Le chapiteau « Les tréteaux de France » est un centre dramatique
national, qui est contrairement aux autres, ,itinérant, et va dans les
endroit de la France ou la culture est peu présente
J’ai
assisté à la pièce Oncle Vania, de Tchekhov, mise en scène et jouée par
Marcel Maréchal qui est également directeur du C.D.N. . Cette pièce
raconte la vie paisible de Sonia et de l’oncle Vania dans leur domaine,
perturbée par l’arrivée du professeur Serebriakov. Cela va créer des
tensions et des rivalités entre les personnages. Les décors de la scène
sont bien pensés, par exemple, il y a des portes, mais sans les murs, ce
qui laisse part à l’imagination du spectateur. Cette pièce est en
revanche assez longue, elle dure deux heures et demi.
Ce qui
m’a le plus touché, c’est la vitalité et la présence sur scène de Marcel
Maréchal, âgé de 73 ans. L’ironie est présente sur scène, ainsi que les
sentiments amoureux, l’humour, et l’action. Il y avait une moyenne
ambiance sous le chapiteau, les spectateurs ne remarquaient pas
certaines touches humoristiques, les clins d’œil. C’est pourtant ce qui
m’a fait prendre goût à cette pièce. Enfin, cette pièce est sublimement
jouée et l’attitude des personnages est naturelle. J’ai donc passé un
excellent moment.
Ce livre nous raconte l’histoire de Callum et Sephy. Un Nihil et une Prima. Un blanc et une noire. Dans ce livre, les noirs sont au pouvoirs : ce sont les plus riches et les plus puissants, les blancs ne sont plus en esclavage mais les mentalités des Primas n’ont pas changé pour autant. C’est un racisme que les Primas ont envers les Nihils. Callum et Sephy se sont connus par le biais de leurs parents. Mme McGrégor, la mère de Callum, travaillait pour les parents de Sephy. Ceux-ci l’ont renvoyé après dix ans de service pour eux. Depuis ce jour les deux familles se détestent hormis Sephy et Callum qui entretiennent toujours une très forte amitié. Ils continuent à se voir en cachette. L’histoire est découpée en plusieurs parties qui nous font voir l’évolution des deux personnages au fil du temps, ainsi que leur relation. Dans ces parties, l’histoire est toujours racontée sous le point de vue des deux personnages à tour de rôle, ce qui nous permet de suivre leurs vie, leurs familles, et leurs problèmes.
Cet livre nous raconte une histoire d’amour entre un Nihil et une Prima, autrement dit, entre deux jeunes gens appartenant à deux peuples différents et subissant le racisme et le mépris incessants de la part du « camp » adverse. Cependant leur amour survit, malgré quelques séparations ils ne s’oublient pas. Du fruit de leur amour résulte un enfant, qui portera le nom de son père malgré ce que les gens peuvent en penser.
Avis personnel :
J’ai trouvé ce livre particulièrement intéressant car dans l’Histoire réelle, l’Histoire du Monde, c’est l’inverse. Ce sont les noirs qui avaient été réduits en esclavage, cependant la situation est un peu plus évoluée car aujourd’hui il y a plus de tolérance. Le racisme reste toujours présent mais moins que quelques années avant, même si cela peut varier en fonction des pays... Ce livre nous fait voir l’Histoire comme elle aurait pu être si l’effet inverse ce serait produit. Et le fait que l’amour entre Callum et Sephy perdure même après tout ce qu’ils ont vécu, et toutes les souffrances qu’ils ont endurées sont très captivantes. Ces deux personnages nous envoûtent complètement et nous font plonger dans le récit. Ces trois cent quatre vingt seize pages se lisent très facilement car l’histoire est très captivante et intéressante. De plus c’est écrit sous un langage courant, parfois familier ce qui aide la lecture.
Finalement, l’école nous permet parfois de lire des livres très intéressants et très enrichissants...
Je m'étonne de ne plus lire aucune critique ces derniers temps...
