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VILAIN PETIT CANARD : LA SUITE Julien, Samuel, Alexis P et Raphaël

C'était une famille de migrants qui venaient d'arriver à Calais.
Ils vivaient dans la "jungle" de Calais dans une sorte de cabane construite avec de la ferraille et du plastique.
La mère qui se nommait Rehan était sur le point d'accoucher.
Elle vivait seule avec ses 3 enfants car son mari était mort lors d'une fusillade en Syrie.
Quelques jours après leur arrivée, elle ressentit les premières contractions et fut emmenée à l'hôpital.
Au bout de quelques heures, elle accoucha d'une petite fille qu'elle nomma Amira. 
Elle comprit au premier regard que son enfant n'était pas comme les autre...

Deix jours plus tard, un médecin annonça le diagnostic : sa fille était atteinte de la trisomie 21.

Rehan s'en occupa pendant plusieurs années avec courage et dévouement  mais les frères et sœurs d'Amira se sentaient abandonnés. Aussi furent-ils soulagés quand leur sœur put intégrer une école primaire. Elle était alors âgée de 6 ans.

La première année se passa sans difficultés mais à partir de la deuxième année, elle commença à subir les moqueries de ses camarades.  Des surnoms d’animaux, des insultes envers sa mère, se faisait bousculer, on lui cachait ses affaires et finit même par être rackettée .La situation était devenue insupportable pour Amira et sa mère fut obligée de lui faire quitter l'école et de la faire intégrer une école spécialisée. Elle se retrouva avec des enfants qui lui ressemblaient. Elle fut tout de suite prise en charge et trouva enfin un endroit où elle pouvait exister, être aimée et respectée comme les autres.

Le tuto sur le passif de Jeanne et Jaceli

 

Tuto sur la voix passive de Lorène et Soline

 

Tuto sur la voix passive d'Alireza et Alexis

 

 

"Boxing day" : suivi de lecture...

1) Où en êtes-vous dans la lecture? Avez-vous fini, ou changé de livre, ou à peine commencé et vous vous inquiétez car la rentrée approche...?

2) Qu'appréciez-vous dans votre livre?

3) Comment lisez-vous? A quel endroit, à quel moment de la journée?

Bon Nouvel An à vous !

Imaginer la suite du Portrait ovale : quand le regard donne vie

Poster la suite imaginée dans les commentaires :
"Le château dans lequel mon domestique s'était avisé de pénétrer de force, plutôt que de me permettre, déplorablement blessé comme je l'étais, de passer une nuit en plein air, était un de ces bâtiments, mélange de grandeur et de mélancolie, qui ont si longtemps dressé leurs fronts sourcilleux au milieu des Apennins,[…]  Selon toute apparence, il avait été temporairement et tout récemment abandonné. Nous nous installâmes dans une des chambres les plus petites et les moins somptueusement meublées. […] Sa décoration était riche, mais antique et délabrée. Les murs étaient tendus de tapisseries et décorés […] d'une quantité vraiment prodigieuse de peintures modernes, pleines de style, dans de riches cadres d'or d'un goût arabesque. Je pris un profond intérêt, - ce fut peut-être mon délire qui commençait qui en fut cause, - je pris un profond intérêt à ces peintures qui étaient suspendues non seulement sur les faces principales des murs, mais aussi dans une foule de recoins que la bizarre architecture du château rendait inévitables ; si bien que j'ordonnai à Pedro de fermer les lourds volets de la chambre, - puisqu'il faisait déjà nuit, - d'allumer un grand candélabre à plusieurs branches placé près de mon chevet, et d'ouvrir tout grands les rideaux de velours noir garnis de crépines qui entouraient le lit.[…].
Je lus longtemps, - longtemps ; - je contemplai [les toiles] religieusement, dévotement ; les heures s'envolèrent, rapides et glorieuses, et le profond minuit arriva. La position du candélabre me déplaisait, et, étendant la main avec difficulté pour ne pas déranger mon valet assoupi, je plaçai l'objet de manière à jeter les rayons en plein sur le livre.
Mais l'action produisit un effet absolument inattendu. Les rayons des nombreuses bougies (car il y en avait beaucoup) tombèrent alors sur une niche de la chambre que l'une des colonnes du lit avait jusque-là couverte d'une ombre profonde. J'aperçus dans une vive lumière une peinture qui m'avait d'abord échappé. C’était le portrait d’une jeune fille déjà mûrissante et presque femme. Je jetai sur la peinture un coup d’œil rapide, et je fermai les yeux. Pourquoi ? - Je ne le compris pas bien moi-même tout d'abord. Mais pendant que mes paupières restaient closes, j'analysai rapidement la raison qui me les faisait fermer ainsi. C’était un mouvement involontaire pour gagner du temps et pour penser, […] , - pour calmer et préparer mon esprit à une contemplation plus froide et plus sûre. Au bout de quelques instants, je regardai de nouveau la peinture fixement. 

