Le blog des Robinson de la 5èE

Chers élèves de la 5èE,

j'ai lu vos articles et je tiens à saluer votre travail, qui est de qualité et qui rend très bien (comme on dit) sur ce blog. Vous pouvez être fiers de vous. 

Cependant, ce n'est pas fini. J'ai commenté vos articles et je vous remercie d'avance de tenir compte de ces commentaires en reprenant et améliorant encore votre travail pour mercredi, où nous ferons le point sur le blog et où vous présenterez oralement vos travaux. 

N'oubliez pas non plus les 3 mots, qui manquent pour tous les groupes (sauf le 3). Vous les ajouterez sous forme d'un billet à classer dans la catégorie : "Dictionnaire de Vendredi et Robinson". 

N'oubliez pas non plus votre (vos) commentaire(s) sur d'autres articles que les vôtres, commentaires qui, je vous le rappelle, ne doivent pas être des jugements de valeur (que ce soit pour applaudir ou pour dénigrer) mais des commentaires CRITIQUES constructifs, appuyés sur votre propre lecture de l'oeuvre. 

Bon travail, 

Mme Grimoud

Vendredi aime apprendre des choses à Robinson et construire des objets, en transformer d'autres... Voici quelques une de ses idées:

Avec trois galets ronds attachés à des cordelettes réunies en étoile,Vendredi fabrique des bolas, armes permettant d'immobiliser ses victimes.

Il transforme le tronc d'un pin très droit et de grande envergure en une pirogue. Pour cela, il creuse le tronc lentement et patiemment , ce qui impressionne Robinson, lui qui a construit l'évasion si prestement.

 il crée un bouclier avec une carapace de tortue en détachant celle-ci du corps de la tortue puis en la nettoyant. Robinson n'apprécie pas cette action   car il trouve honteux de torturer ainsi ce pauvre animal.

Ces inventions prouvent que Vendredi devient en quelque sorte le "maître", mais sous un autre sens: jusqu'à présent, Robinson était le maître dans le sens de gouverneur, celui qui dirige alors qu'ici Vendredi est un peu comme un maître d'école, qui apprend des choses à " son élève" Robinson. Cela me fait penser à l'expression "L'élève a dépassé le maître", car Robinson découvre que Vendredi est aussi, voir plus intelligent que lui-même (chose qu'il ignorait quand l'indien était son "serviteur") et que le jeune homme   a lui aussi des choses à lui apprendre.

Je trouve donc que toutes ces inventions sont très bien pensées et utiles. Je pense que l'auteur voulait nous faire comprendre qu'il y a plusieurs formes d'intelligence qui varient en fonction des pays et de la population.

Nous avons choisi ces trois mots, qui pour nous, représentaient le mieux ces trois chapitres:

Sauvage, car Robinson se comporte parfois de manière sauvage, bien que par rapport à Vendredi il ne l'est absolument pas car ce dernier mène une vie libre, insouciante et sans contraintes ni règles que l'on pourrait qualifier de "sauvage". Toutefois, la notion de ce mot est relative et chacun peut l' interpréter à sa manière.

Liberté, car Robinson est libre de faire tout ce qu'il veut sur l'île bien qu'il s'impose des limites car cette liberté nouvelle lui fait peur. En effet, elle peut rapidement se transformer en folie, sensation que Robinson ne veut plus jamais ressentir car il tient à rester maître de lui-même.

Apprentissage, car c'est une notion très importante dans ce passage du livre.En effet, Robinson et Vendredi, deux êtres humains que tout oppose, vont s'apprendre des choses l'un l'autre, des choses très différentes de leur coutumes. Pourtant ils feront l'un comme l'autre des efforts pour apprendre  main dans la main, et découvrir de nouvelles choses qui les aideront à se rapprocher et à mieux vivre ensemble.

Après un grand coup de vent, le cœur de Vendredi se brisa: son cerf volant c'est envolé. Je vais vous raconter son voyage.

Il rasa la mer et quelque poisson-volant amusées sautèrent au-dessus et en dessous de lui. Puis une légère brise le fit monter dans les cieux. Il survola l'île des indigènes. Les Indiens, qui prirent le magnifique cerf-volant pour l' immense oiseau , lui tirèrent des flèches car ils crurent que c'était le signe qu'ils devaient offrir l'oiseau en offrande aux dieux. Mais Andoar semblait éviter toute les flèches en hommage à Vendredi qui s'était donné tant de mal pour faire voler son plus grand ennemi. Après cette mésaventure, le cerf-volant repartie vers les côtes du Chili. Il croisa une baleine bleue qui avait mouillée la peau de la chèvre en faisant claquer sa gigantesque queue. Ensuite, il vola derrière un banc de dauphins qui chassaient des petit poissons. Il finit par s'échouer sur le pont d'un navire et un petit garçon le recueillent . Touché par la finesse de ce cerf-volant qui lui avait été offert par la mer, le garçon promise  de prendre soin de cette œuvre d'art. Et, tout au fond de lui, Vendredi su que son cerf-volant était entre de bonnes mains

Jules Castagnet

Aurélien Besson

Jade Azika-Eros

Maelys Meyfroodt

Charles Riccioli