N'attendez pas les consignes (rassurez-vous, elles vont arriver ;) !) pour participer, échanger, commenter, publier ! D'autant que vous ne vous êtes pas non plus précipités sur le blog de mes classes (rappel : http://blog.crdp-versailles.fr/lyceesenghorlettreslefaou/index.php/) pour y dévoiler vos talents de critiques en herbe.
Par Critique en herbe le 11 mars 2010, 10:50 - Les films
Hancock est un
personnage joué par Will Smith qui tient bien son rôle. Ce personnage
est assez drôle grâce à ses différentes répliques et son comportement,
je le qualifierais de "super héros délirant". Il pense être le seul à
posséder ces pouvoirs mais...
L'aventure de ce personnage est à découvrir et il y aurait peut-être une suite au premier volet. Ce film est à voir, pour ceux qui aiment les films d'action avec un peu d'humour, il est assez représentatif.
Je vous invite à profiter de vos vacances pour prendre le temps d'explorer la liste de lectures proposées par les libraires...(pour ceux qui n'en auraient pas eu connaissance, vous la retrouverez sur le blog des classes de Mme Le Faou, en lien sur la page d'accueil).
Lisez les critiques publiées sur ce blog, elles vous donneront des idées !
Merci à tous ceux qui alimentent régulièrement le blog.
N'oubliez pas que vous pouvez aussi conseiller des films et des spectacles.
Voici les avis des élèves de seconde F suite à la
représentation :allez jusqu'au bout du billet, vous trouverez en tout 9
avis argumentés, tous très complémentaires.
Merci encore au Théâtre des oiseaux d'avoir su inspirer tous ces écrits par la qualité du spectacle qui nous a été proposé !
1:
Avis argumenté sur le spectacle Les Marrons du Feu
Le jeudi 11 février nous sommes allés voir "Les marrons du feu"
par le théâtre des oiseaux à Mantes . A notre arrivée nous nous
installons, la salle est plutôt petite comparée à celles que j’ai pu
voir .Nous n’étions pas bien nombreux, mais j’ai été déçue de
l’ambiance dans le public certaines personne faisaient beaucoup de
bruit
et faisaient des commentaires durant la pièce ce qui pouvait déranger.
J’ai trouvé le décor très réussi et bien sympathique, il
reflétait bien l’ambiance de la pièce avec toutes les couleurs. La
musique était jouée par des comédiens sur scène, on les voyait jouer et
en même temps faire l’émotion voulue avec le visage, par exemple quand
l’abbé voulait que ses musiciens jouent devant la fenêtre de la
Camargo, ils jouaient de la musique et en même temps jouaient la
comédie. Le maquillage des comédiens ainsi que leurs vêtements étaient très
réussis, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il y ait tant de
couleurs dans la pièce. Pour le maquillage on aurait dit des poupées
chinoises : le fond de teint blanc, le rouge à lèvres rouge et des couleurs
très prononcées pour les yeux et les pommettes, un maquillage très
voyant .Pour les vêtements on pouvait croire qu’ils se sont inspirés
d'Arlequin avec toutes ces couleurs et vêtements sortant de l’ordinaire
.
La mise en scène était elle aussi très réussie, les personnages
étaient tous très drôles et jouaient bien avec le public .J’ai pensé
qu’ils avaient dû faire l’école du cirque car il y a des références,
comme le mime ou la gymnastique.
J’ai trouvé que les comédiens étaient tous très bons ils m’ont
tous fait rire au moins une fois. Laëtitia qui était un peu folle et
dévergondée, Palforio qui était dans un tonneau, qui je pense
représentait son auberge, les deux matelots m'ont beaucoup fait rire déjà
pour la différence de taille qui est flagrante, le plus grand était
très fort et le plus jeune qui était un petit voleur et se jouait
bien de l’abbé et de Raphaël .Quand j’ai vu l’abbé et Raphaël je me
suis demandée s’ils ne s’étaient pas trompés dans la distribution des
rôles car l’abbé était représenté comme étant maigre et plutôt petit et
Raphaël assez grand et enrobé, alors que dans le livre c’était tout le
contraire .