"Eleonore Cooper", par Jaceli, Lorène, Nabila, Soline et Laure-Emmanuelle

Éléonore Cooper était une jeune mannequin riche de 24 ans qui vivait à Chelsea. Elle vivait avec sa belle-mère, Lydie, depuis le décès de son père qui lui avait légué tout sa fortune. Sa belle-mère était une business woman qui travaillait dans une grande entreprise à Londres. Toutes les deux résidaient dans une magnifique villa.

Un matin, en regardant la télévision, Lydie découvrit le visage de sa belle-fille dans une grande chaîne internationale. Elle était étonnée. Éléonore était vêtue d'une magnifique robe rouge digne de celles des top models. Lorsque sa belle-mère regarda ces quelques images, elle devint jalouse. Jalouse de la beauté de sa belle-fille. Elle trouvait qu’Éléonore était plus belle qu'elle et ça elle ne le supportait pas. A la télévision, on présentait Éléonore comme la nouvelle égérie d'une grande marque internationale. Quand Lydie entendit ces quelques mots, elle devint rouge de colère, c'était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Elle ne pouvait plus supportait le fait de voir sa belle-fille au dessus d'elle, elle n'acceptait pas le fait qu’Éléonore ait plus de succès qu'elle.

Lydie folle de rage décida d'appeler Roland, son neveu qui était un jeune mécanicien de 26 ans. Il vivait dans son propre garage à East End. Il ne gagnait pas assez d'argent pour subvenir à ses besoins ce qui faisait qu'il vendait des objets au marché noir. Il avait des problèmes financiers, son garage faisait faillite. Lydie expliqua qu'elle avait besoin de son aide pour tuer sa belle-fille, Éléonore, contre un grosse somme d'argent. Roland hésita mais, accepta son offre en pensant que ça l'aidera à sortir de sa misère.

Trois jours plus tard, Roland, l'ayant observée, connaissait la plupart des sorties d’Éléonore. Dès l'instant où il l'eut vu il la trouva extrêmement belle. Il la regardait nuit et jour, l'observait dans les moindres détails et faits et gestes ainsi, il pouvait l'admirer discrètement, sans que cette dernière sans rende compte. En effet, Roland, depuis une semaine, éprouvait des sentiments pour Éléonore, il tombait sous son charme,Il n'avait même pas tenté de la tuer, il n'avait ni le courage ni la volonté de le faire, cela dura trois semaines. Jusqu'au lendemain matin où, cet homme charmé par la beauté d’Éléonore, trouva un plan pour la tuer. Son plan était d'acheter de l'aspirine, à la pharmacie, d'aborder son heureuse élue et, lui offrir un verre dans lequel il mettrait une forte dose d’aspirine, à l'insu de tous.Et, c'est ce qu'il fit, c'était l’après-midi, il parla longuement avec elle, pendant cette longue discussion avec Éléonore, c'était une certitude à présent il était bien amoureux d'elle. Mais, l'homme amoureux pensait à tout l'argent pouvait se faire en tuant sa bien-aimée, c'était un dilemme de taille. Après mure réflexion, il lui offrit finalement un thé glacé, à la pomme et à la grenade, empoisonnée. Il partit avant qu'elle finisse de boire sa boisson empoisonnée,pour ne pas la voir mourir, en disant comme prétexte qu'il avait un rendez-vous important. Quinze minutes après avoir terminé son thé glacé, Éléonore qui voulait renter chez elle s'évanouit brusquement dans la rue.

Après avoir été amenée à l'hôpital, par un homme qui l'avait vue évanouie dans la rue, Éléonore était dans le coma, Lydie demanda d'entrer dans d’Éléonore car elle était sa belle-mère et qu'elle était folle d'inquiétude pour elle, mais la secrétaire ne voulut pas. Lydie vexée ne désespéra pas, elle sortit de l'hôpital, le contourna et après avoir vu la chambre d’Éléonore de l'observer. Elle vit sept infirmiers se succéder et s'occuper aux petits soins d'elle. Lydie attendit qu'ils partent et entra par la fenêtre, après avoir rit elle regarda Éléonore et lui dit avec un peu d'ironie:« Adieu ». Elle débrancha les appareils, regarda une dernière fois Éléonore et s'enfuit par la fenêtre.

Après que les appareils ont été débranchés, quelques minutes plus tard les sept infirmiers arrivèrent précipitamment et essayèrent en vain de la sauver Éléonore, malheureusement elle mourut. Deux jours plus tard, son enterrement fut célébré, les sept infirmiers furent présent, tristes et déçus de ne pas être arrivés à sauver Éléonore. Une personne qui avait vu Lydie entrer dans la chambre d'hôpital d’Éléonore par la fenêtre à la police et Lydie fut mis en prison.Mais pour son neveu, Roland, il eut la chance de ne pas se faire attraper.

 

 

 

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Elisa Petit

C'était une dame nommée Elisa Petit. Elle habitait à Paris, au dernier étage d'un immeuble. Elle travaillait comme ouvrière dans une usine de coca-colas. Elle n'était pas très riche comparée à ses deux demi-soeurs, Louisa et Carla qui avaient beaucoup d'argent car leur père qui était riche s'était remarié avec sa mère.

