Petits auteurs en herbe

L'invasion Rocko (Alexis et Jonathan)

21mai

Tout se passa lors de cette belle journée d'Octobre 2013, aux Etats-Unis. Qui aurait pu prédire que la fin du monde se jouerait en si peu de temps !?

Vous allez découvrir tout ce que vous n'aurez jamais dû savoir...

Vous allez découvrir la vie de John, Obama, Brenda et Mike : quatre adolescents américains.

 

      Je m'appelle John et voici mon histoire: Je suis américain, j'ai dix-neuf ans et j'habite à New York avec mes amis Brenda, Obama et Mike. Je rentrai avec eux de la fac quand tout à coup il se passa quelque chose de surnaturel...

Mon histoire commence quand la chaîne d'information national CNN informe la population américaine qu'une intelligence extraterrestre aurait prit contact avec la Maison Blanche et le Pantagone; ces monstres se nommaient Racko. D'après certaines informations, la rencontre se serait malheureusement mal déroulée.

Je suis encore sous le choc de cette terrible et affreuse nouvelle à l'heure où je vous parle ! Je suis terrifié, je tremble de peur.

 

 

      J'étais avec mes amis sur Trafalgar Square entrain de manger un hamburger et boire un soda quand je vis les voitures s'envoler et les gens courir dans tous les sens, essayant d'échapper aux terribles Racko, sans pitiés, ils tuaient, dévoraient et étrippaient tout le monde sur leur chemin, ils étaient des milliers à envahir New York ; oh mon dieu, je m'en souviens encore comme si c'était hier...

Voyant encore dans ma mémoire les monstres arrivant sur moi tel des diables enragés, je ressentis à ce moment-là une peur indescriptible... La police de New York et les militaires étaient hélas fort peu utiles dans ce combat inégal..

Dans un dernier élan désespéré de survie, je me vois encore donnant un ordre clair et nette à Mike, Obama et Brenda : Fuyez !

 

 

      Quand enfin je me réveillais, je crus d'abord que ce qui venait de se produire était un mauvais cauchemar.. Mais non, une fois de plus, je dûs affronter la vérité. Je regardais autour de moi à la recherche de mes amis, Je vis Brenda à mes côtés et Obama dormant encore un peu plus loin...

Soudain j'eus un sursaut ..  Effectivement, Mike n'était pas là !

Où est donc Mike ? Demanda John.

Je ne sais pas, je n'ai aucunes idées..  Répondit Brenda.

Et toi Obama, tu sais où se trouve notre ami ?! Demanda de  nouveau John.

Non, je n'en ai aucunes idées, tout se dont je me souviens c'est d'avoir été à tes côtés quand nous avons fui les Rocko la veille... Mike courait un peu en retrait derrière nous et je n'ai pas pensé à l'attendre. Répondit Obama.

 

Enervé et terrifié à la fois à l'idée d'affronter à nouveau le monde extérieur, je décidais quand même de m'aventurer encore en ville, désormais sous le contrôle total des Rocko.

Le maire, le président, les généraux, la population.. Tout le monde avait été tué par les Rocko, le pays entier était en ruine !

    Toutes aides du monde extérieur avait été coupé. Nous étions seuls à New York. Seule une petite partie de la population s'était cachée et continuait à résister désespérement aux Rocko, ils étaient la Résistance.

Moi, et mes deux compagnons Brenda et Obama étions donc partis à la recherche de cette «Résistance» à travers New York... Je me souviens encore déambulant dans la ville avec mes deux compagnons, nous étions terrifés à l'idée de nous faire attraper à tout moment par les hordes de Rocko parcourant la ville désormais déserte. Nous étions sur la 5ème Avenue, étonnamment déserte, à la recherche de Mike, nous le recherchions quand tout à coup, par je ne sais quelle malheur, une patrouille de Rocko, cinq pour être plus précis, nous tomba nez à nez devant nos  yeux.

 

 

      Je me remémore encore les Rocko s'approchant de nous, ces bêtes gigantesques de trois mètres ideuses et imposantes, ils allaient nous tuer ! Je ressentis un grand frisson parcourir mon échine.

