURRICE – Fais attention, les femmes grossissent et deviennent moches auprès des hommes.

LADY CAPULET – Bref, tu veux épouser Pâris.

JULIETTE – Je pourrais l’aimer si le coup de foudre existait.

Le valet entre.

VALET – Eh tantine, les invités sont là, on t’attend.

LADY CAPULET – Allez, on y va.


Roméo et Juliette : Acte I, Scène 1 (scène réécrite par Hajar et Yanis)

Acte I, scène 1 - RÉÉCRITE

PERSONNAGES : SAMSON, GRÉGOIRE, ABRAHAM + BENVOLIO, TYBALT

 

SAMSON – Grégoire, sur ma parole, on ne va pas supporter leurs disputes.

 

GRÉGOIRE – Ouais, je suis trop d’accord avec toi, on s’en fiche de leurs disputes.

 

SAMSON - Je veux dire qu’il commence à m’souler, s’ils me mettent en colère, ils vont me connaître.

 

GRÉGOIRE – Non, mais fais gaffe, ça peut aller loin.

 

SAMSON – Voici mon épée, elle t’attend, je suis derrière toi.

 

GRÉGOIRE- Ouais, tu es derrière moi mais c’est pour mieux dégager.

 

SAMSON – T’inquiète pas pour moi.

 

GRÉGOIRE – De toi ? Bien sûr que non.

 

SAMSON – Viens, on met la loi de notre côté et on les laisse commencer.

 

GRÉGOIRE – Je vais les regarder de travers en passant à côté d’eux, ils le prendront comme ils veulent.

 

SAMSON – Je vais tiper en les regardant de travers et ça sera une insulte pour eux, s’ils le supportent.

 

ABRAHAM – C’est moi que vous tipez monsieur ?

 

SAMSON – Je tipe monsieur ?

 

ABRAHAM – C’est moi que vous tipez monsieur là ?

 

SAMSON (à Grégoire, tout bas) – Est-ce que la loi est avec nous si je réponds oui ?

 

GRÉGOIRE (bas) – Pff, non !

 

SAMSON (à Abraham) – Non monsieur, c’est pas vous que je tipe, monsieur, mais je tipe, monsieur

 

GRÉGOIRE (à Abraham) – Vous cherchez des problèmes monsieur ?

 

ABRAHAM - Un problème monsieur ? Non monsieur

 

SAMSON- Si vous en cherchez monsieur, je suis votre homme. Mon père est aussi bon que le vôtre.

 

ABRAHAM – Mais pas meilleur.

 

SAMSON – Si vous voulez monsieur.

 

SAMSON (à Abraham) –  Mais si, monsieur, meilleur !

 

ABRAHAM – Vous avez menti.

 

SAMSON – Sors ton arme si t’es un homme. Grégoire, souviens-toi de ton coup fétiche.

 

BENVOLIO – Séparez-vous imbéciles, rangez vos épées. Vous ne savez pas ce que vous faites.

 

TYBALT – Quoi ! L’épée à la main, parmi ces coquins sans cœur ! Tourne-toi Benvolio et fais face à ta mort.

 

BENVOLIO – Je veux la paix, range ton épée ou utilise-la comme moi pour séparer ces hommes. 

 

TYBALT – Quoi, l’épée à la main, tu parles de paix ! Ce mot, je le hais comme je hais l’enfer, tous les Montaigus et toi. A toi lâche !

 

(PREMIER CITOYEN – A l’œuvre les bâtons, les piques, les lances : frappez ! Ecrasez –les. A bas les Montaigus ! A bas les Capulet !)

 

 


Roméo et Juliette : Acte V, Scène 1 (scène réécrite par Nasurdine, Israfil et Filipe)

Acte V, Scène 1

Réécriture

Personnages : Roméo, Balthazar et le dealer

Roméo entre dans la cité de Mantoue en faisant les cent pas. Balthazar entre côté cour.

Roméo (en cherchant Balthazar)  - Quoi de neuf ?

Balthazar  - Bah…

Roméo  - Comment va Juliette ? Si elle va bien alors tout va bien.

Balthazar (rapidement) - Juliette est morte !

Roméo (choqué tombe à terre) - Tu n’as pas une lettre pour moi ?

Balthazar  - Non.