 

Un jour Louisa lui parla du bal qui se passait au restaurant Maxim's où elle était invitée et où il y aurait plein de personnes importantes. Evidemment , Elisa n'était pas invitée mais quand elle sut, elle fut très jalouse !!

Elle décida alors de monter un plan machiavélique pour aller au bal...

Un soir, vers minuit, elle alla chez Louise. Elle connaissait l'endroit où était cachée la carte bancaire et elle connaissait son code.

Tout d'un coup, un bruit venant de l'escalier la fit sursauter.

Alors, elle courut à la porte. Sans s'en rendre compte, elle avait perdu sa carte d'identité.

 

Quelques jours plus tard, elle avait loué une magnifique bentley et une très belle toilette pour le bal.

Le jour était venu de s'y rendre !

 

Le bal était une réussite. Quand tout d'un coup...

Plus un bruit, plus de musique . Même les enfants arrêtaient de sauter.

Une jolie blonde avec les cheveux longs et bouclés remontait le tapis rouge qui menait à la piste. Elle avait une magnifique robe qui étincelait sous les projecteurs.Vous l'avez deviné ? Eh oui c'était Elisa. Elisa était la plus belle des dames du bal.Elle était tellement belle que même sa demi-soeur ne la reconnut pas. La fête passa et tout le monde parlait d'Elisa.

Quand tout d'un coup, Louisa reçu un coup de téléphone disant que 20 000€ de son compte avait disparu.

Louisa eut très peur. Alors elle rentra chez elle. Dans son salon, elle trouva la carte d'identité de sa sœur . Un peu plus loin, elle trouva le tiroir ,où était caché sa carte bancaire, ouvert !Elle sut alors que c'était Elisa qui avait l'argent.

Louisa ne savait plus quoi faire. Alors elle décida de lui donner une punition : elle reprendrait le peu d'argent qu'avait Elisa et elle l'embaucherait chez elle afin qu'elle soit sa servante.

 

Cela servirait de leçon à Elisa de vouloir faire croire aux autres ce qu'elle n'est pas !

Vilain petit canard

C'était une famille de migrants qui venaient d'arriver à Calais.
Ils vivaient dans la "jungle" de Calais dans une sorte de cabane construite avec de la ferraille et du plastique.
La mère qui se nommait Rehan était sur le point d'accoucher.
Elle vivait seule avec ses 3 enfants car son mari était mort lors d'une fusillade en Syrie.
Quelques jours après leur arrivée, elle ressentit les premières contractions et fut emmenée à l'hôpital.
Au bout de quelques heures, elle accoucha d'une petite fille qu'elle nomma Amira
Elle comprit au premier regard que son enfant n'était pas comme les autres...

Les Walls par Alireza, Nassim, Alexis et Elisa

C’était un couple de riches bourgeois nommés : Lucas et Sarah Walls, entretenaient une riche demeure situé à Londres. Ils étaient enrichis grâce au commerce automobile. Pour leur grand malheur, ils ne pouvaient pas avoir d’enfant, Ils essayaient tous les moyens possibles et inimaginable, mais en vains.

Pourtant un jour Sarah accoucha d’une jolie fille blonde aux yeux qui ressemblait beaucoup à sa mère. Ses parents étaient si heureux qu’ils firent venir tout le voisinage ainsi que leurs amis et clients pour le baptême de la petite fille car il leur tenait à cœur de fêter cette heureuse nouvelle.

Le jour de la cérémonie de baptême arriva, leur voisinages, leur clients et amis étaient tous présent à l’appel. Lucas et Sarah Walls l’est avaient réceptionné avec joie et de bon cœur et prièrent les invités de s’installer dans une salle bien décorés. Ils discutèrent, et rigolèrent… Le temps du repas arriva et les invités s’installèrent autour d’une grande table pour dîner.

Soudain une veille femme entra, furieuse de ne pas avoir été invitée. Mais dans leur grande bonté, les parents d’Alice l’accueillent quand même. Pour la naissance d’Alice on donnait des cadeaux : le premier lui offrit une très belle bague en or, le deuxième lui offrit un collier toute aussi beau et les cadeaux sont enchaînés jusqu’au moment où la vielle femme s’avança pour donner une vielle seringue emplit d’un liquide plus que douteux qu’elle disait bénéfique. La fête se termina dans les rires et la joie. Mais les parent de la petite trouvèrent plus raisonnable de ranger cette seringue au fond d’une armoire.

 

Alice grandissait avec ses parents, elle était curieuse et très intelligente et poursuivait ses études de commerces dans une prestigieuse université de Londres nomme : « Imperial College of London » pour reprendre l’entreprise commercial de ses parents. Un jour alors qu’elle se préparer pour aller à l’université, elle trouva au fond d’une armoire une seringue, elle l’examina curieusement et d’un geste maladroit, elle se piqua…

Ses parents la trouvèrent allonger dans la pièce, la seringue vide à côté d’elle. Lucas et Sarah comprirent que cette seringue avait été donnée 18 ans plutôt par la vieille dans le but de se venger de ne pas avoir été invité au baptême. 2 semaines plus tard, ils enterrèrent Alice dans le chagrin et le désespoir.             

 

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