Je les vois encore lever leurs mains impressionantes et crochues sur moi et mes amis et s'apprêter à les abattre sur nous, quand par un miracle je suppose, un groupe de la Résistance New-Yorkaise tira sur les Rocko sans interruption jusqu'à que le dernier Rocko finisse par s'écrouler par terre, mort.

Le chef de cette patrouille de la Résistance s'appelait Lance, il était entouré d'une vingtaine de personnes, citoyens comme policiers ou militaires; ils étaient d'ailleurs bien armés.

Encore sous le choc, je lui expliquais les mésaventures de la veille et notre perte de Mike, oubliant même de les remercier dans la précipitation !

Il se trouvait que Lance était un ancien prof de tir, il savait donc manier l'arme parfaitement et diriger une équipe également.. Il nous raconta rapidement l'organisation de la Résistance et décida après concertation avec son équipe, de nous aider dans notre quête à retrouver notre ami Mike ! 

 

 

       Il se faisait nuit, nous décidâmes donc de rentrer au QG de la Résistance, les Rocko étant bien plus féroces de nuit. Nous étions donc rentrés à la base et nous fîmes connaissance avec les membres de la Résistance, tous très sympas. Je me couchais tôt car le lendemain une longue journée ardue de recherche nous attendait. Je me réveillais en pleine nuit, dérangée par quelques bruits provenant d'à côté puis par de longs cris humains !

- AHHHHHHHHHHHH !

Je sautais de mon lit en sursaut et je courais dans la pièce principale pour voir ce qu'il se passait...

 

      Je décrouvris à ma plus grande stupéfaction un carnage total : le QG avait été découvert par les Rocko et ils nous avaient attaqués en masse, des corps étaient étendus partout. Je vis Lance et il me donna l'ordre de partir de suite avec lui, le combat étant perdu. Je pris Brenda par le bras, avec Lance et une poignée d'hommes, je quittais le QG dévasté laissant derrère nous les derniers courageux hommes couvrant notre retraite...

Je sortais dehors avec mes compagnons de fortune, Lance nous conduisit dans d'épais buissons à l'abri des Rocko, mais à proximité de la base. Je contemplais mes compagnons, dévastés par les regrets, la vengeance, se mettre à genoux et pleurer dans leurs bras. Je vis la base et les derniers cris de terreur humains s'éteindre avec amertume... Soudain je pensai à Obama... Je ne l'avais plus vu depuis notre fuite et je compris donc pourquoi Brenda pleurait depuis si longtemps.. Obama était mort !

Enervé, pleins de désirs de vengeance aussi, je conduisis mon groupe avec détermination à l'extérieur de ces buissons et je sortais avec eux plus déterminé que jamais à la recherche de Mike.

 

 

       Je parcourais les rues à la recherche de mon ami plusieurs jours ainsi. Au matin du septième jour, je vis Mike entouré d'une dizaine de Rocko au milieu d'une grande avenue ! Je pris mon fusil à la main et en courant, j'ordonnais l'attaque, Lance, stupéfait de ma détermination, était un peu étonné, mais fonça en encourageant ses hommes à attaquer !

Je me vis encore battre les Rocko, certes nous les battions mais au prix fort :  la moitié d'entre nous tomba dont Lance au combat, Mike était blessé. J'étais avec mes deux derniers amis restant et une petite dizaine des derniers combattants de la Résistance et nous nous croyions sortis de l'horreur quand tout à coup, des dizaines et des dizaines de Rocko nous encerclèrent et s'apprêtèrent à donner leur assaut final...

 

 

      Je les vois encore foncer sur nous, en poussant des cris terrifants, avec leurs mains tranchantes. Ils étaient sur nous et nos malheureuses balles avaient eu bien peu d'effet sur eux, en faisant tomber un ou deux parmi ces dizaines d'attaquants. Cette fois-ci je savais que c'était la fin et ils tombèrent sur nous, nous tuant en nombre.

J'étais dans les derniers encore dans la mêlée désespérée quand tout à coup je vis les Rocko tombés un par un jusqu'au dernier d'entre eux.

Les militaires, des forces internationales étaient intervenues à temps et nous avaient sauvés moi, Brenda, Mike et quatres autres derniers Résistants.

