11 avril 2014

RÉDACTION SUR UNE AVENTURE DE ROLAND

Quelques années plus tard, le Roi Arthur est blessé lors de l’invasion de l’Angleterre par les Danois. Il se cache dans un passage secret du château avec Roland. A bout de forces, le roi lui dit ceci « Roland, tu es le plus brave de nous tous, va, délivre mon royaume, va chercher notre allié, le roi de France. Donne-lui cette bague et ce message.»      

Roland partit donc et commença sa mission !

 

Épisode 1 : La rencontre

         Roland chevaucha son destrier pour quitter au plus vite le château. Il passa devant des villages incendiés par les Danois. Quelle désolation ! Mais il se rappela qu’il devait accomplir la mission que le roi lui avait confiée. Le soir, il s’arrêta dans une clairière pour se reposer. Il devait rester vigilent pour ne pas qu’un ennemi le découvre. Mais il était si fatigué qu’il s’endormit aussitôt.

         Il fut réveillé par des bruits métalliques, c’était des chevaliers danois. Puisqu’il avait retiré son armure, il était sans protection ! Les chevaliers en voyant sa bannière, celle du roi Arthur, s’attaquèrent à lui. Au moment où ils allèrent lui donner le coup fatal, un faucon s’abattit sur eux et leur creva les yeux. Roland prit son épée, les tua et emporta une de leur tenue. Il s’en alla, l’oiseau sur son épaule.

         Son faucon possédait des pattes fines, avec des griffes acérées. Son dos était gris foncé, son ventre, de couleur crème et ses yeux, noir comme le jais. Avec ses ailes grandes et majestueuses, sa tête paraissait petite. Son bec bien crochu, orné d’une tache blanche, permettait de le distinguer des autres.

         Ici commença une grande amitié entre lui et ce rapace,  Roland se sentait ainsi moins seul. Au bout d’une semaine, ils arrivèrent au port de Hastings.

 

Épisode 2 : La traversée et l’arrivée au château

         C’était le milieu de la journée quand Roland et le faucon arrivèrent au port. Il se déguisa avec la tenue danoise qu’il avait gardée, pour entrer dans la ville assiégée. Il acheta des provisions dans un magasin. Puis, il se rendit dans une taverne pour trouver quelqu’un qui voudrait bien les conduire à Paris. Par chance, il rencontra un marchand qui devait s’y rendre et qui accepta de le prendre avec lui, contre quelques pièces.

         Roland monta donc dans le bateau du marchand. Mais au milieu de la traversée, des pirates les attaquèrent. Roland les anéantis un par un sauf le chef. Un duel éclata entre ses deux personnages. Le pirate était armé d’un sabre. Les coups qu’ils se donnaient étaient très violents jusqu’à ce que Roland donne le coup fatal.

         Il débarqua avec son faucon sur la côte normande où ils se cachèrent à l’arrière de la charrette du marchand. Quand Roland arriva à Paris, il se rendit au palais royal et demanda aussitôt une audience au roi. Il lui montra le parchemin et la bague.

 

         L’armée du roi de France et Roland partirent sauver l’Angleterre des danois. Après une semaine de guerre, les soldats du roi les vainquirent. Le roi Arthur remercia le roi de France et lui céda une partie de son royaume.

         Arthur remonta sur son trône tandis que Roland, partit chez son oncle, le seigneur d’Ecosse pour devenir son vassal et vivre à ses côtés.

 

 

FIN  

 

29 mars 2014

Garin rencontre une panthère...

C

’était un beau jour de printemps, Garin se trouvait à pied dans la forêt, dépité, car le matin de cette belle journée, il  avait rencontré un brigand fourbe et malhonnête. Ce dernier arriva à pleine vitesse sur Garin en le mettant à terre pour lui voler ses biens. Garin fut touché à l’épaule droite, il ne put se relever et, le vilain partit avec le palefroi et l’armure de Garin en montant sur le cheval volé et laissant galoper son destrier à côté de lui.

