Au cours de mille et une nuits, Shéhérazade raconte au sultan Shariar différentes histoires dont celle de Sindbad le marin.
A Bagdad, le porteur Hindbad se plaint de sa pauvreté. En l'entendant, le riche Sindbad décide de lui raconter comment il est devenu riche.
Premier voyage
Après avoir dilapidé son héritage, Sindbad décide de devenir marchand. Au cours d'un voyage, il se trouve abandonné sur une île qui se révèle être une baleine!
-> A vous de lire la suite du premier voyage de Sindbad! Il y en a sept en tout!
Afin de préparer les élections présidentielles, les élèves de 6ème 2 ont enregistré des émissions de radio dans le studio du collège avec l'aide du professeur documentaliste!
Le Roi est un homme prétentieux, cupide, qui veut toujours plus. Moi qui travaille dans la police du Roi, je peux vous l'assurer! Il nous envoie même parfois aller chercher ses chaussons qu'il a "malencontreusement" fait tomber par la fenêtre. Evidemment, il le fait exprès.
Le Roi a besoin d'être remarqué, il déteste que ses sujets se moquent de lui, alors il les tue. " Quel orgueil ! " allez-vous me dire, mais cela fait dix ans que je travaille pour lui, et je le supporte. J'ai survécu.
Comme il louche, certaines personnes le peignent avec ce détail... toutes mes condoléances. Il a toujours été amoureux de la bergère du tableau, bien que ce ne soit qu'une peinture. Il adore la chasse aussi, enfin, il tire sur des oiseaux innocents en croyant savoir chasser.
Portrait d'Eline
Il descendait les escaliers de sa démarche orgueilleuse et arrogante. Il était avec sa majestueuse cape ainsi que sa couronne, petite à vue d'oeil mais énorme pas sa valeur. Ses yeux louchaient, on ne pouvait pas réellement savoir ce qu'il fixait. Il était petit de taille, mais grand de pouvoir. Il gouvernait son royaume comme un enfant jouant avec ses pions. Il les tuait comme s'ils étaient des jouets: d'un seul coup et il pouvait les remplacer. Il était stupide mais cupide.
Portrait d'Inès
Le Roi semble riche, car son château paraît immense. Il paraît aussi cruel car il tue les oiseaux et emprisonne certaines personnes. Le Roi louche, il paraît petit alors que son château est immense.
Le Roi et l'Oiseau sont ennemis jurés, ils se disputent mais le Roi n'arrive pas à le tuer quand l'Oiseau se moque de lui. Le Roi paraît très cruel, car il veut séparer le ramoneur et la bergère. Il a aussi tué la femme de l'Oiseau. Personne ne peut être à sa hauteur, sinon il se retrouvera mort.
Remarque d'Aïssata S.
Le Roi et l'Oiseau sont ennemis car l'Oiseau aide la bergère et le ramoneur à s'enfuir du château et parce que l'Oiseau peut voler avec ses ailes et être grand. C'est le contraire pour le Roi: il a besoin de mettre des talons pour être grand.
" Nous ne pouvions conserver aucun doute: on avait découvert et pillé la cachette, et les sept cent mille livres avaient disparus!" (page 314).
Ce passage est très significatif. Après de nombreux jours de recherche, de difficultés, de colère etc. il s'avère que le trésor n'est pas à l'endroit indiqué par la carte. Les pirates se sont battus pour, au final, ne rien avoir en retour. leur acharnement pour trouver le trésor n'a servit à rien. cela prouve que le faite d'être avare, ne rien vouloir partager, les a mené à tout perdre.
Extrait d'Imène
"En fait, au second coup d'oeuil, il semblait impossible de concevoir que le corps fût mis dans une position normale. A part quelques os un peu en désordre (oeuvre des oiseaux qui s'étaient nourris du cadavre, ou de la liane à la poussée lente qui avait peu à peu enveloppé sa dépouille), l'homme gisait selon une ligne droite parfaite, les pieds orientés dans une direction, et les mains, levées au-dessus de la tête comme celles d'un plongeur, exactement dans la direction opposée." (page 302)
J'ai choisi ce passage parce qu'il montre la cruauté de Flint qui s'est servi d'un cadavre pour indiquer la direction du trésor.
Extrait (page 16): "Si tu as demeuré tout le temps que tu m'as dit, tu pourras bien y demeurer jusqu'à la fin des temps!"
J'ai choisi ce passage car il montre que le pêcheur est très rusé.
Adama S.
Extrait: "Ô génie, répondit le pêcheur, tu étais il y a un moment le plus grand, tu es à cette heure le plus petit! Tes discours ne te serviront à rien. Tu retourneras à la mer. Si tu y as demeuré tout le temps que tu m'as dit, tu pourras y demeurer jusqu'à la fin des temps!"
J'ai choisi ce passage car il raconte bien la malice du pêcheur.
Mon avis sur le livre: j'ai aimé cette histoire car dedans, il y a un retournement de situation. Au début c'est le génie qui voulait se venger mais c'est le pêcheur qui réussit à se venger.
Leslie
Extrait (page 14):"Je ne peux pas vous croire. ce vase ne pourrait pas seulement contenir un de vos pieds: comment votre corps y était-il enfermé tout entier?
- Je te jure pourtant, repartit le génie, que j'y étais tel que tu me vois. Ne me crois-tu pas, après le grand serment que je t'ai fait?
- Non vraiment dit le prêcheur; et je ne vous croirais point. Sauf si on me fait réellement voir la chose." Alors le corps du génie s'étendit en brouillard."
J'ai choisi ce passage parce que je voulais savoir si le génie allait tuer le pêcheur, mais c'est le pêcheur qui l'a enfermé dans le vase.
