25 janvier 2011

L'automne


L'automne est monotone

Avec ces feuilles qui nous emprisonnent.

les châtaignes se mêlent au décor

Comme une couronne sur ces feuilles d'or.

On voit toujours en automne

Quelque chose qui nous étonne,

Ces feuilles dorées font croire

Qu'il neige de l'or,

L'automne en saison revient

Avec ce refrain qui nous retient

Tel un cadenas sur un trésor

Mais ce n'est pas encore l'hiver,,,

MORGANE

HIDRIO

5ème2

Hier et demain

                                 

 

 

Hier, je jouais avec mon ami, mais c’est du passé,

Hier, je buvais du chocolat chaud, mais c’est du passé,

Hier, je sentais l’odeur de la campagne, mais c’était avant,

Hier, je dormais sous ma vieille couverture en chantant,

Hier, je fêtais les anniversaires d’antan.

 

Demain, je gouterai le poisson de demain,

Demain, je courrai dans la mer du lointain,

Demain, réveil sonnera le matin,

Demain, je partirai en vacances en train,

Demain, j’aurai un chien, enfin !

 

Thomas

 

 

 

L'enfant et le temps

 


L’enfant naît c’est l’heure.

La maman est remplie de bonheur,

Elle tient l’enfant sur son cœur

Bientôt ,c’est lui qui la couvrira de fleurs.

 

File le temps, quelle ardeur !

Déjà grand ,il court après l’heure.

A son tour il attend avec terreur,

De voir naître son enfant bonheur.

 Baudoin

Noël, c'est terminé


 

La neige est tombée,

Mes mains sont gelées.

Vite ! Vite ! Il faut rentrer,

Pour se réchauffer.

 

Le soleil est réapparu,

La chaleur est revenue.

C’est un doux soleil d’hiver,

J’enfile mon pull-over.

 

Je suis déprimée.

J’ai envie de pleurer

Car Noël est passé,

Il m’a oublié.

 

                                     CARLA PAILLOT

 

Le super trawmay

 

 

Ecoute! Ecoute!

La gare nous dit l’heure du tramway.

Et silencieusement, on attend l’heure du départ.

L’heure venue arrive, on l’aperçoit de loin:

Le tramway, roule tout doucement.

Et l’heure tourne, tourne.

On est fatigué de cette journée.

 

Regarde, regarde

Le tramway est passé sous notre nez,

Il nous a raté, complément raté.

Et l’heure de partir de la gare est arrivée.

Nous rentrons à la maison pour l’heure du dîner.

L’heure c’est long, mais attendre un tramway aussi.

 

 

Ecoute! Ecoute! l’heure de la pendule a sonné minuit.

 

 

 

           

Matthis

Regardez !

Regardez ! Regardez !

L’heure passer;

A chaque minute me vient une pensée.

Souvenirs passés...

 

Regardez ! Regardez !

Toutes ces années passées

Nos visages ont changé,

Preuve que nous avons bien profité.

 

Regardez ! Regardez !

Tous ces moments d’amitié

Passés avec mes amis à s’amuser,

Mais aussi, à se consoler.

Axelle Ducrozet

La mouche Tsé -Tsé



Ecoutez ! La mouche Tsé-Tsé

Qui vole à longueur de jours nés

Sans voir l’aiguille tourner

Tout en pensant à son passé.

 

Entendez ! Les saisons défiler,

Regarder ! Passer les journées

Ressentez tourner les années,

 

Laissez ! Se dérouler à vos pieds,

Ce parchemin du futur et du passé

Qui fait de la fleur de pensée

Un bouquet éternellement fané…

 

 

Agathe

Meslier

L’été

Monsieur Eté est le roi.

Ses cheveux blonds reflètent le soleil

Telle l'étincelle d’un feu de joie.

Sa parure d’or est une merveille.

 

C’est le roi du soleil.

Lui seul nous émerveille.

 

Après le printemps,

Monsieur l’Eté montre son nez.

Il a pris tout son temps

Et nous arrive juste après mai.

 

C’est le roi du soleil.

Lui seul nous émerveille.

 

Monsieur L’Eté part en vacances,

A la montagne ou à la mer

Dans les belles campagnes de France,

Loin de l’hiver, loin de l’hiver.

 

C’est le roi du soleil.

Lui seul nous émerveille.

 

 

                                                               Antonin Marzelle

 

 

 

D'hier à demain

         

 

Hier, je rêvais.

Hier, je pleurais.

Hier, on jouait.

Hier, on criait.

Hier, on riait.

 

Demain, on ira partout.

Demain, on verra de tout.

Demain, on croira à tout.

Demain, on rira de tout.

Demain, on deviendra fou.

 

                               Julie Deville

L'automne

En automne, le feuillage tombe,

Tel un vieil homme dontla chevelure tombe,

L’écorce des arbres est toute fripée,

Comme sa peau est toute ridée.

 

 

En automne, avecle brouillard rien n’est net,

Comme le vieillard qui ne distingue rien sans lunettes.

La pluie se déchaîne fortement,

Le grand-père pleure tous les ans.

 

Lapierre Antoine

- page 22 de 24 -