Je compris : le pays était sauvé de cette invasion extraterrestre et nous étions sauvés.

Les Rocko avaient été chassés du pays et de New York, désormais le calme régnait, le grand calme...

La joie envahit de nouveau mon corps mais la tristesse également en pensant à Obama, mon ami de toujours... Obama était en fait la raison de ce calme étrange.

Je me fis décerné la médaille d'honneur par le président des Etats-Unis, Barack Obama et j'étais devenu un symbole et le héros de cette révolution

Le cauchemar était terminé.

FIN.

Les dix marionnettes de Monsieur Lonka (Arthur et Hugo)

21mai

Prologue :

 

Le réveil sonnait depuis quelques secondes déjà et une main maladroite cherchait le moyen de l'arrêter ;mais un geste involontaire le fit tomber et il se brisa sur le sol.Le propriétaire de cette main,Monsieur Lonka,bondit de son lit comme si mille enfants lui pinçaient le dos .D'un coup de main délicat sur sa tête,ses cheveux étaient coiffés ; pas besoin de peigne,ni de brosse.Ses yeux pétillants cherchaient dans toute sa chambre son haut de forme,un superbe chapeau violet,dont il ne se séparait jamais. Il passa devant son miroir. Tout en regardant son reflet,il cherchait dans sa poche de pyjama ses gants,qu'il enfila.Il passa alors sa main sur son visage et sur tout le long de son corps jusqu'aux pieds. Il était maintenant habillé.Son teint morne était devenu douce porcelaine.Satisfait,il souriait et quitta sa chambre pour au moins trois jours.Il ouvrait chaque porte de chaque couloir de chaque pièce de sa maison.Le mobilier était installé de manière à recevoir du monde.À chaque porte ouverte,il s'exclamait :« Bonjour tout le monde,j'espère que vous avez passé une bonne nuit » ;et il passait à la salle suivante. Personne ne lui répondait jamais puisque chacune  d'elles n'étaient remplies que de meubles et de bibelots.

 

L'hiver quittait enfin notre ville.Il faisait beau et chaud mais la ville était vide.Comme d'habitude,notre rue était silencieuse,calme,sans vie.Les pères étaient partis travailler,les mères étaient parties coudre,entre commères,et les enfants étaient trop occupés à regarder Pee-Wee se dandiner sur leurs écrans de télévision.Je détestais ce programme ,et tous les autres d'ailleurs,et cela me permettait d'échapper à cette attirance hypnotique qu'elle procure, comme un touriste sur un Picasso.Je descendais alors en ville,passant devant une petite maison rose et pâle,puis devant une autre rose et pâle,puis une autre rose et pâle.Un doute me saisit : toutes les maisons de notre rue ne sont tout de même pas identiques ?Je me retournai alors et vit une rangée de petites maisons,toutes semblables,roses et pâles.L'hiver avait donc été si long que je n'étais pas sorti depuis des lustres.

 

J'allais acheter le pain pour ma mère,qui avait trouvé une bonne excuse pour me faire sortir. Au détour d'une allée,je remarquai avec stupeur une étrange maison qui avait réussi à se détacher du décor. Cette demeure se démarquait des autres par ses façades sombres et son apparence était d'une richesse sans pareil.A côté des autres maisons qui l'entouraient,elle avait plutôt l'air d'un manoir en raison de sa hauteur et   de son style ancien.Je ne pouvais détourner le regard. Rempli de questions sans réponse,je décidai dès lors de retourner chez moi pour en apprendre un peu plus sur ce manoir.Je courrai jusqu'à rattraper le facteur du quartier.Il détourna le regardsur moi et s'écria :«  petit,j'ai une lettre te concernant ! »

Je l'attrapai au passage et continuai ma course.

 

Arrivé chez moi,je posai la lettre sur le buffet de l'entrée et demandai à ma mère : « - Maman,à qui appartient la maison aux façades sombres ? 

-Je ne sais pas, je n'ai jamais vu personne entrer ou sortir de cette maison.