Un paysan vit Garin à terre, l’aida à se relever et lui banda l’épaule. Le paysan repartit et Garin, après avoir été soigné, déambulait dans la forêt sans armure et sans épée. Soudain il vit un animal qui ressemblait fort à une panthère, avec des tâches sur le corps, mais avec la corpulence d’un lion. Son pelage n'avait rien d'ordinaire; il était parsemé de tâches multicolores. L’imposant animal se rapprochait pas à pas de Garin, et ce dernier prit peur et recula de quelques mètres. Tout d’un coup, un énorme chimpanzé descendit de son arbre et bondit sur la sorte de panthère, en lui adressant de terribles coups. Malgré sa réticence, Garin décida de s'interposer et prit la défense de la panthère. II sortit sa dernière arme qui se trouvait derrière son talon, un couteau que le roi Arthur lui avait confié en signe de gratitude. Garin lança son couteau qui virevoltait dans les airs et qui transperça la peau du singe. Le primate mourut sur le coup.

La panthère réussit à se redresser sur ses pattes, les deux êtres se fixèrent pendant plus d’une minute. Puis la panthère fit le premier pas et s’avança vers Garin. Il fit de même et caressa la panthère qui avait l’air reconnaissante et rassurée. L’énorme bête se baissa laissant Garin monter sur son dos. La panthère se mit à courir, dévalant la forêt avec son nouveau maître.

Ensemble, ils prirent part à de nombreux tournois et vainquirent de nombreux chevaliers.

Ils vécurent de nombreuses aventures.

 

 

FIN

 

A suivre… 

 

01 avril 2013

Rencontre d’un lionceau avec un chevalier

Rencontre d’un lionceau  avec un chevalier

               Il était une fois un chevalier nommé Tristan qui était maigre et petit. Il était rejeté par tous les chevaliers à cause de sa petite taille. Un jour, il se rend dans une maison en bois ou une vielle dame vend des animaux. Aucun animal  ne convenait à Tristan. Il était si triste qu’il alla se balader en forêt.                                                                                            Arrivé dans la forêt, il vit un lionceau se battre contre un éléphant qui fait trois fois sa taille. Malgré la grande taille de l’éléphant, le lionceau parvint  finalement à le mordre à la cuisse. L’éléphant blessé, tomba immédiatement à terre. Le lionceau courut en boitant vers le chevalier. Le lionceau  se rétablit immédiatement. Le chevalier comprit alors que le lionceau était magique.  Car un éléphant ne peut être battu par un lionceau. Il se dit que le lionceau  pourrait  l’aider à battre des chevaliers plus grands et plus musclés que lui. Il décida de l’adopter et de l’appelé Tito.                                               Depuis  ce jour là, dés qu’un chevalier refusait de se battre contre Tristan, il lui dit que c’est juste qu’il a peur du lionceau.  Une grande amitié c’est lié entre Tito et Tristan. Ils sont inséparables. Tristan perd quand même quelques combats mais quand il regarde Tito le lionceau il se dit qu’au prochain combat il se donnera à fond pour gagner.

                                                                                             FIN                                                         

 

La licorne blessée

Benoît d'Aiglemont se promenait dans la forêt à la recherche de divertissement . Il avait passé la nuit dans un gîte et s'était fait soigner ses blessures du combat contre Hardouin de Mortelande.

Quand soudain il entendit un hérissement qui venait de l'autre coté de la forêt en courant et découvrit un beau cheval. Mait il y avait une tache rouge sur sa robe. Benoît s'approcha et vit qu'il était blessé , une flèche était plantée dans son ventre. Benoît accourut et essaya de le soigner avec des plantes qu'il venait de trouver dans la forêt . Il avait appris cette technique quand il était petit. Une fois soigné, Benoît releva ce cheval.

Quand il le releva, il découvrit qu' il s'était trompé et que cet animal était en fait une licorne. Elle était fine et gracieuse. Sa robe était d'une blancheur pure et douce. Sa corne frontale était pointue et en spirale, elle était en or. Les crins de sa crinière et de sa queue étaient doux et soyeux, ils étaient de couleur or tout comme sa corne. Son visage était très fin, ses yeux étaient bleus et son nez était légèrement rose. Elle avait la taille d'un petit cheval mais avait de longue et fine jambe avec des petits sabots.

Une fois soignée et admirée, la licorne fit un signe de tête comme pour dire merci à Benoît et s'envola dans le ciel bleu avec une grâce extraordinaire en laissant derrière elle une traînée de paillette. Benoît encore tout secoué par ce qu'il venait de se passer, repartit à la recherche d'un endroit où dormir.

LA RENCONTRE D'UN ANIMAL MERVEILLEUX (3ème rédaction)

 

LA RENCONTRE D’UN ANIMAL MERVEILLEUX 

 

Un jour, Raoul du Lac décida d’aller chasser le gros gibier dans la forêt qui se trouvait loin du château de Camelot.

