"Le héros et le monstre à serpents", Candice Chion, 6F

    Dans une dangereuse forêt vivait une effroyable bête. La créature était horrible, laide. Elle avait une ignoble tête de chien, un énorme corps de tigre et de gigantesques oreilles de lapin. Le monstre était terrible, cruel. Il rugissait comme un tigre, ses deux dents de devant était celles d’un lapin, les autres celles d’un tigre.

    Dans une funeste forêt se trouvait une grotte très sombre, où la végétation était faible, les arbres n’avaient pas de feuilles. Le sol était de la terre sèche. Dans l’habitat du monstre, on sentait une odeur de nourriture assez pourrie. Cet endroit plaisait beaucoup à la créature.

    Mais un jour, pendant que la bête dormait, quelqu’un entra dans la grotte. C’était un homme très courageux. Il vit l’endroit où vivait le monstre, il s’approcha et s'assit sur une roche. La créature sentit qu’un intrus était là alors elle se leva et aperçut l’homme, avança doucement et lui sauta dessus. L’homme réussit à esquiver et sortit une arme de son sac. Il essaya plusieurs fois de planter l’arme sur la bête, il y arriva une fois à la patte mais ça ne fut pas assez pour vaincre le monstre. Les serpents qu’ils y avaient dans la bouche de la bête sortaient de temps en temps pour mordre l’homme. Avec l’odeur ce n’était pas facile. Il grimpa sur une haute pierre, le monstre se prépara à sauter en regardant la pierre mais avant qu’il ne se lance, l’homme lui planta son épée dans l’œil. La créature rugit très fort et s’écroula par terre, le bruit résonna. La bête ne voyait pas très bien avec un seul œil. L’homme non plus ne voyait pas très bien car il faisait nuit. Le monstre était blessé à l’œil et à la patte, il boitait un peu. Il griffa l’homme de sa patte. Celui-ci planta son épée dans le cœur de la bête qui souffrait et qui essayait de retrouver l’homme qui était encore sur la pierre. Elle était maintenant immobile, l’homme l’avait vaincue et il s’en alla avant de rencontrer une autre bête mais encore plus terrifiante. C’est à partir de ce jour que on appela cet l’homme « le héros » .