-        Ah d'accord,tant pis. »

 

J'allai dans ma chambre,en emportant la lettre avec moi. Je l'ouvris et la lus :

« Bonjour chère famille, je vous serre chaleureusement la main.Vous avez été sélectionné parmi les 10 familles les plus riches de la ville.Vous pourrez savourer votre chance en vous rendant chez moi, pour un somptueux diner,suite auquel votre enfant pourra choisir un jouet fabriqué par ma personne.Je vous attends devant ma maison différente de toutes les autres de votre ville, vous la reconnaîtrez facilement par sa couleur sombre, le 26 avril, à midi.

 

Je vous attends

M.Lonka »

 

 

Un jouet fabriqué par M. Lonka? Quelle sorte de jouet cela pouvait-i l'être ?Je dévalais les escaliers afin d'avoir l'accord de ma mère pour pouvoir y aller.Après une longue discussion,mes parents acceptèrent.

 

Bien que nous étions au printemps, cette matinée était extrêmement fraiche.Toutes les familles les plus aisées de la ville étaient là.Il y avait la famille Schmits,gérants d'une grande industrie de métallurgie ;la famille Le Pavé,grands scientifiques du millénaire ;les épouvantables Doloby,juges pour les enfants et leur fille,Véruca, aussi égocentrique qu'à l'ordinaire,etc...

Tout le monde attendait devant la grille, tout le monde se lançait des regards,et tous les enfants se regardaient comme s'ils étaient en concurrence.

Mais,les grilles s'ouvrirent enfin,sans que personne n'ait à bouger.Ma famille et moi,et toutes les autres d'ailleurs s'avancèrent jusqu'à la porte d'entrée.

Un homme nous attendait. Il était vêtu d'une veste aux couleurs rappelant le chocolat au lait(mon préféré d'ailleurs). Son pantalon était noir et son chapeau violet. Cet accessoire lui cachait les yeux,on ne voyait ainsi qu'un nez fin et un grand sourire.

On entra chez lui et je vis que tout ce qui se trouvait dans ce manoir était en bois.

Le diner était très copieux et délicieux. Je n'avais pas aussi bien mangé depuis longtemps. M. Lonka se leva et nous conduisit dans une grande salle, un atelier.

Il déclara alors:«J'espère que vous avez bien mangé mais si je vous ai invité chez moi, c'est pour une toute autre raison. Je suis enfin prêt à vous présenter vos jouets ! Ouvrez les rideaux ! »

De grands rideaux lourds et rouges s'ouvrirent et laissèrent place à une grande vitrine remplie de marionnettes. Tous les enfants se précipitèrent sur celle-ci, et chacun regardait la marionnette qui lui plaisait le plus .Veruca avait choisi une marionnette ressemblant à un majordome. Celle-ci avait un smoking noir, un nœud papillon et un chapeau ressemblant à celui de Lonka.

La vitrine se leva et tous les enfants saisissèrent leur pantin, et je ne pouvais approcher. Quand les enfants s'écartèrent et partirent jouer avec elles, je pus enfin en choisir ; mais il n'en restait qu'une, presque finie. 

  1. Lonka appuya sa main sur mon épaule et dit :

« Celle-ci se nomme Tyson, c'est probablement la meilleur que tu aurais pu avoir. Cependant elle n'est pas totalement terminée... »

Je ne voyais pas en ce qu'il avait à en redire. Il nous présenta la sortie et nous partîmes.

En rentrant chez moi, j'habillai ma marionnette de mon haut de pyjama préféré. Je jouai énormément avec elle et cette dernière bougeait seule, sans fil. Elle comprenait absolument tout ce que je lui disais. Je m'attachai déjà à elle.

Mais soudain, la ville se remplit de cris de terreur. Tout le monde était sorti dans les rues et tout le monde courrait dans tous les sens. J'aperçu par ma fenêtre les neuf familles qui se dirigeaient vers le manoir de M. Lonka cependant je ne vis aucun père.

Je sortis de chez moi et rejoignis la foule. Les questions fusaient de partout, mais seule celle-ci eu une réponse, « pourquoi nous avoir donné des marionnettes assassins ? ». C'était donc ça : les marionnettes avaient pris le contrôle des maisons et des familles. M. Lonka contenait sa panique et gardait son sourire enfantin. Il nous expliqua qu'il avait besoin d'argent et quoi de mieux que son grand retour dans la société pour vendre ses incroyables marionnettes. Il regarda le ciel pendant quelques instants et se précipita dans sa maison. Avec quelques mères et enfants, je le suivais et soudainement je compris que si les pères n'étaient pas là, c'est parce qu'ils protégeaient leur foyer et cela avait permis aux femmes de s'enfuir.

