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La naissance du cinéma

Sommaire :

I-Introduction

II-La fantasmagorie

III-Le galop de Daisy

IV-Les personnages :

1.Les frères Lumières

2.Mélies

V-Les genres dans le cinéma

VI-L'apparition du son

VII-L'apparition de la couleurs

I-Introduction :

Personne n’a vraiment inventé le cinéma qui restera une œuvre collective, née dans un climat de méfiance et de trahison. En 1895, de nombreux inventeurs, en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Etats-Unis, en France, touchent presque au but. C’est la course aux brevets et la mode des procès. C’est cette année-là que les frères Lumières mettent au point leurs caméras réversibles servant à la prise de vue comme à la projection. Appelée d’abord « kinétoscope de projection », elle sera vite rebaptisée « cinématographe ». Cependant, cet appareil ne sera jamais commercialisé, et son mécanisme, qui ménage peu la pellicule et provoque des sauts d’images à la projection, sera vite abandonné.

En différents points du globe, cette même année, on peut assister aux premières projections publiques et payantes. C’est la naissance des premières séances et des premiers publics de cinéma. En 1897 s’ouvre porte Saint-Denis, à Paris, le « Cinéma Lumière », peut-être la première salle au monde. Le cinématographe, déjà surnommé « cinéma », ne vas pas tarder à devenir une industrie.

II-La fantasmagorie :

En 1789, Robertson propose un spectacle baptisé « fantasmagorie ». La première séance, tenue le 23 janvier à 18 heures au Pavillon de l’Echiquier, fascine spectateurs et journalistes. Robert le physicien devient alors Robertson le « fantasmagore ».

Une fantasmagorie est une forme de spectacle à base d’illusions d’optique, très réputé à la fin du XVIIIe siècle ; désigne un spectacle extraordinaire. C’est le premier dessin animé cinématographique.

Une fantasmagorie

III-Le galop de Daisy :

Le cinéma est un art du spectacle. Il expose au public un film, c’est-à-dire une œuvre composée d’une suite d‘images en mouvement projetées sur un support, généralement un écran blanc, et accompagnées la plupart du temps d’une bande son. Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média.

IV-Quelques personnages :

a)Les frères Lumière

Inventeurs et industriels français (Louis Lumière [Besançon 1864-Bandol 1948], et Auguste Lumière [Besançon 1862-Lyon 1954]).

Savant autodidacte, Louis Lumière – aidé de son frère Auguste – contribua aux progrès de la photographie et inventa, en 1895, le Cinématographe. Ce faisant, il ne créa pas seulement une machine : il donna naissance à l'un des arts majeurs du XXe siècle, le cinéma.

Fils d'un fabricant de plaques photographiques , Ils se lancent ensuite dans une série de travaux qui vont apporter de grandes améliorations dans le domaine de la photographie.

En 1894, les frères Lumière ont l'occasion d'examiner le kinétoscope de Thomas Edison. Ils sont vivement intéressés par l'idée de pouvoir projeter des images animées, mais le kinétoscope ne permet alors qu'une vision individuelle. Après avoir essayé plusieurs mécanismes, Louis Lumière imagine la griffe, qui demeure le mécanisme d'avance intermittente de toutes les caméras actuelles. Dès l'été 1894, dans l'usine qu'il a créée à Lyon-Monplaisir, il construit une première caméra, apte à la prise de vues, au tirage des copies et à la projection, qu'il baptise « Cinématographe ».

'L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat', ou 'L'Arrivée d'un train à La Ciotat', est un film français des frères Lumière tourné en 1895 et présenté pour la première fois en janvier 1896.

La tradition veut que lors de la projection du film original, l'image d'un train qui arrive directement vers lui ait terrifié le public, criant et se précipitant vers l'arrière de la salle. Le journaliste Hellmuth Karasek a rapporté dans Der Spiegel : « Ce court métrage a eu un impact particulièrement durable ; oui, il a provoqué la crainte, la terreur, et même la panique ... ».

L'Arroseur arrosé est un titre généralement donné à deux vues comiques de Louis Lumière. En fait, aucun des deux films n'a porté ce titre mais ils sont tous deux adaptés d’une page humoristique d’Hermann Vogel, célèbre à l'époque. La première version est en fait intitulée Le Jardinier et le Petit Espiègle et la seconde version Arroseur et Arrosé, celle-ci étant la seule à être inscrite dans le catalogue Lumière. Véritables piliers culturels, ces courts-métrages sont particulièrement réputés, car ce sont les premiers à suivre un scénario et à ne pouvoir s'apparenter à un documentaire. Il s'agit donc à la fois des premières fictions cinématographiques et des premiers films comiques. Il a été diffusé pour la première fois en 1895 dans un sous sol parisien.

b)Georges Méliès

Georges Méliès, né Marie Georges Jean Méliès le 8 décembre 1861 et mort le 21 janvier 1938, est un réalisateur de films français. Il est connu pour les développements qu'il apporta aux techniques du cinéma, essentiellement des scénarios et des trucages. Il est considéré comme le père des effets spéciaux, le premier réalisateur, le créateur du premier studio de cinéma en France ainsi que l'un des premiers initiateurs du cinéma de divertissement, et il jouait aussi dans ses propes films.

