Fahrenheit 450... pour ceux qui brûlent de lire !

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24 mai 2014

Emmurée par la religion

Roman récompensé de plusieurs prix, notamment celui du Goncourt des lycéens 2011, Du domaine des Murmures fait partie de ces livres dont on n’oublie pas le nom. Et c’est avec simplicité que Carole Martinez nous conte l’histoire d’une femme insoumise et intemporelle. La critique du roman par Elora R. (2de 7)

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13 mai 2014

Rejoindre l'Occident pour découvrir l'amour ou trouver l'amour pour se réchauffer ?

"Au temps du Fleuve Amour, c'est le nom de ce livre, intéressant, c'est ce qu'il n'est pas. Cet "ouvrage" tente de nous plonger dans l'univers d'une Sibérie pendant la guerre froide où trois adolescents découvrent leur corps et ses "possibilités" comme les jeunes d'aujourd'hui avec les photos de mannequins photoshopés ou autres sites adultes ayant pour objectif de satisfaire nos besoins primaires. Je ne vous ferai pas un dessin."
La critique du roman d'Andrei Makine, Au temps du fleuve Amour, par Stanislas (seconde 6)

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12 mai 2014

Un roman bouleversant et mystique

« Quand elle s’offre à Dieu, et décide de vivre emmurée jusqu’à sa mort ; elle ne sait pas qu’elle est loin d’être seule. »

Du domaine des Murmures de Caroline Martinez raconte la vie d’Esclarmonde, fille du seigneur des Murmures, c’est une jeune femme pure et aimée de son père, qui est forcée de se marier à Lothaire, homme arrogant et immature, seulement le jour de son mariage, elle refuse de l’épouser et choisit de vivre emmurée dans un tombeau jusqu’à sa mort, se liant à Dieu. Seulement avant d’y entrer elle se fera violer par son père, et ne se doute pas un instant qu’elle donnera naissance à un enfant dans le tombeau. L’évolution de son opinion au sujet de Dieu et de son amour pour son fils rendra ce roman unique.

Critique du roman par un élève de seconde du Lycée François Truffaut;

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Que peuvent-ils faire contre le racisme ?

Un avocat persévérant, des enfants désobéissants et un homme noir accusé à tort.

La critique du livre de Harper Lee, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, par un élève de seconde 6.

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Déchirée entre deux cultures

Les Yeux baissés, c'est avant tout un livre ouvert à une grande diversité de thèmes, et c'est aussi pour cela qu'on l'apprécie.

La critique du roman de Tahar Ben Jelloun, par Nelle, élève de seconde 6.

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