Roméo  (frappe dans un poteau et pleure de rage, il sort de la scène, Balthazar le suit)

Roméo et Balthazar chez le dealer.

Roméo (à Balthazar) - Deux secondes, j’arrive.

Balthazar - Tu veux faire quoi ?

Roméo - Je vais rejoindre Juliette. (Il toque chez le dealer) (Balthazar sort de scène)

Le dealer - Entrez !

Roméo - Donne-moi le poisson le plus fort que tu aies.

Le dealer - Le fric d’abord.

Roméo - Tiens, 40 balles.

Le dealer (compte l’argent et lui donne le poison)-  Prends ça cul sec et tu meurs cash.


Roméo et Juliette : Acte III, Scène 1 (scène réécrite par Ingrid, Clara et Rayan)

Acte III, Scène 1

Réécriture

Benvolio -  Viens Mercutio, on s’casse, les Capulets sont dehors, et si nous les croisons nous risquerions de nous battre.

Mercutio – Tu ressembles à un de ces mecs qui dès qu’il rentre dans une salle a envie de se battre comme un fou

Benvolio – Qui moi ?

Mercutio – Oui toi, voilà les Montagues.                     

(Tybalt entre de loin)

Benvolio – Sur ma tombe, voilà les Capulet.

Mercutio – Je m’en fous.

(Tybalt entre vraiment en scène avec ses acolytes)

Tybalt (à ses amis) – Suivez-moi, je vais leur parler.

(Face à face des deux familles)

Tybalt – Je veux vous dire un mot.

Mercutio – Vas-y, mais je sais que tu as autre chose dans la tête.

Tybalt – Mercutio, tu es d’accord avec Roméo ?

Mercutio – Tu nous prends pour des faibles ? (Il sort son épée).

Benvolio – Partons, il y a trop de monde ici.

Mercutio – Non ! Donnons-leur un spectacle.

(Roméo qui se tenait à l’écart s’avance)

Tybalt – Roméo, tu es un infâme !

Roméo – Tu ne le sais pas encore, je ne peux te détester mais seulement t’aimer.

Tybalt – Je n’en ai rien à faire de ce que tu dis.

(Mercutio, énervé, l’attaque à l’épée) (Tybalt se met en garde)

Roméo – Arrêtez de vous battre ! Le prince a interdit toutes bagarres dans la ville ! Je vous en prie ! (Il les sépare avec son épée).

Mercutio – Ah je suis blessé, malheur à moi, je suis touché !

Benvolio – Quoi, tu es blessé ?

Mercutio – Oui, oui rien qu’une petite blessure. Où est mon page ? Allez me chercher un chirurgien. (Le page sort).

Roméo – Courage, Mercutio : la blessure ne peut être sérieuse.

Mercutio – T’inquiète, elle n’est pas si profonde ni très large. (A Roméo) Pourquoi t’es-tu mis entre nous ? J’ai reçu le coup par-dessous ton bras.

Roméo – Je pensais mieux faire.

Mercutio – Emmène-moi jusqu’à une maison, Benvolio, où je pourrais me rétablir. Malédiction sur vos deux familles !

Roméo (seul) – Donc mon meilleur ami s’est sacrifié pour moi à cause du destin de nos deux familles.

(Rentre Benvolio)

Benvolio – Roméo, Roméo. Mercutio est mort.

(Rentre Tybalt)

Benvolio – Voici Tybalt qui revient.

Roméo – Vivant ! Triomphant ! Et Mercutio tué ! Ah ! Tybalt, souviens-toi ce nom d’infâme que tu m’as donné tout à l’heure : l’âme de Mercutio n’a fait que le début du chemin au-dessus de nos têtes, elle n’attend que la tienne vienne lui tenir compagnie. Il faut que toi ou moi, ou nous deux, allions le rejoindre.

Tybalt – Pauvre enfant, tu étais son meilleur ami ici-bas : c’est toi qui partira d’ici avec lui.

Roméo – On verra.

(Ils se battent. Tybalt tombe).

Benvolio – Va-t’en Roméo ! Il y a du monde et Tybalt est tué … Ne reste pas là étonné. Le prince va te condamner à mort, si tu es attrapé… Dégage ! Va-t’en ! Fuis !

Roméo – Oh ! Mais, qu’est-ce-que j’ai fait ?

Benvolio – Mais, qu’est-ce-que tu attends ?

