Vous venez de lire Vincent qu’on assassine de Marianne Jaeglé
Par Madame Jouanne le 13 octobre 2018, 08:54 - Littérature - Lien permanent
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Par Madame Jouanne le 13 octobre 2018, 08:54 - Littérature - Lien permanent
Commentaires
Je viens de terminer Vincent qu'on assassine de Marianne Jaeglé.
Ce roman tourne autour de la peinture et de la difficulté de percer dans le milieu de l'art au XIXème siècle. On suit pendant plus de deux ans Vincent Van Gogh qui se cherche dans le milieu de la peinture. On en apprend plus sur sa fin de vie, et surtout sur sa mort.
J'ai trouvé ce roman plutôt long à lire car il y avait à mon goût, beaucoup trop de détails par rapport aux couleurs et aux paysages décrits par le peintre. Les nombreux passages dans lesquels Van Gogh se remet en question montrent sa vulnérabilité et le rendent attachant tout comme son frère Théo qui est très présent dans le roman. Contrairement à Théo, le personnage de Gauguin ne m'a pas du tout plu car il était très désagréable et a fait perdre confiance à Vincent.
Dans l'ensemble, j'ai trouvé ce roman simple à lire mais j'ai trouvé que les dialogues au discours indirect libre rendaient la lecture plus compliquée et demandaient plus de concentration. Hormis quelques événements importants, le livre était assez répétitif et ne m'a pas vraiment intéressée.
J'ai terminé le livre Vincent qu'on assassine de Marianne Jaeglé.
Ce livre remet en cause la théorie du suicide de Vincent Van Gogh grâce aux recherches de deux chercheurs Américains. Il retrace la vie du peintre jusqu'a sa mort.
Ce roman se lit facilement et rapidement. Certains dialogues présents dans le livre sont écrits d'une façon que je n'avais jamais vu auparavant. Seul les phrases d'un personnage sont écrites ce qui nous donne l'impression d'écouter une conversation téléphonique.
Néanmoins, je trouve pour ma part que l'histoire est très répétitive. On peut distinguer quelques actions qui se répètent toujours dans le même ordre et plusieurs fois, ce qui empêche l'histoire d'avancer. Ce n'est que dans les 30 dernières pages qu'une action nouvelle se déroule.
Ce livre n'est pas passionnant. Je l'imaginais plus écrit sous forme d'un roman policier, ce qui n'est pas le cas. J'ai été un petit peu déçu.
J'ai lu le livre Vincent qu'on assassine de Marianne Jaeglé, qui raconte la vie de Vincent van Gogh.
L'histoire est très détaillée, ce qui peut avoir tendance à perde ou détourner le lecteur de sa lecture. Personnellement, je n'ai pas apprécié lire ce livre. J'ai trouvé le personnage trop bavard et ayant parfois une attitude enfantine vis à vis de son travail. Sa manière de penser ne me correspond pas mais pourrait aller à d'autres. Les gens présents dans cette histoire sont vicieux les un envers les autres et parfois même hypocrites.
Cependant, on rentre assez bien dans la tête du personnage, on se met a réfléchir à ses problèmes relationnels avec lui, on essaye de comprendre ses réactions parfois disproportionnées ou inadaptées à la situation.
Mais l'histoire est longue pour arriver au dénouement, déjà annoncé au niveau de l'introduction du livre, ce qui pour moi peut être rédhibitoire à poursuivre la lecture. Plusieurs fois, le personnage chute, ce qui nous mène à penser que l'histoire va se finir, mais on regarde le nombre de pages, et on voit que non, cela continue encore. Ce mode d'écriture joue, pour moi, avec la patience du lecteur.
J'ai lu le livre "Vincent qu'on assassine" de Marianne Jaeglé. Il retrace les années de travail de l'artiste précédent sa mort. Il décrit la dure vie qu'il a mené notamment à cause des personnes qui l'ont persécuté car elles jugeaient son art mauvais. Vincent Van Gogh connaît des crises de folie dû à sa solitude et au harcèlement qu'il connait de la part des habitants des villes dans lesquelles il habite.
J'ai trouvé ce roman long à lire et ennuyeux par moment. C'est le cas par exemple lorsque les actions se répètent et /ou deviennent trop longue. J'ai dû attendre 40 pages avant la fin pour qu'une nouvelle action se déroule, celle de la mort de Vincent.
Au début du roman, j'étais quelque peu perdu car il y avait beaucoup de changements de lieux et de personnages, d'un chapitre à l'autre on voyage du Midi (Arles) à Paris sans transition. Je trouve le livre trop détaillé pour le peu d'action qui se déroule, il faut donc être patient avant de trouver des passages qui nous plaisent.
A plusieurs moment du livre, j'ai eu de la compassion pour le personnage principal : lorsqu'il se fait harceler par des enfants qui lui crie qu'il est un « vieux fou, fada ». Son désespoir et sa tristesse atteint le lecteur, ce qui l'aide à rentrer dans la tête du personnage et à mieux percevoir ses sentiments. Les personnes qu'il fréquente le décourage et lui font perdre espoir, ce qui ne fait qu'attiser notre haine envers eux.
Ce qui m'a plût dans ce livre est surtout le mystère de la mort de Vincent Van Gogh, qui a longtemps été pris pour suicide. Je pense aussi que le but de ce livre n'est pas forcément de plaire au lecteur mais surtout d'apporter une culture générale à ceux et celles qui le lit. J'ai appris beaucoup de choses sur la vie de Vincent notamment sur sa fin. Si je devais recommander ce livre ce serais plus pour son aspect culturelle que pour le plaisir de lecture.