J’ai beaucoup aimé cette pièce et je ne me suis pas ennuyée un
seul instant, je pensais que ce serait plus ennuyeux que ça, vu que
c’est une pièce qui est quand même du XIX° siècle .Les couleurs,
l’ambiance et les comédiens tout était super .
( A.J., 2F)
2 :
Les Marrons du feu de Musset
Nous avons fait une sortie au théâtre des Oiseaux pour voir une
interprétation des Marrons du feu. Cette pièce était très bien
interprétée et le décor était à la fois simple et bien réalisé. Les
comédiens jouaient bien leurs rôles, en particulier l'abbé qui était
très naïf et Palforio qui semblait apeuré par les autres personnages .
Il y avait beaucoup de passages comiques, ce qui rendait la pièce plus
intéressante à regarder. Cette pièce a été interprétée par Bernard
Martin.
3:
Lors de notre sortie le Jeudi 11 Février à l'école d'art et musique de
Mantes la Jolie nous avons vu la pièce de théâtre : Les Marrons du Feu.
Cette pièce est une comédie avec des péripéties amoureuses.
Présentation des personnages :
_ La Carmargo est une danseuse de haute classe, qui aime Garuci.
_ Garuci nommé Rafaël est un homme libertin, qui a de nombreuses relations.
_ L'abbé, l'homme tombé amoureux de la Camargo.
_ Palforio est l'hôtelier.
_Laetitia la servante de la Camargo.
_Les matelots.
C'est un triangle amoureux entre la Camargo, Rafaël et l'abbé. L'abbé
qui est tombé amoureux de la Camargo mais celle-ci ne l'aime pas car
elle en aime un autre appelé Garuci tandis que Rafaël est un homme
libertin sans préoccupations sentimentales.
Avis personnel :
C'est une pièce très bien jouée avec beaucoup d'humour.
Les comédiens sont très performants, le décor est mis en valeur..
L'histoire en elle-même est attirante, le public ne s'ennuie pas.
Tout s'enchaîne correctement, on repère bien le schéma narratif.
Pour les jeunes c'est une pièce de théâtre très intéressante.
C'est pour cela que je la recommande.
(C.A., 2F)
4 :
Les Marrons du feu
Alfred de Musset
Théâtre des Oiseaux
Ce spectacle, dynamique, entraînant et
amusant, m'a beaucoup plu. Une pièce, certes écrite au XIXème siècle, mais avec
une mise en scène originale, qui nous permet de mieux accrocher à la pièce. Un
décor simple, mais qui nous met tout de suite dans l'ambiance de la pièce. Des
comédiens, parfois ne collant pas avec la description, comme le comédien qui
joue l'Abbé qui dans la vraie vie, est plutôt jeune, et non joufflu ou gros.
Les comédiens jouaient bien leur rôle tout en
gardant cette originialité qui caractérise la pièce et qui la différencie des
autres. J'ai bien aimé le personnage de l'Abbé ou Palforio, des personnages
plutôt comiques qui m'ont plutôt fait rire. Des passages comiques comme lorsque
l'Abbé est à la fenêtre de la Camargo, ou lorsque la bouteille est jetée au
ralenti.
Le début était un peu spécial, mais amusant
comme avec les vagues faites avec un drap. La suite était aussi passionnante comme la 2ème
Scène dans laquelle Rafael joue avec la Camargo, et avec l'amour qu'elle
éprouve pour lui.
La seule chose que je n'ai pas trop aimé, le
passage où la Camargo parle toute seule que j'ai trouvé un peu long, et que le
metteur en scène aurait peut-être pu rendre moins ennuyant.
Cette pièce était donc amusante, distrayante,
avec beaucoup d'humour. Je vous conseille vivement d'aller la voir, ça vaut le
coup. Elle convient également pour tous les âges, même si par certains moments
des enfants trop jeunes ne pourraient pas trop comprendre.