(Entre une foule de citoyens armés)

Premier citoyen – Qui est le coupable ? Qui a tué Mercutio ? Tybalt, ce meurtrier par où s’est-il enfui ?

Benvolio – Tybalt, le voilà à terre !

Premier citoyen – Debout, monsieur suivez-moi : je vous ordonne de m’obéir au nom du prince.

Le prince – Où sont les témoins de cette bagarre ?

Benvolio – Ô noble prince, je peux te révéler toutes ces choses douloureuses de cette terrible dispute. (Montrant le corps de Tybalt). Voici l’homme qui a été tué par le jeune Roméo après avoir tué le jeune Mercutio.

Lady Capulet – (Se penchant sur le corps) Tybalt, mon neveu ! Oh ! L’enfant de mon frère ! Oh ! Prince ! Oh ! Mon neveu ! C’est le sang de notre cher parent qui a coulé ! Prince, si tu es juste, verse le sang des Montagues pour venger notre sang. Oh ! Mon neveu ! Mon neveu !

Le prince – Benvolio, qui a commencé cette dispute ?

Benvolio – Tybalt que vous voyez ici, tué par Roméo. Roméo lui parlait en vain sagement lui disait de réfléchir aux conséquences de cette dispute et le mettait en garde contre vous. Mais, Tybalt n’a pas écouté Roméo et a pointé son épée contre la poitrine du brave Mercutio. Roméo a tenté de les séparer mais en vain. Tybalt s’est enfuit alors, puis tout à coup  est revenu sur Roméo, qui depuis un instant n’écoute plus que la vengeance. Leur guerre a été un éclair ; car avant que j’aie pu les séparer, Tybalt était mort. En le voyant tomber, Roméo s’est enfui. Je jure de dire que la vérité.

Lady Capulet - Il est parent des Montagues, il ment, il ne dit pas la vérité ! (Désignant Benvolio) Je demande justice, fais-nous justice prince. Roméo a tué Tybalt, Roméo doit mourir.

Le prince – Roméo ! Nous t’exilons ! Pars sur-le-champ !


Roméo et Juliette : Acte I, Scène 2 (scène réécrite par Charlène et Aude)

Acte I, Scène 2

Réécriture

Devant la maison des Capulets entrent Capulet, Pâris et une bonniche. Pâris vient demander la main de Juliette.

Capulet -  Montague et moi nous voulons garder la paix.

Pâris – Je viens vous demander la main de la belle Juliette. Me l’accordez-vous ?

Capulet – (En parlant à Pâris). Je ne peux pas répéter ce que je t’ai déjà dit. Ma fille  est encore jeune pour se marier. Elle n’a pas encore quatorze ans. Attendons encore deux ans.

Pâris – (En regardant Capulet) Mais même quand on est jeune on peut être heureuse en étant mère.

Capulet – (Oui … Pensif) Ce soir, je fais une fête c’est une tradition familiale, j’invite les gens que j’aime. Tu peux venir si tu veux. (S’adressant à la bonniche). Hé toi, va me trouver les personnes invitées sur la liste. (Il donne la liste à la bonniche).

La bonniche – (Seul les yeux fixés sur le papier) Pas de problème.

Changement de scène

(Entrent Benvolio et Roméo)

Benvolio – Aïe ! J’ai mal à la jambe ! (Il touche sa jambe de douleur)

Roméo – (Ironiquement). La feuille de plantain est excellente pour guérir ta jambe. (Il rigole)

Benvolio – T’es bête ou quoi ? (en le regardant bizarrement)

Roméo – Non

La bonniche – Bonsoir vous savez lire ?

Roméo - (Il prend le papier des mains de la bonniche) Mon oncle Capulet, sa femme et ses filles, ma jolie nièce Rosaline et Tybalt son cousin organisent une fête ce soir dans leur demeure. (Tendant le papier)

La bonniche – Mon patron est le grand riche Capulet. Je vous invite à notre fête si vous n’êtes pas un Montague. (Il sort)

Benvolio – Vas-y, wesh, la belle Rosaline que tu kiffes sera là.

Roméo – Une meuf plus belle que Rosaline c’est impossible.

Benvolio – Tu l’as trouvé belle vu que c’est la seule que tu as connu. Mais, tu en trouveras sûrement une plus belle à la fête de ce soir.

