Le SIOM a offert un spectacle à tous les élèves de l'école : Lombric Fourchu sauve ta planète, pour sensibiliser nos élèves à l'économie circulaire et au recyclage.
L’économie circulaire désigne un modèle économique dont l’objectif est de produire des biens et des services de manière durable, en limitant la consommation et les gaspillages de ressources (matières premières, eau, énergie) ainsi que la production des déchets. Il s’agit de rompre avec le modèle de l’économie linéaire (extraire, fabriquer, consommer, jeter).
L'élève Hamlet(sursautant): ... Hein... Quoi... Pardon.... Qu'est-ce qui se passe... Qu'est-ce qu'il y a... Qu'est-ce que c'est ?...
Le professeur(mécontent): Vous ne pouvez pas répondre "présent" comme tout le monde ? Pas possible, vous êtes encore dans les nuages.
L'élève Hamlet : Être ou ne pas être dans les nuages !
Le professeur : Suffit. Pas tant de manières. Et conjuguez-moi le verbe
être, comme tout le monde, c'est tout ce que je vous demande.
L'élève Hamlet : To be...
Le professeur : En Français, s'il vous plaît, comme tout le monde.
L'élève Hamlet : Bien, monsieur. (Il conjugue:)Je suis ou je ne suis pas
Tu es ou tu n'es pas ; Il est ou il n'est pas ; Nous sommes ou nous ne
sommes pas...
Le professeur : (excessivement mécontent) : Mais c'est vous qui n'y êtes
pas, mon pauvre ami !
L'élève Hamlet : C'est exact, monsieur le professeur,
Je suis "où" je ne suis pas
Et, dans le fond, hein, à la réflexion,
Être "où" ne pas être
C'est peut-être aussi la question.
Ce texte est extrait de Paroles de Jacques Prévert
Mauvais élève (de Claude LAMBLIN)
LE FILS:
- Tu sais, papa...
LE PÈRE:
- Non, je ne sais pas encore... Mais je ne vais pas tarder à savoir !
LE FILS :
- En classe, il y a un garçon qui est assis juste à côté de Jérôme. Eh bien, il n'arrête pas de faire des bêtises !
LE PÈRE :
- Ah bon ? Qu'est-ce qu'il fait ?
LE FILS :
- Je te donne un exemple : il prend la gomme de Jérôme, il la découpe en petits morceaux et il les jette en l'air, comme si c'étaient des confettis !
LE PÈRE:
- Ça alors ! Et la maîtresse ne dit rien ?
LE FILS :
- Si, bien sûr ! Elle le punit... Mais ça ne sert à rien parce qu'il ne fait jamais ses punitions !
LE PÈRE :
Ça alors ! Il faut l'envoyer chez la directrice ! Elle convoquera ses parents et ce vilain gamin se fera disputer ! Bien fait pour lui !
LE FILS :
Tu as sûrement raison, papa... Mais j'espère que ses parents ne seront pas trop sévères...
LE PÈRE:
- Dis-moi... J'espère que ce garnement n'est pas ton copain !
LE FILS
- Oh non, papa ! Mais je le connais bien !
LE PÈRE:
- Tu n'es pas assis à côté de lui, j'espère !
LE FILS :
- Oh non, papa ! Moi je suis assis à côté de Jérôme,..
LE PÈRE:
- A côté de Jérôme... A côté de Jérôme...
(Le père réfléchit en se grattant la tête. Soudain, expression d'horreur:) Mais alors, si tu es assis à côté de Jérôme... Le petit pénible qui découpe les gommes... Le casse pieds qui ne fait jamais ses punitions... C'est toi !
LE FILS :
- Eh oui, papa ! Et le pauvre papa qui va être convoqué par le directeur, c'est toi !
(Le papa se frappe le front et s'évanouit. L'enfant se tourne vers le public.)
Pauvre papa ! Il voulait que je sois le premier de la classe... Eh bien il a gagné ! Je suis le premier, mais en commençant par la fin !
Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur le champ que je me l'amputasse ! »
Amical : « mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! »
Curieux : « de quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau c'est vraiment très commode ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « c'est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.
Le mardi 10 décembre à 13h30, les élèves de l’école Jean Jaurès sont allés voir le spectacle Le cri de la girafe, à l’Espace Jean Racine.
Les enseignants et des parents de certains élèves, notamment pour notre classe de CM2 : le père de Guillaume, la mère de Basile, la mère de Valentine et la mère de Pierrick, nous ont accompagnés !
Ce spectacle nous a été offert par la mairie de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.
"Une girafe hautaine irrite par ses propos méprisants tous les animaux qu'elle rencontre : la vénérable tortue, le perroquet qui se prépare pour le carnaval, le singe fantasque. Un jour, elle tombe malade et se retrouve seule… Deux comédiens, l'un danseur, l'autre musicien (clavier et percussions), interprètent ce conte venu du Congo. Recueilli de la bouche d'une grand-mère qui laissait s'envoler ses mots devant un feu, le récit se raconte sur scène autant par la parole que par la gestuelle et la musique. La chorégraphie et l'interprétation époustouflante de Chrysogone Diangouaya font naître de chacun de ses mouvements l'allure d'un animal, l'élégance supérieure de la girafe, les ondulations du serpent, les sauts de la grenouille. Un maillage de danse et de musique contemporaines et traditionnelles."(Télérama)
Nous avons participé à une rencontre sportive inter-écoles ultimate.
Nous avions 4 équipes en compétition qui ont joué des matchs de poule avec des équipes d'élèves de CM2 de Madame Vacher et des écoles Jean Moulin et Jacques Liauzun.
Équipe 1
Équipe 2
Équipe 3
Équipe 4
Les équipes2 et 3 de notre classe se sont qualifiées pour les 1/4 de finale.
L'équipe 2 a gagné la finale et remporté la coupe ! Cette coupe sera remise en jeu à une prochaine rencontre sportive inter-écoles.
Bravo à tous nos sportifs en herbe pour leur investissement physique et leur fair-play !
Derniers commentaires