Hugo.
5 :
Les Marrons du feu de Musset
J'ai bien aimé les Marrons du feu car c'est une comédie. J'ai surtout
bien aimé la mise en scène, le fait aussi qu'il y a un enfant qui joue
dedans; je trouve que cela a donné une meilleure compréhension. Ce que
j'ai aussi apprécié c'est l'ironie des personnage, par exemple l'abbé
qui n'avait pas la carrure d'un abbé et aussi l'effet ralenti avec la
bouteille qui tue Palforio, c'était la première fois que je voyais ça
au théâtre. Ça m'a surprise, mais j'ai adoré. Ça rajeunit la pièce.Ce
que j'ai trouvé sympathique c'est qu' à la fin les comédiens ont pris du
temps pour répondre à nos questions. Moi qui ne suis pas très théâtre
j'ai vraiment été séduite par tout le contexte. (R.An, 2F)
6 :
Le Jeudi 11 février 2010, nous sommes allés à L'ENM (École Nationale de
Musique) à Mantes-La-Jolie. La pièce parlait d'une relation amoureuse
entre deux personnages, ou plutôt trois. La Camargo ( danseuse ),
Raphaël ( Le seigneur Garucci ) et Anibal ( L'abbé ) .
Tout d'abord j'ai trouvé que le livre était plus intéressant que la
pièce car la mise en scène n'était pas très bien réalisée. De plus,
j'ai trouvé la présence de l'accordéon très importante car celui ci
nous "guidait" et nous montrait les sentiments des personnages.
Ensuite, j'ai été surprise par l'abbé, que j'imaginais joufflu et
enrobé mais qui était mince et de taille moyenne. La question a été
posée au metteur en scène qui nous a expliquer que c'était voulu . (S.V, 2F)
7 :
Critique sur Les Marrons du feu
Le jeudi 11 février 2010, nous sommes allé voir à l’ENM
(Ecole Nationale de Musique) à Mantes la Jolie, Les Marrons du feu de
Musset, une pièce interprétée par Bernard Martin avec la troupe «
Théâtre des Oiseaux ». (http://www.theatredesoiseaux.fr/)
J’ai adoré cette pièce, la mise en scène n'était pas mal. La
décoration m’a surprise, je ne m’imaginais pas la scène comme cela, de
bonnes idées, comme la mer qui était très bien interprétée, comme
certaines situations qui étaient bien dans la mise en scène et que l’on
ne s’imaginait pas comme cela, le metteur en scène a eu beaucoup
d’imagination, par exemple quand « Laeticia » (camériste de la Camargo)
imagine une fenêtre ou plutôt dessine une fenêtre dans le « vide ».
Les danses étaient « comiques » et bien interprétées, comme celle-ci
entre l’abbé et Garucci (la dixième photos des Marrons du Feu du lien :
http://www.theatredesoiseaux.fr/photos.php?spec =1).
La complicité entre les personnages était bien jouée, interprétée.
Ce qui a été bien, aussi c’est quand les acteurs à la fin de la pièce, se sont joints à nous pour répondre à nos questions.
Ce que j’ai le moins aimé, c’est le lion (personnage du
carnaval) qui n'était pas assez représentatif du carnaval, car il est apparu
« tout seul », et si l’on a pas lu la pièce, on peut se demander qui
est-il ? Car le carnaval n’a pas assez fait « acte de présence », un
seul personnage était déguisé (la vingtième photos des Marrons du feu du
lien : http://www.theatredesoiseaux.fr/photos.php?spec=1). Et le public, les spectateurs n’étaient pas au top de la concentration.
Joanaa (2F)
8 :
Les marrons du feu au théâtre des oiseaux a été une représentation très
entreprenante et comique. Ce spectacle, je l'ai bien aimé car il avait
des innovations comiques par rapport au livre, par exemple le moment où
la bouteille est jetée et qu'il y a un effet de ralenti.
