Une journée d'Ivan Denissovitch, Alexandre Soljenitsyne, 1962 par Justine
Par Elèves de terminale HLP 2020 le 19 janvier 2021, 18:14
Maus, Art Spiegelman, 1980-1991 par Gabriel
Par Elèves de terminale HLP 2020 le 17 janvier 2021, 21:06
Il s’agit bien d’un témoignage historique et non pas d’une fiction...
Deux autres pièces de théâtre : Djihad, Ismaël Saidi (Librio théâtre), J'ai rencontré dieu sur facebook, Ahmed Madani (Actes-sud- papiers)
Une mère veut comprendre ce qu’est devenue sa fille, Emma, 15 ans, endoctrinée par les réseaux de l’Etat islamique. Une série documentaire en cinq épisodes qui montre une société démunie face à l’islamisme. Un podcast de Rémi Dybowski-Douat et Laure Marchand pour "Les Pieds sur terre". https://www.franceculture.fr/societe/ma-fille-sous-influence
La Première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules - Philippe DELERM – par Paul
Par Lise F. le 21 décembre 2020, 09:10
Fernando Pessoa (1888-1935), écrivain pluriel
Par Lise F. le 17 décembre 2020, 21:21
La vie rêvée de Gaston Bachelard ( Les chemins de la philosophie, France culture)
Par Lise F. le 19 novembre 2020, 11:43
Faut-il distinguer l'oeuvre de l'homme ? (Les chemins de la connaissance- France culture)
Par Lise F. le 10 septembre 2020, 11:54
par Anna Cadignan, 1re spécialité HLP
Oh, Oxymore, Suis-je à la porte de la vie ou de la mort ?
Zéphyr me fait sentir la beauté de la vie
La nuit me rappelle à quel point elle est futile.
Là-bas, une fille assise sur un banc pleure son amant,
Ici, un homme pleure ce nouveau monde qui déjà se meurt,
L’étincelle d’espoir se consume entre mes doigts et la fumée qui l’accompagne s’étend
au fin fond de mon âme.
Ce soir, je vois la terre reprendre des droits,
Ce soir, je vois les hommes regretter leurs choix,
Ce soir, c’est à son bord que j’espère apercevoir la lueur de ton regard,
Quelques traits de ton sombre visage qui éclaircit
Tous les cauchemars de la vie d’un enfant trop sage.
A mon grand regret, je ne vois que les banalités d’un monde de songes et de mensonges.
Oh Famine, il n’y a ici que de tristes mines, je m’en vais quitter notre idylle.
Ma vision change, je regarde à travers cette ouverture les étoiles.
Et soudain celle-ci s’éclaircit, mes yeux s’animent et scintillent,
Ton absence crée ma haine et si comme les grands sages le disent l’étoile que je contemple est un de mes parents parti au combat...
Alors c’est un message de paix que je t’envoie.
Ici je sens l’espoir, je pleure l’absence, je cherche ma légende personnelle, et je souris à la nuit qui avec mon coeur compatit.
Oui, ce soir, je suis hypnotisé par les étoiles,
Oh, Oxymore, suis-je à la porte de la vie ou de la mort ? de l’enfer ou du paradis?
Avant que le jour ne se lève, je jette un dernier coup de plume sur ces pages auxquelles je me confie, seule, à ma fenêtre, sans un bruit.
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