La mort est arrivée

 

 

Les jours se sont écoulés,

Et ta vie ensoleillé

De merveilles et de secrets

S’est tendrement arrêtée.

 

Toi, toi qui lis ma douleur,

Songe à la terrible peur

Qui repose dans mon cœur

En pensant à cette terreur.

 

Dans l’amour et la pitié,

Alors les jours ont passé.

Dans la crainte et la pauvreté,

Les jours se sont accumulés.

 

Toi, toi qui lis ma douleur,

Songe à la terrible peur

Qui repose dans mon cœur

En pensant à cette terreur.

 

Louise Moysan-Schmidt