23 mai 2017

Before the French New Wave, The Classic French Cinema

The french new wave, inspired by American an cinema appeared in the 50's. It was considered as a revolution thanks to its new material and technology that permitted a new way of filming. But it's not only about the way of filming but the way the screenplay was written too. Indeed, if the New Wave's movies seemed to be free about the screenplay, the classic french cinema was judged too politically correct and limited about the stories. That's why the american wave seduced the french public and then created the French New Wave. 

The french classic cinema was blamed as "well-made", but impersonal (like Claude Autan Lara with Le Diable a
Au Corps
), and was oftenly adaptations from novels and was more like literary adaptations projects then originals movies based on a modern story. French cinema appears to the people as a too closed system. It favours the American wave to influence the French cinema.

23 mai 2017

Critique "À Bout De Souffle" par Ro (VF)

À Bout De Souffle, film emblématique de la Nouvelle Vague de Jean-Luc Godard, met en scène le personnage de Michel Poiccard, un criminel recherché pour avoir tué un gendarme qui cherchait à lz contrôler et Patricia, une étudiante américaine à Paris dont Poiccard est amoureux. Si le film semble tourner autour principalement de leur relation, nous allons nous pencher sur des techniques de tournage. 

Pour commencer, on constate parfois un décalage entre les voix des personnages et l'image. En effet, étant donné que le film est quasiment tout le temps accompagné d'une musique plus ou moins joyeuse, les voix sont ensuite doublées par dessus. En parlant des musiques, elles semblent être constamment jouées, rythmées, parfois en décalage avec les répliques et la situation. 

Pour ce qui est de Paris et de sa représentation, on constate un changement caractéristique de la Nouvelle Vague : le mouvement de la caméra. Contrairement aux précédents films, À Bout De Souffle détient cette technique qui permet des plans de caméra différents et surtout un gain de temps avec la possibilité de déplacer la caméra plus facilement. Paris est alors vu de la même manière qu'un parisien, c'est-à-dire en déplacement.

Le personnage principal, Michel Poiccard, apparaît comme un personnage "voyou" et insolent qui finit par tuer un gendarme. Durant tout le film il est à la fois recherché par la police, mais je semble pas affecté le moins du monde puisque tout ce qui semble l'interesser est l'amour de Patricia qu'il n'arrive pas à obtenir. Malgré l'échec, il s'obstine à la voir, jusqu'à entrer chez elle sans son accord pour s'approprier son lit. C'est d'ailleurs en partie ce qui peut être déconcertant dans ce film, l'indifférence du personnage face au refus de cette femme et face au danger d'être attrapé pour son crime. Il semble n'avoir rien à perdre, ce qui le rend sans compte dangereux puisqu'il se soucie peu des conséquences. Pourtant il n'en est pas moins vulnérable puisqu'à la scène finale où il se fait tirer dessus par la police, ayant été dénoncé par Patricia, la femme qu'il aimait, et à qui il faisait sans doute naïvement confiance...

23 mai 2017

22 mai 2017

The New Hollywood

In the time of the new wave in Europe, one new style of American cinema developed at the same time: the New Hollywood or the American New wave.

New Hollywood indicates an American film movement of the end of 1960s at the beginning of 1980s, which modernizes in a significant way the production of movies in Hollywood. This cinema, registered in the counterculture and influenced by the Italian neorealism, the European modernity and the New French Wave, is characterized by the seizure of power of the directors within the big American studios and the radical representation of themes until then taboo as the violence, the corruption of the political powers, the massacre of the Indians or the sexuality. New Hollywood also renews the kinds classic films American (western, macabre film) or them "deconstructed" by freeing itself from conventions of these.

The relatively short period of New Hollywood is considered as one of the most important phases of the American cinema of the artistic point of view, and reveals numerous directors as Steven Spielberg, George Lucas, Francis Ford Coppola, Martin Scorsese, Brian de Palma, Michael Cimino and Dennis Hopper.

22 mai 2017

"Breathless" - The French New Wave's birth and "Breathless" analysis

The French New Wave appeared at the end of the 1950's and the term of "New Wave" appeared in 1957. Jean-Luc Godard was one of the french new wave's pioneer with Breathless in 1960. He was in a group composed of critics who published in a review named "Notebooks on Cinema". They critiqued the classic french cinema and argued that the "cinema was in the process of becoming a new means of expression on the same level as painting and the novel" "a form in which an artist can express his thoughts, however abstract they may be, or translate his obsessions exactly as he does in the contemporary essay or novel". 

