Un article de presse de Maxime NIKNAM sur le chômage
fév. 2025
Le chômage est une situation où un demandeur d’emploi est sans activité professionnelle, et donc qu’il devient un actif inoccupé, en quête d’emploi active et disponible dans les deux semaines à venir. Aujourd’hui, en France, le taux de chômage est de 7,4 % et a augmenté de 0,1 point de pourcentage par rapport à 2023. Selon les prévisions de l’INSEE (Institut National des Statistiques et Études Économiques), ce chiffre devra atteindre 7,6 % fin 2025. Voyons ensemble l’évolution, les causes et les conséquences de ce phénomène jugé de manière trop péjorative par la majorité de la population.
Comment a évolué le taux de chômage ces dernières années ?
Toujours selon l’INSEE, le taux de chômage a subi de nombreuses fluctuations ces 25 dernières années. Par exemple, en 2000, le taux de chômage était de 9,1 %, alors qu’en 2008, il n’était qu’à 7,2 %. Cependant, cette même année, a eu lieu une crise économique, appelée crise des subprimes, déclenchée aux États-Unis, ce qui provoque une explosion du taux de chômage, qui atteint 9 % l’année suivante. Le paroxysme est atteint entre 2013 et 2015, atteignant 10,5 %. Cependant, ce nombre n’a cessé de diminuer et, malgré une légère augmentation en 2021 suite à la crise sanitaire du COVID-19, nous en sommes donc à 7,4 % en 2024.
Ensuite, cela dépend également de la durée des études du chercheur d’emploi. En effet, selon la théorie du capital humain (qui dit que la formation est un investissement, c’est-à-dire un coût, qui permet de la rentabilité à long terme, comme la productivité), plus une personne continue ses études longtemps, plus elle a de qualifications, plus elle a de compétences. Et qui dit plus de compétences, dit plus de chances que ces compétences soient utiles à l’entreprise : ainsi, cette personne aura beaucoup plus de chances d’être embauchée qu’une autre, faisant moins d’études.
Quelles sont les conséquences de ce chômage ?
Le chômage a des conséquences psychologiques, économiques ou sociales. Tout d’abord, des conséquences psychologiques. Comme illustré dans la chanson de Stabar « J’ai attrapé le chômage », la personne atteinte de chômage est représentée comme en manque de santé mentale : il devient presque fou, boit de l’alcool… Cependant, cela a d’autres conséquences néfastes : une perte de confiance en soi, un sentiment de honte…
Ensuite, les conséquences économiques. Le chômage peut provoquer une baisse des revenus, des difficultés financières ou encore une dépendance aux aides sociales (allocation chômage, aide au logement…) chez l’actif inoccupé. Enfin, les conséquences sociales. Comme dit plus haut, un chômeur peut avoir un manque de confiance en soi et un sentiment de honte, ce qui peut provoquer une envie d’isolement de la part de la personne vis-à-vis de sa famille ou ses amis. Le stress de la personne peut également affecter le bien-être de ses enfants.
Ainsi, nous avons vu que le taux de chômage a drastiquement diminué entre l’après-crise économique de 2008 et 16 ans plus tard, même si les prévisions annoncent que ce taux atteindra 7,8 % en 2026, donc 0,4 point de pourcentage de plus qu’en 2024. Nous avons également vu les causes et les conséquences du chômage. Cependant, il faut toutefois noter l’importance de l’État dans la population française : en effet, France Travail (anciennement Pôle Emploi) est un site où l’on peut chercher un emploi.
Le chômage est une situation où un demandeur d’emploi est sans activité professionnelle, et donc qu’il devient un actif inoccupé, en quête d’emploi active et disponible dans les deux semaines à venir. Aujourd’hui, en France, le taux de chômage est de 7,4 % et a augmenté de 0,1 point de pourcentage par rapport à 2023. Selon les prévisions de l’INSEE (Institut National des Statistiques et Études Économiques), ce chiffre devra atteindre 7,6 % fin 2025. Voyons ensemble l’évolution, les causes et les conséquences de ce phénomène jugé de manière trop péjorative par la majorité de la population.
Comment a évolué le taux de chômage ces dernières années ?
Toujours selon l’INSEE, le taux de chômage a subi de nombreuses fluctuations ces 25 dernières années. Par exemple, en 2000, le taux de chômage était de 9,1 %, alors qu’en 2008, il n’était qu’à 7,2 %. Cependant, cette même année, a eu lieu une crise économique, appelée crise des subprimes, déclenchée aux États-Unis, ce qui provoque une explosion du taux de chômage, qui atteint 9 % l’année suivante. Le paroxysme est atteint entre 2013 et 2015, atteignant 10,5 %. Cependant, ce nombre n’a cessé de diminuer et, malgré une légère augmentation en 2021 suite à la crise sanitaire du COVID-19, nous en sommes donc à 7,4 % en 2024.
Ensuite, cela dépend également de la durée des études du chercheur d’emploi. En effet, selon la théorie du capital humain (qui dit que la formation est un investissement, c’est-à-dire un coût, qui permet de la rentabilité à long terme, comme la productivité), plus une personne continue ses études longtemps, plus elle a de qualifications, plus elle a de compétences. Et qui dit plus de compétences, dit plus de chances que ces compétences soient utiles à l’entreprise : ainsi, cette personne aura beaucoup plus de chances d’être embauchée qu’une autre, faisant moins d’études.
Quelles sont les conséquences de ce chômage ?
Le chômage a des conséquences psychologiques, économiques ou sociales. Tout d’abord, des conséquences psychologiques. Comme illustré dans la chanson de Stabar « J’ai attrapé le chômage », la personne atteinte de chômage est représentée comme en manque de santé mentale : il devient presque fou, boit de l’alcool… Cependant, cela a d’autres conséquences néfastes : une perte de confiance en soi, un sentiment de honte…
Ensuite, les conséquences économiques. Le chômage peut provoquer une baisse des revenus, des difficultés financières ou encore une dépendance aux aides sociales (allocation chômage, aide au logement…) chez l’actif inoccupé. Enfin, les conséquences sociales. Comme dit plus haut, un chômeur peut avoir un manque de confiance en soi et un sentiment de honte, ce qui peut provoquer une envie d’isolement de la part de la personne vis-à-vis de sa famille ou ses amis. Le stress de la personne peut également affecter le bien-être de ses enfants.
Ainsi, nous avons vu que le taux de chômage a drastiquement diminué entre l’après-crise économique de 2008 et 16 ans plus tard, même si les prévisions annoncent que ce taux atteindra 7,8 % en 2026, donc 0,4 point de pourcentage de plus qu’en 2024. Nous avons également vu les causes et les conséquences du chômage. Cependant, il faut toutefois noter l’importance de l’État dans la population française : en effet, France Travail (anciennement Pôle Emploi) est un site où l’on peut chercher un emploi.
