Quatrièmes de couverture Danbé


Les élèves de la Seconde 2 du lycée Evariste Galois ont écrit des quatrièmes de couverture pour le roman Danbé

« Le respect que je me porte impose aux autres de me respecter ».

 

A chaque épreuve donnée par la vie, Aya se relève. La volonté, la force, la courage et le respect que lui enseigne sa mère malienne rejetée par sa famille font d’elle ce qu’elle est : une petite fille forte face à la mort, insolente envers l’autorité, une jeune femme persévérante au combat n’ignorant rien du racisme et de l’injustice. Autant de qualités qu’il faut pour devenir une championne digne du Danbé. ( Adeline.)

 

«  Je suis en larmes, moi qui n’ai jamais pleuré ».

Pourtant aya aurait eu bien des occasions. Depuis son enfance, les problèmes, les injustices et les tragédies s’amoncèlent. Mais comment réussir lorsque la vie devient si chaotique ? Entre la mort de son père dans un incendie et sa famille malienne qui rappelle les mœurs du pays à sa mère, pas facile pour Aya de tourner a page et d’avancer. Le Danbé, la dignité en malinké va l’aider à s’en sortir. Peut-être un jour pourra t -elle vivre pleinement , sans les fantômes de son enfance ? Ce petit récit attachant raconte comment d’une existence aussi fragile on peut s’élever et devenir quelqu’un de fort. ( Alice)

 

« nous sommes condamnés à filer droit. Ma mère nous le rappelle sans cesse : nous sommes seuls, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. L’échec n’est pas envisageable. »

Normalement l’enfance est une période sans heurt… Pour Aya c’est un combat quotidien : sa mère en est l’arbitre, sa famille , les spectateurs et les divers maux qui la rongent, les adversaires . entre victoires et défaites, Aya s’endurcit. La boxe sera son refuge contre l’adversité : un loisir qui fera d’elle une championne, une habituée du ring ! Jusqu’au dénouement…

Danbé est un livre fort qui retrace le parcours d’Aya, de Ménilmontant  aux projets d’études et d’avenir.  ‘( Eléonore)

 

« Boxer me prouve, à longueur d’entrainements, que j’existe. »

Championne du monde de boxe, Aya Cissoko nous raconte de manière émouvante son parcours de boxeuse et son parcours de femme. A travers les morts successives de ses proches, elle s’accroche au  danbé, à la dignité et à la détermination. Sa mère et la boxe lui apprennent un idéal de vie qui devient un combat contre l’injustice : toujours se relever après la chute.  ( Quentin)