Roméo – Non ! J’irais pour voir Rosaline et seulement Rosaline.

(Ils sortent)


Lettre des élèves de 4e2 à Laurent Vernay, 1er alto à l'Opéra de Paris

Classe de 4e2
Collège Georges Pompidou
1 Avenue Georges Pompidou
92390 VILLENEUVE-LA-GARENNE

 

                    A Villeneuve-la-Garenne, le 15 décembre 2017,

Cher Laurent,

Bonjour,

Nous espérons que vous vous portez bien. Tout d’abord, nous voudrions vous remercier pour le chaleureux accueil que vous nous avez offert et pour nous avoir fait partager  votre univers. Votre rencontre nous a beaucoup enrichis autant au niveau musical qu’au niveau culturel. Et lors de celle-ci, nous avons adoré votre prestation musicale qui était impressionnante. Vous nous avez fait aussi découvrir votre métier d’une façon que nous n’imaginions pas. Nous avons d’ailleurs été très étonnés d’apprendre que l’archet soit en crin de cheval (nous espérons que la queue du cheval repoussera vite !). Lors de la rencontre, vous nous aviez dit que vous alliez jouer un solo et bien, nous l’avons entendu. Et, nous vous avons même repéré dans l’orchestre, à côté du chef d’orchestre. Vous aviez l’air très appliqué.

Le spectacle de La Bohème était splendide. Nous l’avons beaucoup apprécié notamment le décor lunaire. La musique était entraînante et les instruments mélodieux, cela s’apparentait à une berceuse. Le fait de proposer une mise en scène futuriste à l’opposé de la mise en scène traditionnelle a apporté une touche de fraîcheur et a forcé le spectateur en l’occurrence notre classe à se concentrer.

Nous avons été ravis de pouvoir vous rencontrer et d’avoir assisté à la première du spectacle. Cette expérience a modifié notre ressenti. Ainsi, nous n’avons plus les mêmes préjugés sur l’Opéra et la musique classique. Cependant l’irrespect de certains spectateurs nous a mis mal à l’aise.

Nous espérons une réponse à notre lettre et peut-être vous retrouver dans un prochain spectacle.

Nos salutations distinguées.

                                                                                                                La classe de 4e


Les impressions des élèves de 4e2 du collège Georges Pompidou (Villeneuve-la-Garenne) après l’Opéra La Bohème de Puccini le 1er décembre 2017

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labohemeok700x580.jpg, déc. 2017

 

J’ai vraiment beaucoup apprécié le spectacle en général. Je trouve que la mise en scène était époustouflante tout comme les décors et les costumes. Le fait d’avoir changé l’environnement à forcer le spectateur à se plonger dans le spectacle et à vraiment être emporté dans son univers. Le jeu des chanteurs étaient très bien mais la plus impressionnante reste Lucie alias Mimi. Le fait de rappeler aux personnages leur passé est incroyable. Et bien sûr cela m’a donnée envie de revoir un opéra. J’ai hâte de découvrir le ballet Roméo et Juliette !

Fanta  DRAME

J’ai adoré le spectacle ! La musique était très bien jouée et au bon moment. La mise en scène était GENIALE ! J’ai adoré les décors, les costumes et les chanteurs étaient parfaits. J’ai vraiment été téléporté.

Filipe NASCIMIENTO

Ce n’était pas mon style de musique. La mise en scène était très bien faite. Les chanteurs avaient tous une magnifique voix et leurs costumes étaient très bien faits. Mon impression générale est que je préfère aller voir Roméo et Juliette. Je ne voudrais pas voir un autre opéra.

Hajar DEROUICH

La musique est sympathique, la mise en scène fait un peu peur, le décor et les costumes sont futuristes, le jeu des chanteurs est trop répété. Je me suis endormi pendant le spectacle. Cela m’a donné envie de revoir un opéra, c’est bien pour s’endormir.

Alexandre VANSANTFORT

La Bohème est un opéra assez bien. La musique était très bien jouée. La mise en scène était plutôt bien car elle fait futuriste comparée à l’originale, le décor sur la lune était super comme le vaisseau spatial. J’ai beaucoup aimé le décor qui était bien fait et les costumes étaient très beaux. J’ai aimé le jeu des chanteurs et leurs interprétations. Mon impression sur l’opéra est que j’ai bien aimée le décor, les costumes, la mise en scène, le jeu des chanteurs, l’interprétation et la musique. Revoir un opéra … Pourquoi pas ?

