29 mai 2017

Critique "A bout de souffle" par Océane Weyer

   Le film que nous avons vu avec "Lycéens au cinéma" s'intitule A bout de souffle. Il a pour protagonistes Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg. Ce film noir et blanc de 1h30 a été réalisé par Jean-Luc Godard en 1959 en France, d'après l'histoire originale de François Truffaut. Le fait que le film soit en noir et blanc est un choix, puisque les films en couleur existaient déjà à cette époque. Peut-être était-ce un manque de budget ? Car réaliser un film en couleur était beaucoup plus cher. A bout de souffle est l'un des premiers à avoir fait partie de la "Nouvelle Vague". En effet, pour la première fois, un film se tourne entièrement à l'extérieur plutôt que dans un studio, et celui-ci fut révolutionnaire pour le cinéma français et mondial. Cette caméra fait même partie du film à part entière, puisque les acteurs s'adressent directement à celle-ci à certains moments.

   Ce film n'a ni queue ni tête, même si il y a tout de même un fil conducteur qui est la recherche du protagoniste par la police suite au meurtre qu'il a commis. On remarque aussi, dans les caractères de "La Nouvelle Vague", qu'il y a pleins de faux raccords, et que les voix ont été redoublées sur le film.

   J'ai bien aimé ce film, moi qui d'habitude n'aime pas les films en noir et blanc, même si celui-ci comporte tout de même quelques clichés des films de ce genre, par exemple du fait du jeu des acteurs.

                                                                                                                                                                                 Océane Weyer

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20413005.jpg-c_215_290_x-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg, mai 2017

 

23 mai 2017

Critique "A bout de souffle" par Janelle Mangin

   Film symbolique de la Nouvelle Vague, A bout de souffle est un film narrateur que ce soit dans sa mise en scène ou son contenu. On peut noter, au tout début du film, Jean-Paul Belmondo s'adresser au spectateur directement, ce qui est encore une fois narrateur.

   Au niveeau du jeu des acteurs, ce couple que forme Jean-Paul Belmondo et Jean Seberg semble s'associer à merveille et ne faire qu'un. Leurs rôles pourtant bien différents se complètent parfaitement à l'écran. Dans la manière de filmer nous pouvons noter un jeu important avec la fumée. Durant tout le film, les personnages fument. Ce jeu avec la fumée permet d'intensifier les scènes à certains moments, mais aussi de donner un genre différent au film, plus stylisé. Il y a sans cesse l'alternation entre les plans de taille ou plans américains et ls gros plans sur les visages des acteurs, mettant en avant les traits de ces derniers ainsi que leurs sentiments.

   Quant aux plans dans Paris, on peut dire qu'ils sont somptueux. Ils sont très bien choisis et très bien mis en valeur à travers notamment les balades en voiture. La ville de Paris est mise ne valeur à travers ce film, et c'est un joli clin d'oeil que fait le film à Paris. J'ai personnellement bien aimé le film tout d'abord dans son esthétisme que je  trouve sublime. Ce film est beau et rends un hommage à la ville de Paris des années 60. Le reproche que je pourrais faire, c'est que nous ignorons où le film veut en venir, il manque un peu de sens à l'histoire.

                                                                                                                                                                                         Janelle Mangin

 

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486176.jpg, mai 2017

 

Critique "A bout de souffle" par Léa Fasquel

   A bout de souffle est un film qui commence à Marseille puis se termine à Paris, où l'on rencontre un homme assez spécial, Michel Poiccard, ici interprété par Jean-Paul Belmondo. Tout commence dans une première voiture, musique et moteur tournant à fond, car Michel Poiccard le dit d'ailleurs : "il ne faut pas freiner", où il va d'ailleurs être poursuivi par un agent de police, et dans le feu de l'action, lui qui ne veut pas s'arrêter, tuer l'agent.

Dans sa fuite, il nous emmènera à Paris, et nous présentera une charmante américaine, Patricia, interprétée par Jean Seberg, qui marqua par son jeu naturel et ses cheveux courts, nous faisant presque oublier sa fuite en nous plongeant dans une petite histoire sentimentale entre les deux personnages. Un flirt durant lequel Patricia hésite entre sa carrière et Michel, cet homme qui la suit et la veut constamment. Mais peu à peu,la police va retrouver les traces de ce séducteur, se révélant être un menteur et un imposteur.

   Dans son film qui fait parti de la Nouvelle Vague, Jean-Luc Godard nous expose un nouveau cinéma, plus proche des visages, en incluant le regard caméra, où les personnages s'adressent même à celle-ci contrairement au cinéma traditionnel. A bout de souffle participe à un mouvement à la fin des années 50 où un groupe de jeunes cinéastes tentent de retravailler et renouveler  les règles du cinéma en utilisant de nouvelles méthodes et sujets. A bout de souffle, un film mêlant polar et histoire sentimentale, mérite d'être vu !

                                                                                                                                                   Léa Fasquel

À bout de souffle (Trailer)

 

11 mars 2017

Timeline - The Missing Picture

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Rainbow_Unicorn_1.png, mar. 2017
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Rainbow_Unicorn_2.png, mar. 2017

 

07 mars 2017

"L'image manquante" de Rithy Panh

Quelle est donc "l'image manquante" que Rithy Panh essaie de nous partager ?