Il n’avait pas combattu depuis quelques jours, il avait envie de s’entraîner et de pratiquer des exercices physiques qui le maintiennent en forme grâce aux différents exercices musculaires. La chasse le rend endurant, il faut suivre pendant des heures une bête traquée. Raoul a du courage, la mise à mort se fait à l’arme blanche et se trouve face à face avec l’animal sauvage. Cela lui permets d’avoir une bonne préparation pour ses combats entre chevaliers.

 

Il partit dans la forêt….Il entendit un bruit étrange, un cri de terreur. Raoul essaya de voir d’où venait ce bruit. Un lion était blessé à sa patte arrière gauche, il criait de douleur. Le sang coulait énormément. Raoul tomba nez à nez devant le lion.

 

Le lion était prit par un piège. Raoul prit son courage et s’avança prudemment vers le lion pour le soigner. Le lion souffrait et accepta que le chevalier s’approche de lui. Il le sortit du piège. Il lui mit un bandage autour de sa plaie.

Sa patte lui faisait mal. Le lion essaya de se relever afin d’avancer et de suivre Raoul durant sa chasse.

Le lion reconnaissant, reste avec Raoul afin de le servir et de le protéger.

Raoul décida de faire demi tour et de rentrer avec le lion au château.

Raoul  alla présenter son lion, devenus ami au Roi Arthur.

Le Roi Arthur félicita Raoul pour son courage envers le lion.

Ils restèrent ensemble et vécurent beaucoup d’aventures.

 

 

 

 

                                FIN

28 mars 2013

Perceval, rencontre sa Dame

Pendant ce temps, Perceval de Sombreval dit enrevoir au roi Arthur qu' il servit pendant un an . Il promis de revenir bientôt avec son père Benoit Sang de Boeuf car il lui était reconnaissant .

Perceval entama la route pour retrouver son château, mais depuis un an tout est différent, les feuilles sont tombées, il a plu, il a neigé, les routes ont changées, je pris la route en  meilleure état.

Il arriva à une intersection avec plusieurs routes, il parti dans celle qui lui parut la plus jolie.

Cette route mena à une fontaine où il vit une femme.

Il dit "Dame charmante, savez vous où se trouve le château du Roi Benoit Sang de Boeuf ?"

Elle répondit " Non je suis de la cour du Roi Hubert de Mornplaine".

Sombreval repensa ... Très bien pouvez vous m'y amener avec votre bonté dit il ?

Elle l'y conduit.

Perceval se sentait seul et il voulait avoir une dame.

Une fois arrivé à la cour du Roi Hubert, Perceval lui dit :" Roi Hubert de Morplaine, je vous défie à l' épée dans un combat jusqu'à la mort, celui qui s' en relève à la dame "

Le roi prit son courage et lui dit : " Demain à 13 heures "

Perceval dormit dans le donjon, il se leva à 7h pour se préparer à ce combat.

13h fut.

Le combat commença.

Perceval frappait fort avec bravoure.

Le roi se blessa tout seul, se fut si violent ...

Le roi mourut sur le coup.

Perceval monta voir la dame.

Il sût être courtois avec elle , la charmé, la faire rire, la faire sourire.

Perceval pris sa dame et partit de la cour où règne désormait un autre Roi.

Ils cherchèrent pendant une journée, ils arrivèrent à la cour du Roi Benoit Sang de Boeuf, Perceval raconta toute cette histoire à son père, il présentât sa dame à son père, son père donna sa bénédiction pour qu' ils se marièrent.

Les fiançailles fut le mariage aussi tout se passe bien.

Entre temps 9 mois se sont passé et un nouveau né est arrivé.

Perceval, son fils et sa dame restèrent a la cour.

 

            FiN..

L'animal merveilleux (rédaction 3)

     Morgane se promenait paisiblement dans la forêt. Elle regardait les animaux, cueillait des fleurs, quand tout à coup,elle vit un cheval blanc allongé par terre. Elle s'approcha de lui et s'accroupit devant lui. Ce n'était pas un simple cheval. C'était une licorne.Comme elle était belle. Son pelage était blanc, brillant et sa corne était argentée. Malheureusement, elle était blessée. Morgane murmura quelque chose à son oreille puis partit chercher des plantes. Elle revint quelques minutes plus tard et lui fit manger les herbes et les plantes qu'elle avait cueillies. Elle caressa la tête de l'animal et s'endormit à ses côtés.

