Lettres à Philippe

Le dernier combat

La quête

Nous sommes en 76 après Jésus Christ. Un chevalier du nom de Geoffroy, le comte d'Anjou était un chevalier de Charlemagne. Il dut aller chercher son gigot bien-aimé, mais en chemin il devait passer dans une grotte où il tomba nez à nez avec un dragon à deux têtes.

Le combat

Il combattit le dragon.

L'une des têtes s'appelle Mathieu et l'autre s'appelle Théo. Il les combat avec sa hache, Trancheuse. Il sonna la charge et lança son cheval au galop. Les deux têtes se réveillent à cause du cri du chevalier, elles se relèvent et crachent des flammes sur le chevalier. Il se protège avec son écu et fond sur le dragon à deux têtes, il coupe sa queue. Le dragon crie de douleur, et lui plante ses griffes d'acier dans sa cotte de maille. Le comte les retire difficilement à cause de la douleur. Il charge sur la tête Théo qui n'a pas le temps de riposter. La tête Théo saute du corps et tombe sur le sol.

Mathieu, qui n'a plus son acolyte, se rue sur le chevalier et le mord à l’épaule. Le comte, d'un geste habile, coupe la tête Mathieu. Le dragon tombe par terre. Soudain, les têtes repoussent! Le chevalier se rappelle alors d'une légende, dans laquelle un chevalier combat un dragon et le tue en lui coupant sa queue. Le chevalier se rend compte qu'il faut lui couper la queue et il part à la charge : avec une habileté incroyable, il esquive les flammes de Mathieu et Théo. Il arrive derrière le dragon et lui tranche la queue. Le sang gicle de sa queue comme du ketchup et le dragon meurt. L’aminal lâche une clé, qui sert à ouvrir la porte de la prison dans laquelle est enfermée le dernier gigot de bœuf.

Le sauvetage du gigot bien-aimé

Il arrive en vue du château. Il entre dans le donjon et en monte quatre à quatre les marches. Une fois arrivé en haut, il enfonce la porte. Il voit son gigot bien-aimé, l'embrasse et le ramène chez lui.

Le retour

Il est accueilli en héros et bientôt dans la ville tout le monde mange du gigot.

Faim