   En réalisant ce film, Rithy Panh avait pour but de nous parler du drame qui s'est déroulé entre le 17 avril 1975 et le 7 janvier 1979 causé par l'arrivée des Kmers Rouges, entraînant la mort de deux millions de cambodgiens. Il compare ces malheureux événement comme un "génocide", plus précisément un auto-génocide, étant donné que les bourreaux des victimes étaient de la même origine que ces derniers, mais avec une idéologie différente. L'auteur de "L'image manquante" fut lui-même été touché par ce terrible drame, perdant toute sa famille et demeurant le seul survivant. Après la chute du régime, il devint réalisateur et décida de commencer par réaliser des films dans le but de montrer aux gens ce qu'il c'était passé durant ces terribles années, afin que cela ne tombe pas dans l'oubli. Il estimait en effet que l'on ne parlait pas assez de ces événements. Dans son film "L'image manquante", Il tente avec peine de nous partager l'image manquante de ces événements, car il ne parvient pas à la trouver dans d'autres projet visant à nous informer. C'est une image difficile à représenter, cette image étant la représentation concrète des souvenirs de l'auteur, qu'ils soient bons ou mauvais. On trouve dans son oeuvre un réel et profond travail de mémoire, comme par exemple le souvenir de sa vie d'avant, de la culture, de sa maison, du mode de vie et des habitudes et enfin de ses proches, qui font tous partis de l'image manquante suite à leur disparition. Il fait également part de ses mauvais souvenirs, comme par exemple les terribles conditions de vies suite à la prise de pouvoir de Pol Pot, ainsi que les travaux forcés, l'exploitation des Kmers Rouges sur "l'ancien peuple", le nombre de pertes et les atrocités dont les victimes de ces événements furent témoins. Afin de représenter cette "image manquante", Rithy Panh utilise des petites figurines en argile fabriquées à la main, accompagnées de quelques courts métrages et photos. C'est une manière plutôt représentative permettant de rendre ce film accessible à tout le monde, car il raconte la terreur se déroulant à cette période sans choquer le public.

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24 janvier 2017

The missing picture, Rithy Pahn.

 

The movie we saw with « lycéen au cinéma » is called The missing Picture (l’image manquante) , and has been created by Rithy Pahn in 2014. The story is about a man, Rithy Pahn, who survived the Khmer Rouge (1951-1999), which was a communist cambodian genocide directed by Pol Pot. So he decided to tell us what really happened at this time. He said himself that when you are a survivor, you have to tell the truth. The other people didn’t know what was really happening during this period in Cambodia. This is an important and intense message to the rest of the world.

His movie is a mix between clay figures and archives videos. He used clay because clay come from the earth, and that’s a kind of symbol.

 

WEYER Océane

17 janvier 2017

"The missing Picture" By Janelle Mangin

The movie “L’image manquante” tells the story of Cambodia between 1975 ant 1975 during the Kmer Rouge with PolPot. The movie treats about  the life of film maker Rithy Panh during the genocide of Cambodia.

With clay  figures? Rithy Panh is showing the violence of the Kmer Rouge and created the 3missing picture”  in other words he shows the truth about  this horrible tmein the history of Cambodia. Showing the with clay figures Rithy Panh is evidence of the violence of Kmer Rouge, and created the “missing picture” in other words he shows the truth about this horrible time in the histouyr of Combodia.

He talks about the deportation to labour camps, of the death of his father, and after that the death of other family members, his life without them and a little bit of his life other this.

It’s a touching documentary that makes think a lot.

 

By Janelle Mangin

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image-manquante.jpeg, janv. 2017

 

"The missing Picture" official trailer

The Missing Picture Official Trailer (2013) - Oscar Nominated Film HD

 

13 janvier 2017

"The missing Picture" By Léa Fasquel

“The missing pictures”

 

   « The missing picture » was produced by Rithy Panh and appeared in 2015. It's a movie about the events taking place between 17 April 1975 and 7 January 1979. The Kmer Rouge decided to separate the cambodgian people in two parts : « The ancient people », which is heathly and pure and « The new people », which is native to the cities and imperialist and which must be purified, that a big director named Pol Pot, at the head of the Kmer Rouge. Rithy Panh talked about a « genocide », but it's not totally true, because a genocide is when a group thinks an other group of people doesn't deserve to live, so they kill them and erase all traces of their existence and their memories for example. Here, it's not really a genocide because people who killed Cambodians from « new people » where also Cambodian. In some way, it's a self-genocide. Rithy Panh left these horrible events an he thinks this terrible story was too fast forgotten, so he decided to show us « the missing picture », which he didn't find, by building it with many little figurines made of clay, and some archive videos to make a film.

   I loved this movie because the author's intentions are touching, and the use of figurines to recreate memories, good or bad, is very explicit to understand the story. Even if there are somewhat flat moments from time to time, I think it is very important to know the horrible events that took place in Cambodia to show the human stupidity and not to make it happen again, and Rithy Panh has found a good way to tell us.

                   

                                                                                                                          By Léa Fasquel
 
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ikruhgoier.jpg, janv. 2017