Le Voyage dans la Lune est un court-métrage de science-fiction français écrit, produit et réalisé par Georges Méliès d'après les œuvres De la Terre à la Lune de Jules Verne (1865) et Les Premiers Hommes dans la lune de H. G. Wells (The First Men in the Moon, 1901), sorti le 1er septembre 1902.

Lors d'un colloque d'astronomie, le professeur Barbenfouillis crée l'événement en faisant part à l'assemblée de son projet de voyage dans la Lune. Il organise ensuite la visite à ses confrères de l'atelier où l'obus spatial est en chantier. Il sera propulsé en direction de la Lune au moyen d'un canon géant.

Le lancement réussit. Les six spationautes embarqués découvrent l'environnement lunaire et assistent à un lever de terre. Faits prisonniers par les Sélénites, population autochtone de la Lune, ils parviennent cependant à s'échapper. L'un des poursuivants reste accroché au fuselage de l'obus qui a repris le chemin de la Terre. De retour, les savants sont accueillis en héros et exposent triomphalement leur capture.

V-Les genres dans le cinéma :

Au cinema il existe plusieurs genre comme le burlesque, le criminel, la comédie, la science-fiction, le western, et bien d'autres encore.

VI-L'apparition du son :

En 1910 Léon Gaumont, avec son Chronophone met au point et exploite le cinéma sonore avec une parfaite synchronisation de l'image et du son.

VII-L'apparition de la couleur :

L'apparition de la couleur au cinéma est plus difficile à dater que celle du son.

Dés les débuts du cinéma, on a colorié la pellicule, image par image, à la main, pour obtenir des projections en couleurs. (vers 1896) Au pinceau tout d'abord puis on passe très vite à la technique manuelle du pochoir et plus tard de façon mécanique.

Le travail à la chaîne gouverne la fabrication des films. Les taches minutieuses et le coloriage au pochoir des photogrammes, image par image sont réservées aux femmes qui, avant la guerre, intègrent la condition ouvrière.

The end

J'ai aimé ce roman car il présente au lecteur une nouvelle vision du progrès phénoménal de la technologie d'aujourd'hui. Les jeux en quatre dimensions sont un avantage mais ils abritent aussi les pires criminels et tortionnaires de la planète (tortionnaire=quelqu'un qui torture). Il en est ainsi car dans ce monde, c'est l'anarchie absolue, la loi du plus fort, en gros. J'ai trouvé les personnages intéressant mais toutefois un peu mous. Le scénario est excellent mais son intensité est assez diminuée par le manque flagrant d'action dans la plupart des pages de ce roman. La Cité est un jeu assez...bordélique. Il manque l'ordre auquel on est habitués dans la vie courante. Je pense aussi que l'on arrive pas facilement à se décrocher de la réalité, ce roman est trop "réel" à mon goût. Par exemple, le coup des tableaux. Donc, pas assez de surréalisme. Mais c'est mon opinion de lecteur de romans de type "extraordinaire" (c'est pourquoi mon roman avec Angélina est une sorte de version remixée de La Cité, pour exposer mes idées sur ce roman et ce qui devrais être changé). Bref, j'ai beaucoup apprécié mais cela laisse tout de même des regrets concernant les points quelque peu négatifs cité précédemment. Cette critique n'est pas très longue mais suffit à exposer clairement ma pensée.

La cité est un livre très intéressant (pour qui j'ai voté), qui comporte beaucoup de descriptions et qui reprend bien notre vocabulaire et notre façon de parler actuelle contrairement au autres livres du prix. L'histoire qui est sur un thème qui intéresse beaucoup les adolescents en général, l'informatique et les jeux vidéo.   

J'ai moyennement aimé La Cité malgré que son concept soit bien , mais une fois que le personnage pénètre dans le jeu vidéo, il ne se passe pas grand chose. Le jeu n'a pas de but précis ce qui enlève tout son intérêt,  que la fin viens trop rapidement car on a pas le temps de comprendre toute l'histoire(ce qui nous force un peu a acheté le deuxième tome si le premier a plu) et qu'il n'y a pas d'images.