This artistic movement is opposed at the classic french cinema by many things: the way of filming, the acting, the shooting's place. Indeed, the French New Wave's films are filmed outdoors contrary to the classic films which are filmed in studio); we could say the acting is more natural and look less "like it's acting" and there are many shots where the actor look at the camera. In this movement, the director is the author of his films, and have a certain characteristic.

We could say that Breathless is very different from classic french movies but also from hollywood movies. Even the main actress, Jean Seberg said so: "It's a crazy experience - no spots, no makeup, no sound ! But it's so different from Hollywood's style that I become natural". Indeed, Jean-Luc Godard would write the scenes just before the shooting and almost everything was improvised. Even the film's theme is different from Hollywood : there isn't a high-speed chase in cars with bullets from everywhere but a murder executed simply and rapidly and a criminal walking leisurely in Paris.

22 mai 2017

21 mai 2017

Critique - "A bout de souffle"

Le film est centré sur un dénommé Michel Poiccard, interprété par Jean-Paul Belmondo. Ce dernier tue un policier après avoir volé une voiture. Recherché par la police, il se rend à Paris où il tente de convaincre Patricia, dont il est amoureux, de partir à Rome avec lui. Cependant, les sentiments de la jeune américaine ne sont pas clairs et elle finit par le dénoncer aux autorités avant qu'il ne reçoive de l'argent qu'il convoite. Jean Seberg en américaine à Paris et Jean-Paul Belmondo en truand amoureux d'elle font le succès de ce premier film culte de Jean-Luc Godard, spécialiste de la Nouvelle vague. Ecrit par François Truffaut, ce premier long-métrage de Godard fait un effet esthétique important dans le cinéma français. Godard invente un cinéma de "liberté", fuyant le tournage en studio. Il filme les rues et les monuments de la capitale de la France et les routes de provinces comme elles n'ont jamais été filmées. Après un bref générique nous montrant uniquement le titre, une toute première scène nous montre Michel Poiccard sur le port de la ville de Marseille, avant qu'il vole une voiture et s'élance vers Paris dans un monologue sur une musique qui semble être une partition de jazz. Tout en roulant à travers les routes de campagne, Michel Poiccard s'adresse à la caméra. Mis à part tout cela, on trouve dans le film l'amour du cinéma américain, incarné par le choix de l'actrice Jean Seberg, révélée par Otto Preminger.

21 mai 2017

18 mai 2017

"A bout de souffle" - critique

A bout de souffle, sorti en France en 1960, est un film réalisé par Jean-Luc Godard, et même son premier long métrage. Ce réalisateur est connu pour faire partie de la Nouvelle Vague, un mouvement cinématographique qui commence à apparaître à la fin des années 1950 (le terme de "Nouvelle Vague" apparaît en 1957).  A bout de souffle raconte l'histoire de Michel Poiccard, qui abat un policier avec une arme trouvée dans une voiture volée, et se retrouve en cavale. Il va à Paris pour récupérer de l'argent et convaincre Patricia, une jeune américaine dont il semble amoureux, de l'accompagner dans sa fuite à Rome. Malheureusement, ces deux tâches s'avèrent être difficiles, entre un débiteur introuvable et Patricia, qui n'arrive pas à comprendre ses sentiments. 

Je n'ai personnellement pas détesté ce film, mais je ne l'ai pas non plus particulièrement aimé. A vrai dire, je n'ai pas vraiment compris: que ce soit la relation de Michel et Patricia, leurs sentiments (enfin, pour le coup, les personnages n'ont pas l'air de savoir non plus), ou encore la fin. Le personnage de Patricia est très intriguant et compliqué (du moins il le semble): elle a l'air ne pas en savoir plus que nous, mais en même temps, elle semble ne plus vouloir accepter la réalité et ses sentiments. Elle change souvent d'avis, et les dialogues entre elle et Michel sont souvent assez étranges et, honnêtement, peu compréhensibles. De l'autre côté, le personnage de Michel semble moins compliqué, du moins, ses objectifs sont plus clairs: réussir à retrouver l'argent et s'enfuir avec Patricia. Cependant, certains zones restent obscures: comme la raison pour laquelle il a tué le policier (il semble en même temps avoir paniqué et l'avoir fait de sang froid) par exemple. Il semble aimer Patricia, mais les mots qu'il lui adresse ne sont pas toujours tendres et il ne réagit pas tant que ça à l'annonce de grossesse de Patricia (elle non plus d'ailleurs, un passage assez étrange du film). La fin nous montre, malgré ces contradictions, son amour pour elle. Pourtant une autre contradiction apparaît: après s'être donné du mal (pas tant que ça, mais un peu tout de même) à fuir la police, il décide de la laisser l'attraper. Une zone obscure, à nouveau: est-ce par amour pour Patricia, par lassitude ? 