     Quand elle se réveilla, Morgane vit que la licorne n'était plus là. Elle se frotta les yeux, se leva et s'étira. Il faisait nuit désormais. Elle marcha quelques minutes dans la nuit obscure. La forêt était simplement éclairée par la lune. Elle vit que l'animal s’abreuvait près d'une flaque d'eau. Même si elle ne voyait pas beaucoup, elle pouvait voir la silhouette de la licorne qui venait vers elle. Elle avait l'air de bien aimer Morgane. Alors, comme Morgane était fatiguée d'avoir beaucoup marché, même si elle avait pu se reposer, elle monta sur la licorne. Elle lui dit d'avancer. La licorne obéit. Après quelques heures de trot, Morgane et son cheval fabuleux arrivèrent devant une auberge. Elle laissa la licorne dehors et entra dans le bâtiment qui semblait délabré. Une serveuse lui dit bonjour. Elle était vieille et avait des rides, un gros bouton sur le nez et des dents jaunes et abimées. Elle m'emmena à une table et me servit une boisson avant de se rendre dehors.

Après avoir laissé un pourboire sur la table, Morgane ressortit de l'auberge et s'aperçut que la licorne avait disparu. Et la vieille dame qui était sortie, où était-elle allée ? Elle l'avait peut-être emmenée pour la revendre à un prix élevé. Quoi que cette dame voulait faire avec la licorne, Morgane n'allait pas la laisser faire. Elle partit en courant. Elle savait où la licorne était allée car, sur le chemin,  on pouvait voir les traces qu'avaient laissé les sabots de la bête. Morgane courrait à toutes jambes. Elle couru tellement de temps qu'à un moment, elle s'étala de tout son long sur la terre. Elle pleurait de ne plus avoir son amie licorne à ses cotés. Elle l'aimait tant. Sans elle, elle ne pouvait plus vivre, alors elle sombra dans la folie et se perdit dans l'immense forêt. Elle n'avait plus de joie de vivre. Elle ne se nourrissait plus. Un jour que Harold se promenait à cheval, il découvrit son cadavre et pleura à ses cotés jusqu'à la fin des temps.

La rencontre avec un Griffon

 Dans le village de Fabulo , tout les fabulois acclamaient un chevalier ,  ce chevalier se nommait Philibert de Clairefontaine . Il était acclamé pour toute ses quêtes accomplit , puis soudainement deux gardes sont arrivés et on emmener le chevalier ( Philibert ) jusqu'au châteaux  du roi  mais de force , Philibert ne sachant pas ou on l'emmenait  ni pourquoi on l'emmenait il se débattait . Puis il arrivèrent au châteaux de François 1er ( roi de Fabulo ) , le roi avait appelé le chevalier pour une nouvelle quête cette quête  était de sauver un village voisin d'un cyclope en-ragé .  Le chevalier Philibert aimait l'aventure donc il  l'accepta , le roi lui informa sur sa quête . Puis le lendemain le chevalier fit son équipement de survie et prépara son armure et ses armes d'offensive et de défensives , puis enfin prêt il parti à l'aventure accompagné de son écuyer . Ils travèrsèrent  la forêt de Béhourd et rencontra un Griffon . Ce Griffon avait un bec grand et parfait ,des oreille moyennement grandes ,  aussi des ailes majestueuses de couleurs nuages  , des pattes musclés  , une longue queue redoutable et un pelage couleur doré . Ce griffon combattant un Dragon et tout-à-coup le Dragon  prit par surprise le Griffon et lui attrapa le cou , le Dragon se mit en position de garde :pour le lance-flamme et sans réfléchir Philibert pris son épée coupa avec la lame de son épée la tête du Dragon se qui lui trancha la gorge . Philibert recula de peur que le Griffon l'attaqua , le Griffon se leva et suivit son sauveur et future maître . Philibert remarqua qu'il était suivit . Et remarqua que  le Griffon le suivait mais ne l'attaquai pas , puis il s'arrêta et s'approcha  du Griffon , le Griffon s'abaissa pour faire monté sur son dos Philibert mais  pas son écuyer Ils s'envolèrent (Philibert et son Griffon ) accompagné  de son écuyer en galopant à dos de cheval . Philibert fit  comprendre  à son  Griffon qu'il fallait allé à sa  quête et se fut un long voyage mais assez rapide jusqu'au prétendu village attaqué d'un Cyclope . Soudainement , un gros bruit surgis ! Philibert alla voir se qui s'est passé et vit un Cyclope 2 fois plus haut qu'un Château . Ce sera  un combat ultime ...

