Lettres à Philippe

                                                         Le fabliau : Jacqueline et le loup

Je vais vous raconter l'histoire de Ghislaine et de sa fille Jacqueline.

Ghislaine vit une vie paisible avec sa fille Jacqueline qui a neuf ans. Ghislaine est veuve car son mari est mort à la naissance de leur fille Jacqueline. A l'âge de quatre ans et demi  la mère de Jacqueline offre un chien à sa fille car Jacqueline s'ennuyait comme elle n'a ni frère ni sœur. Elle le nomma Vienlat .

Depuis l'âge de sept ans la petite fille a l'habitude d'aller cueillir des fraises des bois avec Vienlat.

Un jour, alors que la petite fille est en train de cueillir des fraises des bois un loup s'approche d'elle et veut la manger car il a très faim.

Un peu avant que le loup aperçut Jacqueline, un chasseur avait vu la petite fille jouer avec son chien et l'avait entendue l'appelait Vienlat. Alors quand le le loup voulut manger Jacqueline, la petit fille  cria : «Au secours viens là , à l'aide !!!!!!» mais Bernard le chasseur, pensait qu'elle s'adressait à son chien et qu'elle jouait avec lui.

« - Jeune fille qu'as-tu donc pour crier comme cela ?

   -Au secours le loup veut me manger!!!!

   -J'arrive ne panique surtout pas!!!»

Quand le chasseur arriva il s'empressa de tirer sur le loup mais malheureusement la bête avait déjà mordu Jacqueline et comme Bernard est aussi médecin il comprend dès que il voit la morsure de Jacqueline que ça peut être très contagieux et très dangereux. Alors, il décide de l'emmener chez lui pour pouvoir la soigner.

 Lorsqu'il eut  fini de la soigner  il lui demanda où elle habitait pour qu'il puisse la ramener chez elle, et quand il l'emmena il eut un coup de foudre pour Ghislaine et ça a été pareil pour elle.

Alors quelques temps après Ghislaine et Bernard se marièrent car ils s'entendaient très bien et Ghislaine est enceinte de sept mois. Pour l'instant ils vivent une vie heureuse.

C'est ainsi que se termine mon histoire.

"Ce n'est pas à l'habit qu'il porte qu'on reconnaît l'homme sage, mais à ses œuvres."

(ce n'est pas parce que Bernard est riche qu'il ne peut pas se marier avec quelqu'un de pauvre).