M Lonka tournait de grandes manivelles et tirait de lourds leviers. Il s'exclama :

« J'avais prévu cette éventualité et j'ai préparé un produit pour les anéantir. C'est

 une fumée à l'odeur citronnée qui fera tomber raide mort chaque pantin qui se trouve à l'extérieur de cette maison »

Immédiatement, je cours chercher ma marionnette pour la sauver mais celle-ci m'attendait à l'entrée. Elle réussit à articuler : « J'ai eu peur pour toi »

Je la serrai contre moi, mais nous fûmes interrompus par le rire de M. Lonka qui tira le dernier levier. La ville s'embaumait d'une odeur de citron et toutes les personnes à l'intérieur de la maison furent éjectées par un souffle puissant et incontrôlable.

Dehors, il n'y avait aucun pantin qui gisait sur le sol. Pour avoir des explications, tout le monde se retourna mais je ne voyais qu'un champ vaste et vert. M. Lonka et son manoir n'était plus là. Tout avait disparu. Cette fois, il n'y avait plus que de petites maisons roses et pâles, toutes identiques.

La recette de la gentillesse (Louise Courcy)

21mai

Aujourd'hui je vais vous apprendre comment faire la recette de la gentillesse .

C'est une recette qui peut être realisée par tous car vous n'avez pas besoin de cuisine adaptée.

Vous aurez besoin d'un saladier, des ingredients que je vais vous donner et de vos paroles.Mais attention si la recette n'est pas bien realisée vous aurez que de la malchance jusqu'à la fin de votre vie .

INGREDIENTS :

-500 g de beurre

-300 g de chocolat

-5 arêtes de poissons

-6 œufs de dinausaures

ET ENSUITE VOUS DIREZ :

-10 fois je suis gentille

-60 fois abracadabra

-20 fois je dois respecter les amis

Et voilà la recette de la gentillesse , je vais vous donner une petite astuce tres simple , faites cette recette entre amies .

Lettre de Louise

21mai

Lettre d'amour

21 juin 1759

Mon amour ,

Tu me manques tellement,sans toi ma vie n'a plu de sens .

Je suis triste de te savoir loin de moi ,je pense a toi chaque minute et chaque seconde qui passe .

J'ai reçu ta rose encore belle et son doux parfum m'a envahi.Je ne cesserai jamais de t'aimer .

Hier,encore,je me suis endormie avec ta douce et tendre odeur qui me rappelle tant de souvenirs  ...

Lorsque tu reviendras je serai tellement heureuse de t'avoir a mes côtés.

Je t'aime mon amour et je pense que tu le sais …

on se retrouve tres bientôt ! Je serai bientôt dans tes bras !:pour toujours !

Je t'aime !

Léonie

La recette de l'impatience et de l'efficacité (Adrien)

21mai

Recette de la patience et de l'efficacité


On commence avec l'efficacité .
L'efficacité, c'est l'art de ne parler que pour dire des chose fondées, contructives et
réfléchies . Donc pour cela il faut :
-1 kg de patience
-50 g de logique
-10 g de culture
-et beaucoup de temps
Le tout, c'est de mélanger culture et logique, mais j'entends par là toutes les leçons de
math, de S.V.T. , et autres sciences réfléchies . Mais le réel problème c'est le temps et la patience
qu'on a. Tiens d'ailleurs, venons-en, à la patience .
C'est quelque chose de très simple à comprendre, mais très dur à acquérir. Vous voyez
ce que je veux dire ? En gros ça fait :
-1 lit (ou banc, au choix)
-1 oreiller ou pas, au choix
-un gros contrôle de soi-même
-beaucoup de temps pour s'entraîner ,
mais alors vraiment beaucoup …
Avec ça, on peut au moins être efficace pendant les cours de math !
Adrien

Une petite salade pour devenir poli! (Hermeline)

21mai

La salade de la politesse

                                         

 Ingrédients :

-Confiture

-10 phrases de politesse (comment allez-vous, ect…)

-Du papier

-10 g de fraise (pour le goût)

-De la farine

-Du beurre

-De l’eau et du sucre.