J'ai bien aimé le personnage du sergent et du musicien à la fois, car
il avait un côté sympathique et drôle autant dans la scène que dans la
vraie vie. J'ai trouvé que la distribution des rôles était elle aussi
comique car l'abbé n'était pas physiquement ressemblant à celui de
Musset et pareil pour Rafael. Ce spectacle avait un côté familial et
comique que j'ai adoré et je le conseille donc à tous (F., 2F)
9 : Critique de la représentation théâtrale
Les Marrons du feu d'Alfred Musset
Nous sommes allés voir Les Marrons du feu de Musset
mise en scène par Bernard Martin et interprété par «le théâtre des
oiseaux».
J'ai particulièrement apprécié la mise en scène. J'entends
par là: le décor qu'il soit fixe ou mobile (le drap qui représentait la
mer), les costumes qui étaient ceux de l'époque de Musset. Cela nous
permettait de nous plonger au cœur du 19ème siècle.
Sur scène, il y avait une vivacité dense car Lætitia faisait des
acrobaties. Elle occupait l'espace et le regard lors des transitions.
À la fin de la pièce la Camargo et l'Abbé «rentrent en affaire»; cette
scène est bien représentée car le doute subsiste sur les promesses de
la Camargo vis à vis de l'Abbé?
Dans ce spectacle le
décor était plutôt immobile et vide. Le manque de décor était compensé
par le pianiste qui jouait particulièrement bien. Le jeu de lumière bien
fait.Le fait de mettre le public dans la peau de
plusieurs personnages était plutôt difficile à comprendre. Mais les
acteurs jouaient bien et ont fait une très bonne prestation. Leur texte
comportait une quantité importante de mots vulgaire à mon goût.
Le public était plaisant et ne gênait
pas les acteurs et riait au bon moment. Je pense que mes camarades et
moi n'avons pas aimé l'intrigue de l'histoire et nous nous sommes
lassés assez vite de certaines répétitions.
Vous
vous attendez sûrement en lisant le titre de ce livre, à découvrir
l’histoire d’une jeune fille et de la mode, et bien comme dit le
proverbe : « l’habit ne fait pas le moine ». Ce livre est écrit sous le point de vue de Vincent, un adolescent complexé par ces « bubons » sur son visage. Dans
chaque lycée on peut trouver : les intellos, les sportifs, les
populaires, les non-populaires. Vincent fait partit des non-populaires,
avec ses amis ils se surnomment les Invisibles. Pourtant grâce à sa tante Paulina, tout va changer pour Vincent et ses amis. Ce
livre est décevant pour les gens aimant la mode car il n’y a que de
cours passage sur celle-ci, cependant on peut y voir comment un
adolescent apprend à s’aimer, son physique, comment il se découvre.
Je pense que Fashion Victim vise les adolescents en mal d’eux-mêmes et qui peuvent parfois avoir des idées noires.
Nous avons assisté à la
pièce Elias Leister a disparu d’Eudes Labrusse, en classe entière.
Après l’intervention de l’auteur dans notre classe, je me suis attendu
à voir des rapports avec la mythologie grecque. En effet, Elias a
«violé» une femme ce qui rappelle le mythe d’Œdipe. En ce qui concerne
le décor, j’ai trouvé intéressant qu’une table et qu’un pan de mur
contiennent des éléments retraçant la vie d’Elias Leister (comme une
miniature d’un camion qui rappelle les dix ans de ce personnage).
Cependant, l’histoire m’a paru confuse, je n’ai pas compris le rôle de
certains personnages dans le contexte du spectacle. J’ai également
remarqué les jeux de lumières qui centraient les personnages
principaux. Enfin, la présence du pianiste m’a paru sublime, son rôle
était de renforcer l’idée du mystère, du suspense. (J’ai remarqué
qu’une des musiques jouées par ce dernier se trouve dans le générique
du film Ni pour, n i contre, bien au contraire, de Cédric Klapisch).