Mon avis sur le livre:
J'ai aimé ce livre parce qu'il était amusant, en particulier quand le pêcheur a mis le génie dans le vase.
C'était un peu triste parce que le pêcheur a du mal à pêcher des poissons.
Noura
Résumé de l'histoire du pêcheur
C'est l'histoire d'un pêcheur qui rencontre un génie et le libère. Le génie lui demande alors de quelle façon il veut mourir. Finalement, le pêcheur réussit à remettre le génie dans le vase où il l'avait trouvé.
Résumé de l'histoire d'Aladdin
Aladdin rencontre un magicien africain. Le magicien fait le gentil avec lui pour avoir la lampe merveilleuse. Cette lampe permet à celui qui la possède d'être le plus puissant.
Extrait de l'histoire d'Aladdin (p. 47)
"On comprend maintenant que le magicien africain n'était pas le frère de Mustafa le tailleur, l'oncle d'Aladdin. Il avait découvert qu'il y avait dans le monde une lampe merveilleuse, et qu'elle le rendrait plus puissant qu'aucun roi de l'univers."
J'ai choisi ce passage car on voit qu'Aladdin a cru que le magicien était gentil alors qu'il ne voulait que se servir d'Aladdin pour avoir la lampe merveilleuse.
J'aime beaucoup l'histoire d'Aladdin car au début, il n'est pas gentil avec sa mère, il ne pense qu'à jouer. A la fin il devient gentil avec elle.
Adama N.
Histoire d'Ali Cogia, marchand de Bagdad
Extrait:"Le grand vizir Giafar retourna à la maison où le calife avait observé le jeu des enfants" (page 35). J'ai choisi ce passage car c'est à ce moment là où j'ai su qu'ils avaient découvert la vérité.
J'ai aimé ce livre car c'est grâce aux enfants qu'ils ont découvert la vérité. En effet, à la fin, les enfants ont imité Ali Cogia et le marchand.
Au départ, il s'agissait de réaliser un document audio visuel dans le cadre du concours de la Résistance et de la Déportation dont le thème était "résister par l'art et par la littérature". Notre point de départ a été le film Les visiteurs du soir de Carné, tourné pendant et influencé par la seconde guerre mondiale.
A cause de soucis administratifs, nous n'avons pas pu nous inscrire au concours, mais nous n'avons pas pour autant abandonné notre projet. L'étude d'un film est comparable à une étude de texte: on utilise différents outils qui servent notre propos. Quels effets Carné a-t-il choisi pour dénoncer la politique de Pétain lors de la seconde guerre mondiale? Comment dénoncer à l'aide d'une fable qui semble issue d'un autre temps? Pour répondre à ces questions, nous avons essayé de faire le travail inverse de Carné: au lieu de partir de la réalité pour en faire une fable, nous sommes partis de sa fable pour essayer de comprendre comment celle-ci pouvait se réaliser dans notre univers (notre lycée, notre époque etc.).
Notre film a été réalisé en très peu de temps, nous avons rencontré des difficultés en particulier pour le son (nos dialogues n'ont pas pu être enregistré ce qui complique l'interprétation que l'on peut donner aux images). Néanmoins, nous avons pu mettre à profit les outils d'analyse filmique travaillés, observez et essayez d'interpréter:
- les mouvements de caméras, en particulier au début, qui permettent de présenter les personnages principaux et de montrer qu'ils sont perdus
- les différents travellings
- les raccords de mouvements en particulier qui permettent de réaffirmer notre filiation avec le film de Carné. Nos films racontent la même histoire en dépit du changement du cadre spatio-temporel.
L'École des femmes est une pièce de Molière parue en 1662. Celle-ci traite d'un personnage, Arnolphe de la Souche qui n'a qu'une seule crainte: être trompé par une femme. Aussi décide-t-il d'épouser Agnès, sa pupille, qu'il a éduqué dès son plus jeune âge en la maintenant dans l'ignorance. Seulement, Arnolphe doit faire face à Horace, un jeune homme fou amoureux d'Agnès.
J'ai choisi d'analyser la mise en scène de cette pièce par Didier Bezace en 2001 avec Pierre Arditi dans le rôle d'Arnolphe et Agnès Sourdillon dans celui d'Agnès. L'extrait est tiré des scènes 2 et 3 de l'acte II, où Arnolphe s'en prend à ses serviteurs, Alain et Georette pour avoir laissé entrer un homme (en l'occurrence Horace) dans sa maison durant son absence. Didier Bezace a opté pour une mise en scène plus sérieuse que d'autres metteurs en scènes, par exemple que celle proposée par la compagnie de Colette Roumanoff.
Ces scènes sont interprétées dans un décor neutre avec la couleur noire omniprésente de par le plancher, le fond ainsi que les vêtements des personnages présents. Les costumes noirs donnent un aspect d'autant plus sérieux, dramatique et menaçant. Outre les costumes, le ton des personnages participe également à cet aspect sérieux; Arnolphe étant habillé en noir et blanc, il contribue à donner une figure d'autorité telle un juge. Une certaine violence est également installée, notamment lorsqu'Arnolphe attrape violemment Alain et Georgette encore assis à terre, afin de montrer sa supériorité. Il est donc représenté comme un tyran qui effraye tout le monde. Afin de montrer cette peur, Didier Bezace laisse ces personnages au sol, ils marchent à quatre pattes pour se rejoindre ce qui illustre leur infériorité.
Je trouve que cette mise en scène est fidèle à l'œuvre originale L'école des femmes et captive le spectateur. On peut donc dire que Bezace a plus d'un tour dans sa besace!
On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants, //
Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands, //
Et d'un extérieur qui brille ; //
Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot, //
On le méprise, on le raille, on le pille; //
Quelquefois cependant c'est ce petit marmot. //
Qui fera le bonheur de toute la famille.