Manel ABDELMOUMENE

Les chanteurs chantaient bien, la mise en scène était correcte. Mais, ce n’était pas à mon goût.

Amir PAGOMPATUN

 

La musique fut entraînante et bien réalisée. Le décor était magnifique. Ce fut une bonne idée. Le jeu d’acteurs était bien fait malgré la nouvelle mise en scène. J’ai aimé quand la jeune femme plutôt charmante à danser. Je pense que si l’opéra était proposé dans une mise en scène traditionnelle, j’aurais envie de revenir. C’était long !

Israfil TAOUI

J’ai bien aimé la mise en scène avec notamment le vaisseau spatial. Les chanteurs avaient une belle voix, très forte. Je n’ai personnellement pas compris l’argument jusqu’à ce que l’on me l’explique. Cela ne m’a pas donné envie de revoir un opéra. Mais, j’ai hâte de découvrir le ballet, Roméo et Juliette !

William LUZAYADIO

J’ai bien aimé le décor qui était lumineux, ça paraissait vraiment réel, ça m’a donnée envie d’aller dans un vaisseau spatial. Je n’ai pas vraiment compris la mise en scène, je ne l’ai compris qu’à la fin. Les costumes étaient vraiment beaux. Le paysage lunaire paraissait réel. Cela m’a donnée envie de revoir un opéra mais pas du même genre car je n’ai pas trop compris l’histoire. Je n’ai pas trop aimé la musique.

Aude JEAN-BAPTISTE

La sortie à l’Opéra m’a fait plaisir. J’ai aimé la mise en scène et la musique. Mais, le jeu des chanteurs ne m’a pas plu et j’ai réalisé que je n’aimais pas l’opéra. Je n’ai vraiment plus envie d’y aller.

Charlène BASILIO

J’ai bien aimé la musique. J’ai aimé la mise en scène car j’aime bien la science-fiction. Les chanteurs ont bien chanté mais je n’aime pas ce genre de chant. J’ai moyennement aimé le spectacle car c’était un peu long et je n’ai pas compris l’histoire. Ça ne m’a pas trop donné envie de revoir un opéra.

Nasurdine SABITI

La musique n’était pas mon style, je n’aime pas le classique. Le décor et les costumes étaient bien faits et j’ai apprécié le jeu des chanteurs. Mon impression générale est que je n’irai pas revoir un opéra car cela m’a un peu ennuyée et endormie, c’était trop long.

Clara SIMAO


À l'École de danse de Nanterre : rencontre avec un petit rat

Je sortis de la salle de spectacle, et tombai nez-à-nez avec une danseuse.

« Bonjour …

- Bonjour. »

Je rougis et articulai difficilement.

« Vous voulez rentrer ? »

Je me décalai, gênée.

« Non, non. Je voulais discuter un peu avec toi. Tu voudrais bien ?

- Bien sûr ! »

On s’installa sur des chaises. Comme les chaises étaient hautes, on pouvait avoir une belle vue de dehors.

« Je m’appelle Minah, enchantée.

- Moi, je me nomme Netra, enchantée. »

Minah me prit la main : elle était très tactile. Je souris et elle expliqua :

« Je t’ai vue de la scène. Tu avais l’air émerveillée. Et puis, ton sourire était si pétillant !

- Oh, il est vrai que j’étais comme ça. Tu dansais si bien !

- Merci beaucoup ! Est-ce que tu fais de la danse ?

- Oui, j’apprends les chorégraphies de danseurs de K-pop. Tu connais ?

- J’en ai entendu parler. Puis j’ai vu une vidéo. Leurs chorégraphies sont très dures !

- Oui ! Et pour être plus précise, je pratique le hip-hop. »

Elle sourit et me regarda avec insistance.

« Tu as une question Minah ?

- Oui, je voulais te demander … Que penses-tu de la danse ?

- Je trouve que la danse exprime plus de choses que les paroles. Il y a vraiment plusieurs styles, et chaque style est différent. J’aime vraiment danser et voir les danseurs pratiquer. C’est formidable ! »

Minah hocha la tête.

« Ça se voit dans tes yeux que c’est une de tes passions. »

Je souris de toutes mes dents et on fit connaissance.

Netra-Toep NEV


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