On remarque une certains façon de film: beaucoup de gros-plans, de regards-caméra et un jeu d'acteurs quelque peu particulier. Plus que la façon de filmer, c'est l'histoire qui ne me paraît pas si intéressante. Certes, Godard nous montre la complexité des relations amoureuses, mais à part ça, que cherche-t-il à nous faire comprendre ? Et surtout, est-ce juste peu accessible (même si ce film est dit accessible pour un film de Godard) ou absurde ? Ma principale pensée sur ce film: je n'ai pas vraiment compris.

18 mai 2017

03 mars 2017

L'image manquante: court bilan

Les images du film illustrent les propos de la voix-off.

La propagande était très présente lorsque les Khmers Rouges étaient au pouvoir: on voit d'ailleurs beaucoup d'images d'archives dans le film, où même des enfants répètent des slogans. La voix-off les récite également, elle, sans conviction, et explique comment ceux-ci l'ont marqué. La propagande avait l'air d'être efficace: certains enfants dénonçaient même leurs parents.

"L'image manquante" correspond peut-être en fait aux archives de cette période, non seulement presque inexistantes, mais aussi peu fiables. Cette "image manquante" peut aussi correspondre à une partie justement "manquante" de sa vie: son enfance. Cependant, Rithy Panh dit que, finalement, l'image n'est pas manquante: elle est à l'intérieur de lui, puisqu'il s'en souvient.

Le réalisateur, pour se souvenir de la maison de son enfance (dans laquelle d'ailleurs il n'arrivait pas à rentrer), avait voulu faire une maquette. Il s'est ensuite rendu compte que l'une des personnes chargées des décors (un réfugié des camps qu'il avait formé lui-même) savait sculpter. Il est donc parti sur cette idée. Les statuettes de glaise rappellent l'enfance, mais s'apparentent aussi aux humains: elles finissent par disparaître. On peut également penser qu'elles ont servi à remplacer les images témoignant de la période durant laquelle les Khmers Rouges étaient au pouvoir (notamment des archives), qui sont pratiquement absentes ou, qui, peut-être, ne sont pas montrables.

Le projet de Rithy Panh est intéressant. Il nous conte son histoire tout en contant l'histoire du Cambodge sous le régime des Khmers Rouges. Le cinéaste raconte son histoire pour témoigner, mais surtout pour dénoncer les Khmers Rouges et leurs agissements. On peut penser que ce film a un but thérapeutique, qu'il est une sorte de cure: Rithy Panh ne raconte pas seulement les faits, mais aussi son traumatisme. L'image manquante est donc un travail sur la mémoire.

03 mars 2017

03 février 2017

Timeline: Cambodia History

Mathilde_D1.png
 
Mathilde_D2.png
 

 

03 février 2017

18 janvier 2017

The Missing Picture / L'Image manquante (2013) - Trailer (English Subs)

 

 

18 janvier 2017

17 janvier 2017

Ma's review

The Missing Picture is a film directed by Rithy Panh. It's about the period when the Khmer Rouge governed Cambodia and how Rithy Panh experienced it. This film is actually autobiographical, because Rithy Panh shows how he lived under the communist government. He denounces the cambodian genocide, which is not widely aknowledged or blamed enough around the world. The movie is special because most of the scenes feature immobile clay figurines (while other scenes are footage from real  life). Also, a voice-over can be heard: it represents Rithy Panh, even if it's not his own voice.

Personally, I found The missing picture very interesting. I think this native Cambodian who is now French was right to make this film. I knew that communism "killed" many people in Asia, but I didn't know that a genocide (even though it isn't aknowledged as one) actually took place in Cambodia, before I saw this film (and talked about it), so I think it's a good thing to have made it. I also find it moving.

17 janvier 2017

- page 1 de 2