                                                        FIN

24 mars 2013

Barberousse

         Dans le château de Camelot on préparait la fête de la Pentecôte, quand un nouveau chevalier arriva à la cours du roi Arthur. Il se nommait  Barthélémie de Clairval, mais on le surnommait Barberousse car il n'avait jamais enlevé son casque en public; on ne voyait qu'un bout de sa barbe, rousse et soyeuse, dépassé de son casque.

           Il était ni trop grand ni trop petit. Keu disait l'avoir déjà vu sans son casque et qu'il avait les cheveux roux et bouclés; il disait aussi que sa peau était mâte, il s'en vantait, il disait même que Barberousse avait une cicatrice qui allait de ses yeux noisettes jusqu'à son nez retroussé mais personne ne savait si Keu disait vrai.

        A part son apparence, tout le monde savait que Barberousse était franc; généreux et qu'il avait l'intelligence de dix personnes réunies. Tout le monde l'appréciaient au point de ne pas se demander où chercher à savoir à quoi il ressemblait.

        Pendant le tournoi de chevaliers censé animer la fête de la Pentecôte, une chose extraordinaire se passa, Barberousse enleva son casque et une longue chevelure rousse tomba sur ses épaules, des yeux de couleur bleu azur qui regardait la foule étonnée, une peau blanche et douce, au joue rose qui brillait au soleil, une fine bouche rouge à la dentition parfaite. Il dit d'un ton fier:" Je me nomme Béatrix d'Engoulvent et je suis une fille, depuis toute petite je rêvais d'être un chevalier, mais mes parents se sont opposés à cela alors j'ai fugué à l'âge de seize ans et j'ai décidé de me faire passer pour un garçon".

      Arthur et sa cour étaient à la fois impressionnés mais très déçu, alors Béatrix s'enfuit dans les bois sous les rires de la foule. Elle comprit alors que même avec tous le bien qu’elle avait  offert au  gens ils ne pourraient jamais accepter qu'une fille devienne chevalier

16 mars 2013

le combat de Eudes de Gardefeu

Les deux chevaliers se présentèrent sur le champ de bataille face à face. Ils étaient dans une vaste clairière détrempée par les pluies diluviennes de la veille et entourée par une forêt épaisse.

L’adversaire d’Eudes était le général de l’armée ennemie. Il s’appelait Henri. Eudes le savait car ils s’étaient déjà croisés. A son apparence, on voyait qu’il était jeune et habile même si il avait lourde une armure noire. Il tenait un fléau dans la main droite et un bouclier noir dans la main gauche. Une dague était accrochée à sa ceinture et une longue épée dans son dos. Il était coiffé d’un heaume dont on ne voyait que les yeux dépasser. Son cheval avait une grande armure et il paraissait fougueux. Il avait de gros yeux qui intimidaient le destrier d’Eudes. Rien qu’à les voir, les combattants se vouaient une haine mortelle.

Le combat débuta. D’abord, les destriers commencèrent à galoper. Puis, quand le fléau d’Henri heurta son ennemi, Eudes tomba à terre. Il réussit à se relever presque instantanément. Henri dégaina son épée, sauta de son cheval et s'approcha d’Eudes pour engager le combat de corps-à-corps. Ils foncèrent tête baissée l’un sur l’autre. Eudes se lança sur son ennemi et réussit à fissurer son bouclier qui tomba en morceaux. Henri était armé jusqu’aux dents et semblait ne pas avoir de point faible. Le combat durait et Eudes était en position défensive cherchant comment battre son ennemi apparemment invincible.

Mais Henri était trop lourdement armé ; il s’enfonçait peu à peu dans la boue créée par les pluies de la veille. Eudes ne tarda pas à remarquer le défaut de son adversaire. Et comme Henri essayait de relever comme il pouvait ses solerets enlisés profondément dans la vase, Eudes en profita et lui asséna un puissant  coup d’épée qui le fit glisser puis tomber. Henri ne réussit pas à se relever, entravé par sa lourde armure. Celui-ci se trouvant en position  défavorable demanda grâce à Eudes qui la lui accorda.

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