 

Ecrivez les 10 phrases de politesse sur le papier à l’aide de la confiture.

Coupez-les en petits morceaux pour les mettre ensuite dans un saladier.

Laissez reposer puis mettez 200g de farine, 50 de sucre et 50g de beurre dans le mixeur. Laissez reposer pendant quelques minutes puis mélangez avec les

Phrases de politesse coupées en morceau, remuez le tout violemment avec une cuillère. Ajoutez de l’eau (une cuillère à moka) puis coupez des fraises en cubes.

Vous obtenez votre salade.

 

Astuce: pour plus de charme mettez-la sur un plateau plein de sucre.

 

Bon appétit



La recette du bonheur de Diane

21mai

Recette du bonheur

Au lever du soleil, faire bouillir doucement de l’eau, puis préparer la base : mettez du lait, ajoutez une pincée de bonne humeur et une cuillère à soupe de respect. Laissez reposer le tout au congélateur.                                                                                             A midi, mettez la base dans une passoire, positionnez-là au-dessus de l’eau bouillante et laissez couler. Laissez reposer deux heures.                                                                                                            

 Le soir, votre mixture de bonheur est prête, vous pouvez la boire ! Cependant, n’oubliez pas de préparer joyeusement cette recette sinon elle ne marchera pas.                                           

Pour la faire durer plus longtemps, il faut respectez tout le monde et être gentil, les deux jours précédents le jour où l’on boit la potion.

Lettre de Diane

21mai

19 juillet 1760, à Paris

Je viens de recevoir ta lettre, je l’ai lue, elle est magnifique. Ne t’inquiète pas, je serais près de toi. Vois-tu, j’ai acheté ma robe pour le  bal où nous sommes invités à la fin du mois. J’espère que tu me trouveras belle dans ma nouvelle tenue. J’ai reçue ta fleur. Elle était magnifique et embaumait l’antichambre dans laquelle je me trouvais. Elle avait la couleur de tes yeux ravissants. Je l’ai mise dans mon étui à bijoux. Promis ! Je te la montrerai dans trente ans. D’ailleurs, j’ose espérer que dans ce laps de temps, je serai toujours ton amour.                                                                                           

J’espère te voir la semaine prochaine. Nous irons du côté de Montmartre, puis nous retournerons aux Tuileries. Je cueillerai une jonquille, de la couleur de tes sublimes cheveux. 

A bientôt ! Mon cœur, mon ange, mon âme ! Pour toi toute ma tendresse !

Ta douce Léonie                    

Lettre de Jules

21mai

Mon amour,

Je viens de recevoir ta lettre. Cette lettre si réjouissante que je lis en pensant à ta beauté.

Je t'aime tellement si tu savais, tu me manques tellement, j'essaye de t'imaginer en ma présence, dans une forêt avec des fleurs qui égalent ta beauté.

Demain sera encore une dure journée ! Sans toi, mes journées ne sont pas les mêmes. Je ne pense qu'à toi car tu prends toute la place dans mon cœur, il n'y a que ta beauté à mes yeux.

J'ai hâte de te prendre dans mes bras. Tout le reste de ma vie je voudrais le passer à tes côtés, je t'aime pour le reste de ma vie et je remercie dieu de m'avoir fait trouver une personne comme toi pour combler ma vie.

Je suis fière d'avoir trouvé une personne comme toi, je croyais que les personnes parfaites n'étaient que dans les rêves, mais non je t'ai trouvé, mon prince charmant que j'aime.

Je t'aime très fort, à bientôt.

Léonie.

La recette contre le stress de Mame

21mai

1)Se laver doucement.         

2)Puis se regarder dans le miroir est dire qu'on se trouve beau/belle                 

3)Aller à la douche , se laver proprement.              

4)Pour se sentir bien dans sa peau ,pour ne pas avoir de maux de tête s'habiller lentement.                           

5)Ne pas boire beaucoup d'eau.                       

6)Bien souffler , faire des grimaces et la pression on va redescendre rapidement !!!!