Critique de La Légèreté française

La légèreté française


 

Qui ?

Nicolas Bréhal est l'auteur de la pièce La légèreté française qui s'est jouée le vendredi 1er Avril au théâtre Montansier à Versailles, à l'occasion du week-end dédié à Marie-Antoinette. La pièce est jouée par deux actrices : Valérie Bodson, dans le rôle de Marie Antoinette et Salomé Villiers, dans le rôle d'Élisabeth Vigée-Lebrun.


 

Quoi ?

La pièce est un dialogue entre la reine Marie-Antoinette, le modèle et Élisabeth Vigée-Lebrun, le peintre. Les deux femmes sont très proches et, lors des séances de pose, elles partagent leurs secrets, leurs joies et leurs peurs. Le portrait que réalise Vigée-Lebrun fera scandale lors de son exposition en 1783. En effet, la toilette de la reine est jugée trop sobre. Elle porte une robe de gaulle blanche avec un chapeau de paille.


 

Où ?

La pièce se déroule à Trianon, dans l'un des cabinets privés de la reine, lors de l'été 1783. Les jeux de son et de lumière, représentant les différents moments de la journée, notamment l'orage en soirée, sont très réalistes. Ces effets contribuent à créer une atmosphère joyeuse ou morose en fonction des humeurs de la reine.


 

Pourquoi ?

La pièce est jouée seulement par deux actrices ce qui la rend originale. Les lenteurs, principalement entre les répliques, rendent la pièce assez ennuyante car il n'y a pas d'actions et de rebondissements. Cependant, si vous voulez découvrir les différentes facettes de la femme derrière la reine cette pièce est faite pour vous !